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Constante macabre

Constante macabre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. André Antibi considère que la constante macabre est à l'origine de nombreux échecs scolaires. La constante macabre est un phénomène qui serait observé lors de la notation d'examens, par lequel la proportion de mauvaises notes serait similaire quel que soit le sujet de l'examen et quel que soit le correcteur, indépendamment de la qualité véritable des réponses données par ceux qui passent l’examen. Le terme a été créé en 1988 par André Antibi[1], chercheur en didactique, qui a publié en 2003 un livre sur le sujet[2]. « Par “Constante macabre”, j'entends qu'inconsciemment les enseignants s'arrangent toujours, sous la pression de la société, pour mettre un certain pourcentage de mauvaises notes. Ce pourcentage est la constante macabre[3]. » Ce phénomène de « sociologie dans l'évaluation » a depuis fait l'objet de plusieurs études, notamment dans le cadre de la sociologie de l'éducation[4],[5]. Définition[modifier | modifier le code]

La constante macabre de la notation Les mauvaises notes et la "constante macabre" --afp--060921---- Les enseignants admettent de plus en plus qu'à chaque contrôle en classe ils réservent systématiquement un pourcentage de mauvaises notes à leurs élèves, selon une enquête inédite réalisée par André Antibi professeur d'université et révélée mercredi lors d'un colloque au Sénat. "J'ai réalisé ces huit derniers mois une enquête auprès de 1.900 professeurs dans une vingtaine de régions leur demandant si «la constante macabre existe»", a expliqué à l'AFP M. Antibi. "Par «Constante macabre», j'entends qu'inconsciemment les enseignants s'arrangent toujours, sous la pression de la société, pour mettre un certain pourcentage de mauvaises notes. Selon son enquête, "95 % des enseignants répondent que «la constante macabre existe», ce qui signifie qu'ils reconnaissent ce pourcentage systématique de mauvaises notes". Il a mis en place depuis deux ans une expérimentation pour lutter contre cette "constante macabre".

Macabre constant Description[edit] Many parameters may contribute to the prevalence of this phenomenon, but the two main causes are: The tendency to sanction in the examination rather than emulating knowledge. This forces the reviewers to create tests based not on knowledge and skills, but on tricky questions, or even meta-knowledge (e.g., available in the book but not studied in the program or in the course with the professor).The credibility of the examination / teacher / institution vis-à-vis the society, leading to the establishment of a constant rate of failure. The macabre constant creates an "artificial failure of students",[3] which may potentially lead to a school disengagement of failing students[4] by a mechanism similar to the learned helplessness. Studies[edit] In 2006, Andre Antibi conducted a survey of 1900 teachers in France, which led to the result that "95% of the teachers recognized that the macabre constant existed, by which they account for the systematic attribution of bad marks

ds-3.0 - Fenêtre sur routes Introduction. Le présent document a pour objectif de présenter des pistes visant à introduire, ou renforcer, la dimension formative de l’évaluation. C’est également une façon d’exploiter ce moment privilégié de concentration de la part de nos élèves. En résumé Le DS est une action de formation, ses principaux acteurs sont les élèves et un de leurs professeurs (celui qui a préparé le DS). DS 1.0 : (prononcez [déesse un point zéro]) le DS traditionnel DS 2.0 : L’éléve produit de la matière pour un DS à venir DS 3.0 : L’élève fait marcher son réseau à la mi-temps Un devoir surveillé est un moment particulier de la formation qui vise à mesurer les acquis des apprenants. Voyons voir ce que nous entendons communément par DS. Un devoir surveillé, souvent abrégé en DS, est un contrôle de connaissances portant sur un ou plusieurs points abordés au cours de l’année scolaire en cours dans une discipline spécifique. Proposition de déclinaisons. Un DS a une durée de 1h à 4h en moyenne. C’est simple.

