Les femmes dans la Grande Guerre
Cette carte postale produite par l'éditeur toulousain Laclau et cette photographie extraite de l'album de la poudrerie condensent l'essentiel des discours et des représentations sur les femmes pendant la Première Guerre mondiale : la première évoque des figures féminines rassurantes - l'infirmière, la fiancée, la mère ; la seconde montre le travail des femmes à la Poudrerie de Toulouse, activité traditionnellement dévolue aux hommes avant l'entrée en guerre. Mais derrière ces icônes, se profile une réalité nettement plus complexe... Le point sur... les femmes dans la Grande Guerre
Mémoires de guerres Kriegserinnerungen: Les femmes dans la Grande Guerre
Comment les femmes sont elle présente dans la première guerre mondiale? Quelles en sont les conséquences ? I Le soutien du soldat au front 1 les femmes infirmières2 la correspondance3 Les œuvres de charités II Mobilisation à l’arrière
Bêtes et poilus
Cette guerre-là ne figure dans aucun manuel. Ce fut celle de Pierrot, chien de mitrailleur, de Bella et Bertha, vaches des Scots Guards britanniques, de Néron, cheval de trait de l’artilleur Laerens, de Bel-Ami, le pigeon porteur de message, d’Oscar, le rat de tranchée. A toutes ces bestioles à poils et à plumes enrôlées dans la guerre 14-18, le musée royal de l’Armée belge consacre une exposition (1), fort justement intitulée «Chienne de guerre !» et que l’on aurait tort de considérer comme un simple bestiaire anecdotique dédié au cheval ou au chien inconnu tombé au champ d’honneur. Car la description du genre animal embrigadé dans la boucherie de la Première Guerre mondiale est le cruel miroir de la guerre des poilus, tant bêtes et humains furent unis dans les tranchées. Pour s’en convaincre, il suffit de s’arrêter dans le hall central de l’expo qui est une immersion sonore et visuelle dans la guerre.
La femme française pendant la guerre
La femme française pendant la guerre. Durée : 2230.6 secondes Bitrate : 0 bits par seconde nombre de frames : 55766 Codec video : h264 Codec audio : aac
Penser la guerre à partir des femmes et du genre : l’exemple de la Grande Guerre
1Ce colloque à forte résonance contemporaine qui propose une approche de long terme, convoque plusieurs disciplines et associe chercheurs et acteurs ; me présenter semble nécessaire pour introduire un propos d’historienne. Mon mode d’approche des sociétés occidentales, et notamment de la France du XXe siècle, est l’histoire des femmes et du genre, mise en œuvre d’abord à propos de la Grande Guerre (1914-1918)1. 2Bien avant l’émergence d’une histoire culturelle de la Première Guerre mondiale, l’histoire des femmes, dont le premier objectif dans les années 1970 fut de rendre visibles les femmes du passé, s’est en effet intéressée aux multiples expériences féminines pendant le conflit et à l’impact de l’événement sur la place des femmes dans les sociétés occidentales. 3Dans mon propos, la thématique « Barbarisation et humanisation de la guerre » se déclinera de deux façons. L’analyse de la guerre à l’Ouest reste dominée par la question de l’émancipation Des réponses incertaines
Les femmes dans la guerre
L'histoire n'a pas voulu prendre en compte les mérites et les souffrances spécifiques des femmes gommées de la mémoire de la guerre de 1914-1918 en faveur des combats des « poilus» relatés dans de nombreux ouvrages et bibliographies. Tandis qu'en 1939-1945, au front, à l'arrière elles sont militantes au service du pouvoir, résistantes espionnes journalistes munitionnettes, infirmières héroïnes de la survie quotidienne : l'engagement des femmes durant ces deux guerres ouvre encore de vastes perspectives de recherches. La guerre de 1914-1918 Le déclenchement des hostilités de la première guerre mondiale provoque deux réactions majeures pour les femmes : servir à leur façon au plus près du front ou pallier le manque suscité par l'absence des hommes. La population rurale qui domine démographiquement la majeure partie de l'Europe oblige les femmes à faire face à la gestion du patrimoine familial. Le statut des femmes
Histoire et mémoire des deux guerres mondiales - Enseigner la première guerre mondiale - Les femmes et la 1ère guerre mondiale par Jocelyne et Jean-Pierre Husson
Pendant la 1ère guerre mondiale la contribution des femmes à l'effort de guerre a revêtu des formes multiples : - courage des femmes d'agriculteurs qui, dans une France encore à dominante rurale et agricole, ont dû assumer à partir de l'été 1914 les durs travaux des champs ; - dévouement des infirmières qui ont soigné les soldats blessés dans les hôpitaux de guerre et les maisons de convalescence ; - compassion des « marraines de guerre » qui écrivaient et envoyaient des colis aux soldats du front, rendaient visite aux blessés dans les hopitaux ; - courage aussi des femmes des villes qui ont dû pallier le manque de main d'oeuvre dans de nombreux secteurs d'activités, distribuant le courrier, conduisant les tramways, travaillant plus de 10 heures par jour dans les usines d'armement. 1/ L'appel aux Françaises de Viviani « Debout, femmes françaises, jeunes enfants, filles et fils de la patrie. Remplacez sur le champ de travail ceux qui sont sur le champ de bataille.
HOMMAGE AUX POILUS,AUX FUSILLES POUR L'EXEMPLE - Site consacré à la ville d'Outreau
mondial Plus de 700 soldats ont été fusillés pour l'exemple pendant la guerre de 1914-1918. Joseph Dauphin, originaire du Puy-de-Dôme, était l'un d'eux. Mis à jour le 07/11/2013 | 09:24 , publié le 07/11/2013 | 02:01
L'évolution de la condition féminine pendant la 1ère guerre mondiale
L'évolution de la condition féminine pendant la 1ère guerre mondiale Au cours de la 1ère guerre mondiale, les femmes furent mobilisées pour l'économie de guerre et pour relancer le moral des troupes au front. Cependant, c'est seulement quand l'opinion publique se rend compte que la guerre est totale que l'on fait appel au travail féminin.
#11Novembre : les femmes dans la Grande Guerre
Le 7 août 1914, le président du Conseil, René Viviani, lance un « appel aux femmes de France pour la moisson ». 850 000 femmes d’exploitants se trouvent à la tête des exploitations. Ce sont les Gardiennes évoquées par le romancier Ernest Perochon dans un roman paru en 1924. On les exhorte à prendre la place des hommes et à redoubler d’efforts pour répondre à la situation née de la guerre. En plus de la mobilisation des hommes, d’autres éléments complexifient le travail de la terre. Un tiers des chevaux sont réquisitionnés, on reconvertit des usines chimiques pour les besoins de l'armée : il y a donc moins d'engrais disponibles.
BD "Collaboration horizontale" : portraits de femmes sous l'Occupation
Excellent portrait de femmes sous l’Occupation pendant la Seconde Guerre Mondiale dans Collaboration horizontale de Carole Maurel sur un scénario de Navie aux éditions Delcourt. Paris, 1942. Alors que la capitale est occupée par les soldats allemands, la vie tente tant bien que mal de se dérouler.
Stalingrad : les héroïnes cachées de l’Armée rouge - 13/03/2013 - News et vidéos en replay - L'Ombre d'un doute
Les femmes combattantes de l’armée russe pendant la seconde guerre mondiale : un phénomène militaire quasiment inconnu des occidentaux, voire tabou… Fiction, propagande ou réalité ? La rumeur persistante parle d’un million de jeunes femmes soviétiques qui auraient combattu. La réalité serait plutôt de 520.000 femmes engagées sur le front.