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Ile Longue 1914-1919, das Internierungslager, le camp de prisonniers, the internment camp

Ile Longue 1914-1919, das Internierungslager, le camp de prisonniers, the internment camp

Qui a été mobilisé pendant la Première Guerre mondiale ? Qui a été mobilisé pendant la Première Guerre mondiale ? La Première Guerre mondiale a vu plus de 8 millions d'hommes être mobilisés en France. Comment savoir si la personne sur laquelle je fais des recherches a été mobilisée ? Une seule certitude : les classes mobilisées. Grâce aux états des classes publiés tous les ans et dont il était fait une forte publicité dans les communes et la presse, on sait quelles furent les classes mobilisées pendant la guerre : celles de 1887 à 1919. Voici la répartition des classes valable du 1er octobre 1913 au 30 septembre 1914, suivie pour la mobilisation : (1) Pourquoi est-ce la seule certitude ? Par l'engagement volontaire et les carrières d'officiers, des hommes nés avant 1867 peuvent avoir participé au conflit. Les effectifs mobilisés : On trouve aisément sur Internet des statistiques sur les classes et les effectifs mobilisés. - Hommes mobilisés : - Réservoir d'hommes en 1914 et effectifs mobilisés pendant la guerre : La suite de la recherche : Sources :

première guerre mondiale, gouvernement, guerre, Photographie, Arthur Mole, John D. Thomas, Philadelphie, oncle sam, Durant la Première Guerre Mondiale, le gouvernement américain commanda à l’anglais Arthur Mole et l’américain John D. Thomas une série de photographies de foules de soldats à fins propagandaires, « patriotiques ». Celles ci devaient représenter des symboles forts, de la cloche fêlée de Philadelphie à l’Oncle Sam.

ARCHIVES MEDICALES des HOPITAUX MILITAIRES (1914-1918) - hopitauxmilitairesguerre1418.overblog.com Historique de la conservation des archives hospitalières militaires 14-18 – Statistique médicale de la guerre 14-18 – Bureaux d’archives des hôpitaux fermés (1917) Lors de la Première guerre mondiale il n’existait pas d’organisme central de conservation des archives médicales à l’instar du Service des archives médicales et hospitalières des armées (SAMHA de Limoges) actuel dont l’historique succinct, l’organisation et le fonctionnement ont fait l’objet d’un article de MM. Bessière et Merlet mis en ligne par le CRID 14-18 Mon objectif, au travers des notes qui suivent, est de présenter, après un rapide « survol » des origines, l’historique des archives médicales des hôpitaux militaires dans la Guerre 1914-1918, période qui n’a pas été développée par les précédents auteurs. L'ouvrage "Scandales Médicaux pendant la guerre" d'Henry de Golen (réédition 1933), avec enquête sur l'ouvrage et l'auteur. est paru en octobre 2017 I - Aux origines des archives hospitalières militaires. Contact SAMHA :

Le 28 août 1914 : « Grosses pertes, reste 1 050 hommes sur 3 000 » | Matricule 0220 : le blog du poilu Le carnet d’Henri Flamant (Archives familiales, DR) 28 août 1914 Entendons le canon devant nous, du côté de la Meuse vers Montmédy : revue du colonel à 8 heures et demie. Making of Le caporal Henri Flamant, dont nous publions les carnets rédigés au jour le jour, vit la fin de la « bataille des frontières » (10-28 août 1914) visant à retarder, sur la Meuse, l’avancée des Allemands. Le 24 août 1914, Joffre a décidé la retraite de la 5e armée, entre Maubeuge et le massif boisé des Ardennes. Ensuite, fait la soupe, pas de distribution ; je dois manger des conserves. Nous touchons une demie boule [de pain]. Le régiment a subi de grosses pertes, reste 1 050 hommes sur 3 000. La section de mitrailleuses qui ne sait pas où sont restées ses pièces. 29 août 1914 Réveil 4 heures, suis beaucoup mieux ; bois bonne tasse de lait ; jambes faibles ; ventre vide. Fait le café. 30 août 1914 Nous étions préparés à bien dormir, mais à 11 heures du soir : sac au dos. La canonnade devient générale.

