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À la plage, la Parisienne doit éviter de se surmener, recommande Le Figaro en 1885 LES ARCHIVES DU FIGARO - La plage est devenue au XIX siècle, le rendez-vous incontournable pour les belles Parisiennes. Le Figaro, nous décrit en 1885, les péripéties qui guettent la femme venue profiter des charmes de la mer. Vivent les bains de mer! affirme l'écrivain et journaliste Gaston Jollivet, il y a près de 130 ans. Ce leitmotiv de la haute société se démocratise: le bain de mer devient, en effet, de plus en plus en vogue. Notre journaliste assure même qu'il est «devenu accessible à l'universalité des caleçons»! BNF ESSENTIELS Au XVIIIe siècle, la femme dépend étroitement de sa famille, puis de son mari. À de rares exceptions, elle n'a guère d’autonomie et ne peut choisir sa vie. Dans Émile ou de l’Éducation, Rousseau développe les limites qu'il met à l'éducation des femmes afin qu'elles restent à la place qui est la leur, celle d'épouse et de mère. Le seul objet auquel une femme se doit de consacrer son temps et sa réflexion est « non par abstraction l’esprit de l’homme en général, mais l’esprit des hommes qui l’entourent, l’esprit des hommes auxquels elle est assujettie, soit par la loi, soit par l’opinion. » Au cours du XVIIIe siècle, les femmes restent donc infantilisées et condamnées à limiter leur ingéniosité aux jeux de séduction : la mode ou le marivaudage.

Clio. Femmes, Genre, Histoire Grève Appel du comité de rédaction de Clio, Femmes, Genre, Histoire Le 14 janvier 2020, des travailleurs et travailleuses de nombreux secteurs entament leur 41e jour de grève. Ce mouvement ne concerne pas la seule préservation des régimes spéciaux ou de privilèges corporatifs spécifiques. Il s’agit de défendre un système de protection sociale mais aussi des valeurs telles que la solidarité, le service public, la justice sociale.

Colères, une revue anarcha-féministe de 1978 à 1980 Présentation tirée du journal CPCA n° 2 (août 1978) : Nous nous sommes retrouvées entre femmes libertaires sur Paris (les femmes de la FA, de l’OCL, de la Lanterne Noire et des Inorganisées). Nous sommes parti de deux constatations ; d’une part, nous ne nous reconnaissons pas toujours dans les revendications et les pratiques du mouvement de femmes, (les assises sur le viol entre autre…) d’autre part, le mouvement libertaire ne prend pas suffisamment en compte certains problèmes spécifiques, tel que celui de la femme, soit qu’il le relègue à un “front secondaire”, soit qu’il le nie en tant que problème spécifique (les anarchistes combattent pour la libération de l’individu quel qu’il soit ; on ne doit pas faire de division !).

Exposition Femmes Les femmes pendant la Première Guerre mondiale La plupart des expositions sur la Première Guerre mondiale ont trait aux conditions de vie sur le front, aux armements, aux tranchées. Centrées sur les soldats, elles en oublient le rôle des femmes dans la guerre. Une lacune que le Musée de la Grande Guerre de Meaux a voulu combler avec son exposition itinérante sur les femmes pendant la Première Guerre mondiale. Une histoire de la robe : contrainte ou liberté ? Concordance des temps, France Culture Voici quelques mois, le Musée des arts décoratifs, à Paris, a présenté une exposition intitulée : « Tenue correcte exigée » et sous-titrée « Quand le vêtement fait scandale ». Parmi les quatre cents vêtements et accessoires présentés figurait une robe portant de larges fleurs bleues. On aurait pu s’en étonner si on ne savait pas qu’elle avait été portée au Palais Bourbon par Cécile Duflot, membre à l’époque du gouvernement de Jean-Marc Ayrault, en juillet 2012, lors d’une séance des questions des députés . Et que cette robe d’été aurait suscité, au moment où la ministre prenait la parole, une bronca parmi les costumes sombres alignés sur les rangs de l’UMP, du côté de la droite.

Aux archives, citoyennes : les femmes et le travail « Aux Archives, citoyennes ». L’opération conduite par les Archives nationales donne lieu à une journée spéciale ce samedi 8 juin. La marraine en est l’historienne Michelle Perrot. Les hommes sont toujours décontenancés quand les femmes viennent s’installer dans le récit et le discours qu’ils ont l’habitude de tenir. Michelle Perrot : «Faire l’histoire des femmes, c’est contribuer à sortir les femmes des silences de leur histoire» Spécialiste mondialement reconnue de l’histoire des femmes et des classes populaires, Michelle Perrot est l’auteure d’une œuvre qui a permis de renouveler la discipline en donnant la parole à ceux et celles qui en ont été le plus souvent privés : les ouvriers, les détenus, les femmes. Quand nous la rencontrons chez elle, à quelques pas du jardin du Luxembourg à Paris, nous sommes frappés par sa chaleur et sa bonhomie lumineuse. Elle nous raconte simplement, et avec générosité, son histoire et l’histoire qu’elle a portée et animée avec passion depuis plus d’un demi-siècle, où domine son engagement citoyen, depuis la guerre d’Algérie, avec Pierre Vidal-Naquet, son collègue à l’université de Caen, jusqu’à #MeToo, qu’elle a mis en une du Libé des historien·nes, dont elle est aujourd’hui la rédactrice en chef.

Michelle Perrot : "Le travail de Françoise Héritier est monumental" L'historienne Michelle Perrot, qui a bien connu Françoise Héritier, intervenait au téléphone ce jeudi 16 novembre dans les Matins de France Culture, juste après le billet que Jean Birnbaum consacrait à l'anthropologue, pour rappeler l'importance de ses travaux. En particulier "Masculin / Féminin", son étude en deux volumes. Elle commence par rappeler qu'elles se sont beaucoup côtoyées au Conseil national du sida, au plus fort de l'épidémie, où l'attention de l'anthropologue à la question des prisons a permis que les questions sanitaires relatives aux détenus ne relèvent plus du Ministère de la Justice mais de celui de la Santé. Un "combat de l'ombre pour les Droits de l'homme". Par la suite, Michelle Perrot insiste d'ailleurs sur l'intérêt jamais tari de Françoise Héritier pour le changement, alors que sa discipline relève plutôt de ce qui est constant.

Madame du Deffand ou l'âge de la conversation La conversation telle qu’elle était pratiquée dans les salons fut en réalité le dernier idéal forgé par la noblesse française. Tournée vers des modèles d’un passé idéalisé, la conversation en est devenue un à son tour. Dans son salon, moire et bouton d’or, la marquise du Deffand, devenue aveugle, exerçait son autorité depuis son fauteuil, d’autant plus fameux qu’elle s’y abritait sous un toit en berceau. Un dizaine d’années durant, sa nièce, Julie de Lespinasse, l’assista avant de créer une maison concurrente.

Histoire des femmes, histoire du genre: Un site d'une grande richesse pour préparer le concours. by arnaudrolland Jun 25

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