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Point de vue des philosophes - Liberté choix

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La liberté selon Socrate. (Odos, Socrate, Eurythmos, Philippès, Euthyme) Odos Nous y voilà, je crois !

La liberté selon Socrate

Eurythmos Il semble bien, je reconnais l'endroit, et voici Euthyme et Philippès, qui débattaient déjà lorsque j'étais parti vous rejoindre, et dès lors, avec peu d'espoir de déboucher sur une solution au problème qui les occupait. Euthyme Ô Socrate, quelle joie tu nous fais en venant nous rendre visite ! Philippès Le voilà donc, ton sauveur, Euthyme ? Socrate Sauveur ? D'idées honteuses et irresponsables, tant et si bien, mon cher Socrate, que j'espère qu'elles ne sont pas de toi, ni d'aucun philosophe digne de ce nom.

Par Zeus, Euthyme, j'espère que tu ne m'as pas empêtré involontairement dans une situation embarrassante et dont je ne peux à présent plus m'enfuir. Ainsi, de quelle idée honteuse devrais-je répondre, en tentant de sauver par la même occasion ce qu'il reste de mon honneur bien fragile de philosophe ? Je ne dis pas le contraire, Socrate. Merci, Socrate, mais je n'ai pas fini, car je n'ai pas dit le pire. Socrate 470 av. J.-C. Aristote explique la matérialité libre. Billet invité.

Aristote explique la matérialité libre

La libre obligation de choisir Les sujets d’une société mettent en commun les causes formelles de leur valeur par une matière distincte des objets physiques circulant. La langue est l’ensemble des mots qui communiquent les idées. Les idées expriment les formes à partager dans les objets échangés. Selon la règle que les sujets de l’échange admettent entre eux, les idées présentes dans l’objet transmis sont plus ou moins communes ; la valeur est plus ou moins formée, plus ou moins durable entre ses sujets. La définition du marché de la valeur par la conjonction des quatre causalités aristotéliciennes complique l’idéalisme et le matérialisme, les deux postures d’intelligence qui délaissent la causalité finale.

L’idéalisme rend une valeur non quantifiable entre ses sujets. Métaphysique d’économie de la physique Plus qu’une réalité physique exclusivement positive en matérialité, l’économie contient du sens. La finalité dans le champ de l’économie Involution du procès de valeur. Aristote 384-322 av J.C. La liberté humaine chez Thomas d'Aquin. Thomas d'Aquin 1225-1274. L'héroïsme de la liberté chez Descartes. Descartes 1596-1650 (Idéalisme problématique) La liberté chez Descartes et Spinoza. Descartes et Spinoza Par Alain BILLECOQ Inspecteur d'Académie Inspecteur Pédagogique Régional de Philosophie (Les deux schémas récapitulatifs produits par l'auteur et mis en ligne par le webmestre sur un mode quelque peu artisanal seront sous peu améliorés.

La liberté chez Descartes et Spinoza

B. Une fable Lorsque nous faisons cours sur la liberté nous avons tendance à raconter une fable. Je vais être de mauvaise foi, simpliste et caricatural mais j’espère montrer que mon récit n’est pas entièrement mensonger. En schématisant, donc, à l’extrême, nous posons souvent la question de la liberté de la façon suivante : Spinoza versus Descartes. Soit le schéma : on part de l’opinion commune – la liberté est faire ce que l’on veut – que l’on illustre en la poussant de manière hyperbolique à l’aide de Gide et de l’acte gratuit ; liberté qu’il nous faut essayer de penser, c’est-à-dire à la fois expliquer et mesurer. Dès lors, comment lever cette antinomie dans laquelle nous nous sommes installés malgré nous ? Baruch Spinoza 1632-1677.

Hegel : la liberté individuelle Principes de la philosophie du droit, § 4-29. 1 Aujourd’hui, des auteurs influents comme Pettit et Honneth défendent l’idée selon laquelle la l (...) 1L’idée de faire de la liberté individuelle le point d’appui de la philosophie politique normative constitue l’une des manifestations les plus frappantes de l’influence du libéralisme sur la pensée moderne – une influence qui s’est d’ailleurs exercée jusque dans les conceptions non-libérales telles que le républicanisme1.

Hegel : la liberté individuelle Principes de la philosophie du droit, § 4-29

Après tout, il n’est pas naturel de vouloir faire passer toute la définition d’un ordre social désirable et d’un gouvernement raisonnable (c’est ce à quoi vise, en général la philosophie politique) à travers le chas de l’aiguille du thème de la liberté. Hegel 1770-1831 (Idéalisme absolu) La liberté dans le volontarisme de Schopenhauer. Schopenhauer 1788-1860 (Idéalisme volontariste) La liberté dans son rapport à l'autorité chez Soren Kierkegaard - M10293.pdf. Søren Kierkegaard 1813-1866 (pré-existentialiste) Nietzsche et le libre-arbitre. Friedrich Nietzsche 1844-1900. La liberté selon Henri Bergson...ou une alternative au libre-arbitre et au déterminisme. Nobel 1927 - Henri Bergson 1859-1941. Steiner : Philosophie de la liberté. Rudolf Steiner 1861-1925. SARTRE, PHILOSOPHE DE LA LIBERTE. Déjà précisons un peu ce terme, qui a des emplois divers.

SARTRE, PHILOSOPHE DE LA LIBERTE

Nobel 1964 - Jean-Paul Sartre 1905-1980. » L’existentialisme et la liberté. Merleau-Ponty. « La question [posée par l'ouvrage de Sartre] est celle du rapport entre l'homme et son entourage naturel ou social.

» L’existentialisme et la liberté. Merleau-Ponty

Il y a là-dessus deux vues classiques. L'une consiste à traiter l'homme comme le résultat des influences physiques, physiologiques et sociologiques qui le détermineraient du dehors et feraient de lui une chose entre les choses. L'autre consiste à reconnaître dans l'homme, en tant qu'il est esprit et construit la représentation des causes mêmes qui sont censées agir sur lui, une liberté acosmique. D'un côté l'homme est une partie du monde, de l'autre il est conscience constituante du monde. Aucune de ces deux vues n'est satisfaisante. Maurice Merleau-Ponty 1908-1961 (Phéno...de la perception)

L'ultime liberté existentialiste. L'ultime liberté existentialiste d'après Le mythe de Sisyphe d'Albert Camus Introduction Cette réflexion se veut inspirée d'un essai d'Albert Camus intitulé Le mythe de Sisyphe.

L'ultime liberté existentialiste

Dans cet essai, Camus évoque le caractère étranger du monde, la fondamentale absurdité existentielle que confronte celui qui ouvre, en toute honnêteté, ses yeux sur le néant. Nobel 1957 - Albert Camus 1913-1960.