André Antibi (chercheur en didactique) «Evaluation des élèves : la constante macabre, ça suffit !» Pouvez-nous rappeler ce qu’est la « constante macabre » ? Cela part du constat que sous la pression de la société, les professeurs se sentent obligés inconsciemment de mettre un certain pourcentage de mauvaises notes pour être crédibles. Ce n’est pas la faute des enseignants. Dans notre système éducatif, un professeur qui donne de trop bonnes notes est immédiatement jugé comme un fumiste. La constante macabre, c’est quand, quel que soit le niveau des élèves, il y a toujours un tiers de très bons élèves, un tiers de moyens, et un dernier tiers de mauvais élèves. Ce n’est pas un peu démagogique de vouloir donner des bonnes notes à tout le monde ? Si, mais ce n’est pas du tout mon objectif. Que proposez-vous alors pour remédier à cette « constante macabre » ? Il faut commencer par aider le professeur à ne pas piéger ses élèves. Peux-t-on utiliser cette manière d’évaluer un élève dans toutes les matières ? Deux colloques sur l'évaluation « Une adhésion quasi-unanime : que fait-on à présent ?

Piaget, Vygotski, Freinet... tous coupables ? Avant toute chose, il faut s’entendre sur le sens des mots. Outre son acception particulière en histoire de l’art, le terme « constructivisme » recouvre au moins deux théories extrêmement différentes, selon que l’on se situe dans le champ de la psychologie et de la pédagogie d’une part, de la philosophie, de l’épistémologie et parfois de la sociologie d’autre part. Les deux sens du mot « constructivisme » En pédagogie, le constructivisme désigne un ensemble de conceptions issues notamment des travaux du psychologue suisse Piaget (1896-1980) et, davantage sans doute, du Russe Vygotski (1896-1934). Pour désigner l’héritage de ce dernier, on parle parfois de « socio-constructivisme », parce qu’il mettait davantage l’accent sur l’importance des relations sociales de l’enfant (avec son environnement, ses condisciples, ses professeurs) que sur le développement autonome de son intelligence. Un renversement des buts et des moyens Mais revenons à nos moutons de l’approche par compétences.

Des enseignants consommateurs mais encore peu « partageurs » Utiliser les cours des autres ? Utiliser les idées des autres ? Utiliser les documents des autres ? Dans les salles des professeurs, il arrive que des documents traînent sur les tables, parfois sur le photocopieur ; aussi, nombre de collègues n’hésitent pas à récupérer tout ou partie de ces supports pour leurs propres cours. Rappelons que dans la culture enseignante, la préparation d’un cours et sa réalisation sont des activités principalement solitaires et individuelles ; ces pratiques ne concernent pas tous les enseignants mais une grande majorité, … comme s’il semblait honteux de reprendre le travail fait par d’autres. « Un enseignant prend les affaires des autres mais il ne faut pas le dire ; il refait la même chose que l’année d’avant mais il ne faut pas le dire. En réalité, il faut quand même garder une trame puisque les programmes ne changent pas. Malheureusement, entre la culture du « co-pillage » et la culture de la mutualisation, la passerelle n’est pas encore bien établie.

Concevoir des cours, c’est de l’ingénierie pédagogique 89 Shares Share Tweet Email « La conception de cours par un enseignant est quelque chose de très important car cela associe aussi bien l’imagination pédagogique que l’utilisation de supports ». L’enseignant, un véritable ingénieur pédagogique Un enseignant ne peut pas utiliser le cours d’un autre de manière identique ; il doit toujours l’adapter et pour Bruno Devauchelle, « cela est une force ». Plusieurs paramètres vont rendre nécessaire cette adaptation, comme le nombre d’élèves, la disposition de la salle, le matériel technique disponible et enfin la personnalité même de l’enseignant. Tous les enseignants sont, à un degré ou un autre, des concepteurs de leurs cours mais dans ce travail en amont de leur enseignement, il y a une grande variété de fonctionnements. Bruno Devauchelle évoque l’exemple des MOOCs où l’on perçoit un argumentaire qui dirait que les machines et donc les vidéos proposés remplaceraient les cours. lu : 14541 fois

