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Dialectique

Dialectique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). Elle aurait été inventée par le penseur présocratique Zénon d'Élée[1], mais c'est surtout son emploi systématique dans les dialogues de Platon qui a popularisé l'usage du terme. La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement. Histoire[modifier | modifier le code] La dialectique dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Chez les présocratiques[modifier | modifier le code] Related:  Philosophie et culture générale

Herméneutique L'herméneutique (du grec hermeneutikè, ἑρμηνευτική [τέχνη], art d'interpréter, hermeneuein signifie d'abord « parler », « s'exprimer »[1] et du nom du dieu grec Hermès, messager des dieux et interprète de leurs ordres) est la théorie de la lecture, de l'explication et de l'interprétation des textes. L'herméneutique ancienne est formée de deux approches complètement différentes : la logique d'origine aristotélicienne (à partir du Peri hermeneia ou De l'interprétation d'Aristote) d'une part, l'interprétation des textes religieux (orphisme ou exégèse biblique par exemple) et l'hermétisme d'autre part. L'herméneutique moderne se décline en sous-disciplines : Définition générale[modifier | modifier le code] Champs de l'herméneutique[modifier | modifier le code] On parle d'« herméneutique » pour l'interprétation des textes en général. L'interprétation des Écritures saintes, qu'il s'agisse de la Bible ou du Coran, est un sujet qui demeure délicat. Stoïcisme[modifier | modifier le code]

Aristote Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait d'après un original en bronze de Lysippe. La nature (Phusis) tient une place importante dans la philosophie d'Aristote. Selon lui, les matières naturelles possèdent en elles-mêmes un principe de mouvement (en telos echeïn). À sa mort, sa pensée connaît plusieurs siècles d'oubli. Au xxe siècle, sa philosophie connaît un regain d'intérêt. Biographie La vie d'Aristote n’est connue que dans ses grandes lignes[3],[4],[5]. Les années de jeunesse Vers 367 av. Précepteur d'Alexandre Durant la période où il enseigne à l'académie, Aristote suit la vie politique locale, mais sans pouvoir y participer du fait de son statut de métèque (« étranger » à la cité). En 343 av. Vers 341 av. Aristote retourne à Athènes en 335 av. Fondation du Lycée École d'Aristote, peinture de 1880 par Gustav Adolph Spangenberg. Les dernières années En 327 av. À la mort d’Alexandre le Grand, en 323 av. En 322 av. L'homme, l’œuvre et l'itinéraire intellectuel La logique Œuvres

Démonologie Le mot « démonologie » provient du grec δαίμων (daimōn), « divinité », « pouvoir divin », « Dieu »[1] et de -λογία (-logia), « la science », « l'étude ». Jusqu'à la fin du XIIIe siècle, peu d'intérêt était porté aux démons[réf. nécessaire]. Le Traité sur le mal de Thomas d'Aquin en 1272 rappelle que le diable est un hérétique, et que la sorcellerie un crime d'hérésie. Définition[modifier | modifier le code] Les objectifs de la démonologie sont d'opérer une classification hiérarchique des démons, de connaître leurs histoires et de comprendre leur façon d'opérer. Satan, Léviathan[3], Bélial et Lucifer sont quatre êtres différents. D'après Richelmus de Schental, abbé cistercien de Wurtemberg au XIIIe siècle, les démons se comptent par centaines de milliards. Développements[modifier | modifier le code] Michel Psellos est considéré comme une source incontournable de la démonologie par les théologiens de la Renaissance, une époque où le diable revient au centre des débats philosophiques.

Psychopathologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Martin Charcot est le précurseur de la psychopathologie. Concept[modifier | modifier le code] La psychopathologie est l'objet d'étude de la psychologie clinique et de la psychiatrie, elle est enseignée dans les universités ou en clinique. À propos de la différence entre une sémiologie étroite, c'est-à-dire simplement rivée aux symptômes et une réflexion approfondie qui fonde la psychopathologie, Eugène Minkovski écrivait : « Certes, quand il s'agit de rédiger un certificat d'internement ou d'enseigner les éléments de la psychiatrie au médecin praticien, les hallucinations, les idées délirantes, les impulsions, les réactions anti-sociales, l'agitation, la dépression, suffisent amplement. Il n'en est plus de même quand, en psychologues, nous essayons de comprendre le fond qui conditionne tous les troubles dont je viens de parler et sont déjà forts complexes de par leur nature. Analyses[modifier | modifier le code]

