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L'autogestion comme solution

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Les structures de retour à l'école - Microlycées Lutter contre le décrochage scolaire Depuis les années 2000, les structures de type « Microlycées » se sont développées sur le territoire pour permettre à des jeunes totalement déscolarisés de revenir à l'école de la Seconde à la Terminale, afin d'y préparer un baccalauréat. Ces structures de retour à l'école (SRE) sont d'une part innovantes parce qu'elles déplacent les cadres habituels du fonctionnement scolaire et d'autre part expérimentales parce qu'elles s'interrogent et se remettent en question régulièrement. Dans le cadre de la lutte contre le décrochage scolaire, elles constituent une solution appropriée à la prise en charge d'élèves sans solution qui souhaitent reprendre des études secondaires générales, technologiques ou professionnelles. La première vague de création de ces structures a lieu dans les années 2000 avec : Des formes divserifiées de Microlycées Ils souhaitent redevenir élèves et accéder à la réussite scolaire dont le baccalauréat est souvent le symbole.

Inauguration du 2ème micro-lycée public de l'académie au lycée Victor Louis à Talence Le 3 septembre 2015, Olivier Dugrip, recteur de l’académie de Bordeaux, Chancelier des Universités d’Aquitaine, était aux côtés d’Alain Rousset, président du Conseil régional d’Aquitaine, et d’Alain Cazabonne, maire de Talence pour l’inauguration du second micro-lycée public de l’académie de Bordeaux implanté au lycée Victor Louis à Talence. Accueilli par Jean-Jacques Laisné, proviseur du lycée Victor Louis à Talence, Monsieur le recteur est allé à la rencontre des équipes enseignantes et des élèves. La lutte contre le décrochage scolaire constitue un enjeu essentiel pour notre société du point de vue humain, social et économique. L’Education nationale se mobilise pour mettre en œuvre des mesures de prévention et d’intervention en faveur des élèves en situation de décrochage. Elle propose également aux jeunes qui ont décroché des structures de retour à l’Ecole qui leur permettent l’accès à la qualification. Pour visualiser toutes les photos cliquez ici Public ciblé :

Education - La Seiche.net C’est bien évidemment la racine. Comment se fait-il que l’école soit devenue un lieu où la pédagogie à l’écoute de l’enfant est minoritaire ? Où les mesures suivent les coupes sombres de programme sans rien y changer ? Où la compétition règne et où la violence est rampante ? Y a-t-il d’autres éducations que celle à laquelle nous sommes habitués ? :: Un peu d’histoire : la méthode mutuelle :: C’est à Jean-Baptiste de la Salle que l’on doit de ne plus apprendre à lire en latin mais en français, non plus individuellement mais tous ensemble autour d’un Frère laïc et c’est ainsi que l’enseignement commença à échapper à l’Eglise en 1684. :: Pédagogues :: > Maria Montessori (1870-1952) a basé sa pédagogie sur l’observation des enfants pour aboutir à une pédagogie ouverte qui prend en comptes les besoins réels de l’enfant en le considérant comme une personne à part entière. > René Barbier est professeur émérite à l’université de Paris VIII Saint-Denis en sciences de l’éducation depuis 2007.

La lutte contre le décrochage scolaire dans les LP Cet article a été rédigé à partir d’une enquête menée auprès de personnes chargées de la mise en œuvre d’un dispositif de « cellules de veille, d’accueil et de suivi » dans des lycées professionnels, et montre comment une orientation nationale est traduite dans une académie. La lutte contre le décrochage scolaire fait partie désormais des missions du LP. Elle est renforcée dans le lycée des métiers et orchestrée par l’académie, par la mise en place d’un « dispositif d’aide à l’insertion professionnelle ou de suivi des publics sortant de formation » [1]. Le travail des enseignants de LP et le décrochage scolaire Cette lutte contre le décrochage englobe aussi bien les élèves inscrits en LP que les jeunes inscrits en Centre de Formation des Apprentis (CFA). En effet, dans certains champs professionnels, les LP sont en quasi-monopole, ainsi pour les formations du domaine du tertiaire bureautique ou des carrières sanitaires et sociales. La « cellule de veille, d’accueil et de suivi » en LP