La Grande Guerre (1914-1918) dans Gallica A l’occasion de l’exposition «Orages de papier : la Grande Guerre des médias» à la Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine – Musée d’histoire contemporaine (à partir du 27 octobre 2010 sur le site des Invalides) Le Petit journal. Supplément du dimanche Source: Bibliothèque nationale de France La Bibliothèque nationale de France et la Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine (BDIC) proposent à l’automne 2010 aux enseignants d’histoire, de lettres, de langues et d’arts des académies de Paris, Créteil et Versailles trois types d’activités pédagogiques pour leurs classes autour de l’histoire de la guerre de 1914-1918. C’est l’occasion de revenir sur la variété des ressources disponibles sur Gallica, une bibliothèque collective puisque la Bibliothèque numérique de Roubaix, mais aussi Medic@ et bientôt la BDIC contribuent à l’enrichir sur cette thématique : Les clichés de l’agence de presse ROL : Quelques dates marquantes du conflit à travers la presse :

Lazare Ponticelli, immigré italien et dernier poilu français 1Le hasard a voulu que le dernier poilu français fût un immigré italien. Lazare Ponticelli, né en 1897 en Émilie-Romagne, est entré dans l’histoire quelques années avant sa mort survenue le 12 mars 2008, à l’âge de cent dix ans. Ce hasard émerge en fait d’une histoire nationale qui, depuis deux siècles, s’est construite avec l’immigration et s’est nourrie des apports étrangers. Indispensables à la modernisation économique et au peuplement d’un pays menacé par la dépopulation pendant plus d’un demi-siècle, les étrangers ont été de tous les combats, au sens figuré comme au sens propre. Le déclenchement de la Première Guerre mondiale fut un moment emblématique. 2L’un des groupes les plus enthousiastes pour défendre la France, symbole de liberté et de démocratie face aux régimes autoritaires, est celui des “Russes”, en réalité les juifs émigrés depuis les années 1880, fuyant l’Empire des tsars et ses pogroms. 3Ces combattants allogènes allaient être intégrés à la Légion étrangère.

Retracer le parcours d'un ancêtre pendant la Première Guerre Mondiale Retrouver le lieu de sépulture d'un soldat tué en 1914-1918 Cette semaine, une question de Luc Molet : Existe-t-il un site Internet ou une adresse postale qui me permettra de retrouver le lieu d'inhumation d'un membre de ma famille tué au cours de la guerre 1914-1918 ? Oui, vous pouvez interroger la base de données du site Sépulture de Guerre à l’adresse : mais seuls les combattants inhumés dans des nécropoles militaires ou dans les carrés militaires des cimetières communaux y sont répertoriés. De nombreuses familles préféraient récupérer les corps des défunts pour les faire enterrer près d’elles, dans un caveau familial. Jérôme MALACHE, Généalogiste professionnel en région parisienne Pour la CSGHF Besoin d'aide ? Pour utiliser au mieux Geneanet, consultez notre rubrique "Aide" qui détaille et explique toutes les fonctions du site à l'aide de nombreux tutoriels. Rubrique débuter Pour des questions plus spécifiques, rendez-vous dans nos forums d'aide. Forum d'aide

des Normands dans la Grande Guerre: Les invités du 36e : Michel Rouger et Léon Vivien. L’homme de Meaux et l’homme de mots Un mois et demi après le lancement de la page Facebook de Léon Vivien - ce poilu de fiction qui raconte quotidiennement son expérience du front en direct des années 1914-1915 -, Michel Rouger, directeur du musée de la Grande Guerre de Meaux , revient sur la genèse et les intentions du projet. Comment est née l’opération Léon Vivien ? A l’occasion de notre premier anniversaire [novembre 2012, NDR], l’agence de publicité française DDB, dans le cadre d’un mécénat, nous avait offert une campagne de communication , déclinée en huit visuels, basée sur des photos de la collection du Musée de Meaux. En 2013, l’agence a récidivé et nous a proposé de faire un “Facebook 1914”. Quelle dimension du conflit souhaitiez-vous transmettre ? Plus qu’une “dimension” du conflit, notre but principal était de parler du conflit au plus grand nombre, d’avoir une approche sensible de la Première Guerre mondiale, à hauteur d’homme. Combien de personnes ont travaillé sur cette opération ? C'était délibéré. Non.

