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Comment la technologie modifie la manière dont on se pense? Boris Cyrulnik / Jean-Claude Kaufmann

Comment la technologie modifie la manière dont on se pense? Boris Cyrulnik / Jean-Claude Kaufmann

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Le DSM invente de fausses maladies, par Boris Cyrulnik Boris Cyrulnik : De fausses maladies sont inventées Le DSM* est accusé d'avoir inventé des maux... et les pilules pour les soigner ! (5 mn) * DSM : Diagnostic and Statistical Manuel of Mental Disorder Voir l'article Wikipédia en français Conflits d'intérêts financiers entre l'industrie pharmaceutique et les experts du DSM : Depuis une dizaine d'années, plusieurs enquêtes dénoncent les conflits d'intérêts de certains experts impliqués dans le comité du DSM.

Boris Cyrulnik : Ce que je crois : Résilience et pratiques éducatives Certes, ce n’est pas « son » concept. Boris Cyrulnik a toujours pris soin d’en rendre la paternité à Albert J. Solnit, Emmy Werner, Michael Rutter ou encore à son « maître », le psychiatre et psychanalyste anglais John Bowlby. Il n’empêche : c’est lui qui a fait découvrir la résilience au grand public. Non sans attiser une certaine agressivité parmi des psychanalystes : « Ils réagissaient viscéralement, avec la peur, sans doute, que ce concept puisse remettre en question leurs approches. Conséquence ?

Boris Cyrulnik : « Peu d’enseignants ont conscience de leur impact affectif sur les enfants » Vous avez cosigné une tribune du Monde intitulée « Contre l’école inégalitaire, vive le collège du XXIe siècle ». Qu’est-ce qui vous a motivé à entrer dans le débat autour de la réforme du collège ? C’est le constat que l’école a perdu sa capacité d’intégration : intégration des enfants des classes sociales défavorisées et intégration des enfants issus de l’immigration. Dans ma génération, seuls 3% des enfants faisaient des études supérieures, mais lorsque j’étudiais la médecine, il y avait plus de 10% d’enfants « pauvres », contre moins de 2% actuellement.

Sortir plus forte d'une épreuve - Boris Cyrulnik et résilience - Cyrulnik : interview sur la résilience Après un traumatisme, on ressasse, et la tristesse persiste. La rage de comprendre est une façon de métamorphoser la blessure. Dans la recherche d’explication va naître une vraie satisfaction : satisfaction de comprendre, satisfaction de réparer sa souffrance. La résilience abrite un drôle de couple, fait de tristesse et de plaisir. Boris Cyrulnik Pour être heureux, il faut avoir souffert Patrice van Eersel et Marc de Smedt Dans la trajectoire de Boris Cyrulnik, il y eut d'abord les livres d'éthologie sur l'affectivité animale. Puis toute la série humaine sur la résilience, qui explique comme un enfant maltraité peut s'en sortir, grâce au regard de l'autre. Paru fin 2006, De chair et d'âme constitue le premier livre d'une nouvelle série sur l'inséparable unité de ce qui constitue l'humain. Ce qui est frappant, c'est la précision ultrafine de ce que l'imagerie médicale est désormais capable de nous apprendre sur ce qui se passe en nous à chaque seconde, quand nous percevons, pensons, croyons, agissons - et comment cela bouleverse notre vision du monde, en décortiquant la genèse neuro-relationnelle de nos organes. Quand un singe regarde un autre singe agir, il met en branle les mêmes processus neuronaux que s'il agissait lui-même. Même processus quand il rêve qu'il se trouve dans telle ou telle situation.

Boris Cyrulnik : L’âme et le corps enfin réconciliés Le spécialiste de la résilience publie un nouvel essai : De chair et d’âme. Un ouvrage audacieux dans lequel il démontre, preuves scientifiques à l’appui, la coexistence en nous de deux inconscients, psychologique et neurologique. Isabelle Taubes

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