De la "classe Renaissance" au micro lycée Pascal SOUMIER est professeur de mathématiques au lycée Lomet à AGEN qui a ouvert à la rentrée scolaire la première structure de micro lycée professionnel public en France. Il retrace dans cette interview le cheminement de chacun dans cette construction collective : les enseignants bien sûr pour la mise au point de nouvelles démarches pédagogiques, la place du chef d’établissement, essentielle pour impulser et coordonner, le rôle des institutions dans l’affectation de moyens humains et matériels, l’apport des entreprises locales vitales pour mener l’alternance. "Nous sommes des pourvoyeurs de décrocheurs" dit-il et comme de nombreuses équipes pédagogiques, celle du LP Lomet s’est penchée sur la recherche de solutions. Constat d’abord de « l’absence de connexion entre la grosse structure de l’éducation nationale et ces jeunes » Puis réflexion d’une équipe dans le cadre du conseil pédagogique : les idées fusent ! Et le numérique ? Un excellent outil toutefois pour l’individualisation.

Les écoles indépendantes en bref - Choisir son école Une école indépendante (en droit, une école hors contrat) est une école créée par des personnes issues de la société civile. Une école indépendante ne dépend pas de l'Éducation nationale. Elle n'est pas aidée financièrement par l'État qui n'intervient que pour y garantir la sécurité des enfants, le respect de l'ordre public et la conformité de l'enseignement au Socle commun de connaissances fixé par la loi. Si ces écoles sont encadrées par le droit et font l'objet d'inspections plus approfondies et fréquentes que les écoles ordinaires, elles sont en revanche véritablement libres du choix de leur modèle éducatif, de leurs méthodes pédagogiques, de leurs programmes, de leur corps professoral, de leurs manuels, du rythme scolaire, de leurs diplômes, de leur éthos (vision et valeurs de l'établissement). Ce sont donc des écoles vraiment libres dont le sérieux est garanti par leurs modalités d'ouverture et par les inspections dont elles sont l'objet. Les écoles indépendantes en chiffres

[5] Les décrocheurs discrets 10 découvertes 2017Psychoéducation | Véronique Dupéré et Eric Dion - Université de Montréal et UQAMPar Martine Letarte - 04/01/2018 Dans plusieurs cas, le décrochage scolaire n’a rien à voir avec l’école. Il est plutôt lié à un événement stressant vécu récemment par le jeune. Le décrochage est l’aboutissement d’un parcours scolaire difficile; c’est l’explication classique. C’était l’hypothèse de Véronique Dupéré, professeure et chercheuse à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal et de son conjoint, Éric Dion, du département d’éducation et formation spécialisées à l’Université du Québec à Montréal. « Les adolescents sont extrêmement sensibles aux “stresseurs”, notamment dans leurs relations sociales, explique Véronique Dupéré. Pour creuser les causes du décrochage, les chercheurs ont réalisé une étude dans 12 écoles secondaires, à Montréal et dans ses banlieues, où le taux de décrochage est particulièrement élevé. Le couple de chercheurs avait vu juste. Photo: Bug Davidson

Le premier micro-lycée professionnel ouvert à Agen Le premier micro-lycée intégré à un lycée professionnel a été ouvert cette semaine à Agen et cette initiative, destinée à aider les jeunes "décrocheurs", pourrait être reproduite ailleurs si elle fait ses preuves, a déclaré jeudi la ministre de la Réussite éducative, George Pau-Langevin. Le micro-lycée, installé au sein du lycée professionnel Antoine-Lomet à Agen, compte pour l'instant six élèves âgés de 17 à 23 ans et doit leur permettre de préparer un bac pro "Commerce" ou "Gestion et administration". Le micro-lycée est une des structures mises en place par l'Éducation nationale pour permettre à des jeunes âgés de 17 à 25 ans ayant quitté le lycée sans diplôme avant la seconde, des "décrocheurs", de se rattraper. Cette structure "va être surveillée de près. À terme, et pour aider les quelque 150 000 jeunes qui sortent du système scolaire sans qualification, la ministre a souhaité qu'"une structure innovante de type micro-lycée puisse exister dans chaque académie".

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