Le portail officiel du centenaire de la Première Guerre mondiale est lancé Aller au contenu principal Accueil > Centenaireorg > Le portail officiel du centenaire de la Première Guerre mondiale est lancé centenaire.org Le portail officiel du centenaire de la Première Guerre mondiale est lancé Tranchées de Massiges © Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale Image locale (image propre et limitée à l'article, invisible en médiathèque) Le portail officiel du Centenaire de la Grande Guerre est accessible dans une première version. L’objectif du portail centenaire.org est d’offrir aux internautes des ressources à la fois pratiques et historiques dans le cadre d’un événement mémoriel majeur. La structure de centenaire.org sera régulièrement mise à jour tout au long de l’année 2013 et proposera de nouveaux outils.

Représenter et se représenter la Première Guerre mondiale - Faire parler les images (1914-1918) Si les photographies pouvaient parler... (2) Sapeur du 335e RI, Sivry ? , juin 1915 (1) : Cette photo-carte est complète, c'est assez rare pour être signalé : on y trouve une identité précise, une date précise, une unité et une affectation précises, une correspondance ; ne manque qu'une localisation qui peut être déduite des autres informations disponibles. L'intérêt de ce document n'est pas que dans ces informations : il est aussi dans les données disponibles sur cet homme et sur les circonstances qui ont permis à cette image d'être au centre de ce petit travail. Un sapeur du 335e RI : Le 335e RI est le régiment de réserve du 135e RI d'Angers. Qu'est-ce qu'un sapeur dans un régiment d'infanterie ? Ces hommes sont tout de même spécialisés dans des missions habituellement destinées au génie. Comme le montre le numéro apparaissant en partie à droite de l'image, il ne fut probablement pas le seul soldat à passer ce jour là devant l'appareil. Lorraine, printemps 1915. La malheureuse campagne :

1914-1918 Mise à jour de la base recoupements 1914-1918. Cette base fait partie de l'ensemble Mémorial, elle répertorie les soldats de l'armée française Morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale par régiments et lieux de décès. Les sources utilisées pour la construction de cette base de données sont diverses : relevés des monuments aux morts et autres (base principale de Mémorial), historiques régimentaires, livres d'or, ... Cette base, qui vise l'exhaustivité, n'est pas modifiable en ligne, un message à Patrick Caulé (voir sur le site) sera pris en compte rapidement si la demande est justifiée. Cette base de données est en construction, elle compte actuellement 522 535 soldats sur environ 1 300 000 et 4 625 photos individuelles. En cours d’affichage, les tris par régiment, par date et/ou par lieu, selon l’environnement, sont possibles, par simple clic en tête de colonne. Bonnes recherches.

UN SIECLE DE MATRICULES DANS LA (Excepté les engagés volontaires entre 1914 et 1918 – voir n° 8). La circulaire du 4 mai 1870, en nous indiquant la manière de marquer les effets, nous donne des précisions sur le matricule. Chaque port de recrutement enregistre les marins – non inscrits maritimes (voir n° 7) – au fur et à mesure de leur incorporation dans une numérotation à suivre (sans remise à zéro au 1er janvier de l’année). Exemple : 62800.1 désigne le 62800e inscrit à Cherbourg. A compter du 1er novembre 1924, la numérotation recommence à zéro chaque année civile et dans chaque port. Exemple : 2094 26-V indique un homme incorporé à Toulon en 1926. Cependant, on le rencontre le plus fréquemment écrit en ligne (Photo 2 - En bas d'un col bleu) Si ce matricule est précédé de la lettre L, cela signifie que le marin est inscrit sur la liste et non le registre-matricule, c'est-à-dire qu'il n'est pas originaire de la circonscription de réserve maritime de son lieu d'incorporation. Exemple : 4213/C/31~ 250-Biz-29 - deux points,

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