La classe inversée, bilan d’une expérience Des origines du projet... Avant de venir au bilan, il est nécessaire de reprendre l’origine du projet et son évolution. La classe inversée consiste comme son nom l’indique à inverser le concept traditionnel de la classe : cours magistral ou cours magistral déguisé en cours dialogué en classe et exercices à la maison. Avec la classe inversée, les élèves sont mis en activité en classe, le travail à la maison se concentre sur la partie magistrale, par l’apport de connaissances pures au travers de ressources variées. L’expérience que j’ai menée est née au printemps 2012 au travers des expériences de collègues en France et au Canada. Ma réflexion s’est développée jusqu’à la rentrée 2012, date à laquelle j’ai décidé de me lancer dans l’aventure. Toutefois, afin de prendre la mesure des changements induits par un tel changement de pratique, j’ai en même temps décidé de me lancer progressivement. La rentrée... La rentrée fut donc le jour de lancement. David Bouchillon

L'Agence nationale des Usages des TICE - La classe inversée : que peut-elle apporter aux enseignants ? par Isabelle Nizet * et Florian Meyer * La classe inversée exerce un attrait indéniable sur les enseignants qui souhaitent diversifier leurs approches pédagogiques et tenter de nouvelles expériences avec leurs élèves. Il semble cependant nécessaire de bien comprendre en quoi cette approche offre des bénéfices réels, alors que peu de recherches scientifiques ont démontré son efficacité à l’aide de données probantes, comme le soulignent Steve Bissonnette, professeur à la TÉLUQ, et Clermont Gauthier, professeur à l’Université Laval au Québec. Une définition souple La classe inversée est souvent perçue comme la simple inversion d’activités typiques d’un enseignement traditionnel : au lieu d’écouter l’enseignant en classe et de faire ses devoirs seul à la maison, l’élève réalise des apprentissages de manière autonome à l’aide de matériel numérique à la maison et fait des exercices en classe avec l’enseignant. Aux origines de la classe inversée Au carrefour de plusieurs tendances Pour conclure

Les pratiques collaboratives dans l'éducation - François Taddei Paris Innovation Review – Nos systèmes éducatifs sont-ils toujours adaptés à un monde qui change à une vitesse sans cesse plus grande, qui est de moins en moins vertical et hiérarchique et de plus en plus horizontal et collaboratif ? François Taddei – Nos systèmes éducatifs sont fondés sur la résolution de problèmes classiques. Typiquement, pour entrer dans une grande école, il faut passer des concours qui consistent pour l’essentiel à résoudre des problèmes ordinaires. Le problème avec la première forme d’intelligence (la résolution de problèmes classiques), c’est que les machines savent l’appliquer. Pourquoi est-il si important d’apprendre à travailler en collectif ? Nous sommes confrontés dans le monde entier à des problèmes qu’on ne sait pas résoudre. Il est particulièrement intéressant de voir que l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) va commencer à mesurer la résolution collaborative de problèmes à partir de 2015 dans le cadre de son programme PISA.

Cadre de référence : Profil TIC des étudiants du collégial Afin d’assurer aux étudiants la maîtrise d’habiletés indispensables à la poursuite des études collégiales et universitaires, de les préparer à la société du numérique et à la vie citoyenne, et de répondre aux attentes et exigences des universités et du marché du travail, le Réseau des répondantes et répondants TIC (REPTIC) a développé un Profil TIC des étudiants du collégial. Celui-ci se compose d’habiletés portant sur la recherche, le traitement et la présentation de l’information. À cela s’ajoutent deux habiletés qui invitent l’étudiant à travailler en réseau et à exploiter les TIC de manière efficace et responsable. Profil TIC des étudiants du collégial Ressources associées au Profil TIC des étudiants : Autres profils TIC des étudiants déjà produits par le Réseau REPTIC Profil TIC des étudiants du collégial 2009 Formats : Excel | PDF | EN LIGNE Profil du diplômé en Sciences humaines (2004) Profil du diplômé en Techniques de gestion et comptabilité (2004)

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