Vidéo : 100 ans d'Histoire en 10 minutes (1911-2011) - Yahoo! Juste avant Noël nous vous présentions une vidéo de Reuters compilant les faits marquants de l'actualité de l'année 2011. Un internaute est allé bien plus loin en réalisant un condensé des principaux évènements des cent dernières années, de la "conquête" du pôle Sud en 1911 par Roald Admunsen à l'accident nucléaire de Fukushima, résumés en tout juste dix minutes. Epidémies, guerres civiles et mondiales, génocides, dictatures, bombes atomiques, famines, crises économiques, catastrophes naturelles, attaques terroristes... le résultat est forcément anxiogène, faisant la part belle aux épisodes funestes de l'Histoire, en dehors de quelques inventions, grandes découvertes ou évènements sportifs planétaires. Le montage est-il trop négatif, ou bien illustre-t-il la dérive destructrice de l'Homme ? A vous de juger. Via Retrouvez cet article sur fluctuat.net

Portail:Logique Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce portail a pour but de présenter la logique qui est un des domaines les plus importants de la recherche et de la connaissance. Son objectif est de mettre en avant les différents aspects de cette discipline dans une perspective pluridisciplinaire. La logique est en effet une composante essentielle aussi bien de l'informatique et de la linguistique que des mathématiques et de la philosophie (et tout particulièrement de la philosophie analytique). Ce portail s'adresse donc aux mathématiciens, aux philosophes, aux passionnés d'intelligence artificielle et à tous ceux qui veulent approfondir leurs connaissances d'une discipline en plein bouleversement - ou bien les partager. Si vous voulez vous-même participer aux articles concernant la logique, il existe une page Projet Logique qui permet aux différents contributeurs de coordonner leurs efforts.

Bertrand Russell Bertrand Russell en 1916 Signature modifier - modifier le code - modifier Wikidata Bertrand Arthur William Russell, 3e comte Russell, né le 18 mai 1872 à Trellech (Monmouthshire, pays de Galles), et mort le 2 février 1970 près de Penrhyndeudraeth, au pays de Galles, est un mathématicien, logicien, philosophe, épistémologue, homme politique et moraliste britannique. Russell est considéré comme l'un des philosophes les plus importants du XXe siècle. Sa pensée peut être présentée selon trois grands axes. La logique est le fondement des mathématiques : Russell est, avec Frege, l'un des fondateurs de la logique contemporaine. Il soutient l'idée d'une philosophie scientifique[49] et propose d'appliquer l'analyse logique aux problèmes traditionnels, tels que l'analyse de l'esprit, de la matière (problème corps-esprit), de la connaissance, ou encore de l'existence du monde extérieur. Biographie[modifier | modifier le code] Bertrand Russell peint par Roger Fry en 1923. Photographie de Russell à 4 ans.

Utopie L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, titre de son livre L'Utopie, du grec οὐ-τόπος / ou-tópos, « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale, opposée aux sociétés réelles imparfaites. C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique idéal (qui gouvernerait parfaitement les hommes), une société parfaite (sans injustice par exemple, comme la Callipolis de Platon ou la découverte de l'Eldorado dans Candide) ou encore une communauté d'individus vivant heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème dans Gargantua de Rabelais en 1534), souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps. Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. Genre opposé, la dystopie — ou contre-utopie — présente non pas « le meilleur des mondes » mais « une utopie en sens contraire », selon F.

Georges Canguilhem Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Georges Canguilhem Philosophe français XXe siècle Georges Canguilhem est un philosophe et médecin français, né le à Castelnaudary et mort le à Marly-le-Roi. Spécialiste d'épistémologie et d'histoire des sciences, il publia des ouvrages très importants sur la constitution de la biologie comme science, sur la médecine, la psychologie, les « idéologies scientifiques » (il réinterprète un concept majeur de Karl Marx dans L'Idéologie allemande) et l'éthique, notamment Le normal et le pathologique et La connaissance de la vie. Sa thèse principale est que le vivant ne saurait être déduit des lois physico-chimiques ; il faut partir du vivant lui-même pour comprendre la vie. Biographie[modifier | modifier le code] En 1941, Georges Canguilhem est nommé chargé de cours à l'université de Strasbourg. Il est nommé directeur de l'Inspection générale de philosophie en 1948. Une philosophie de la science[modifier | modifier le code]

Demeures Peintes Paradoxe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Paradox. Les « cubes impossibles » de M. Un paradoxe, d'après l'étymologie (du grec paradoxos, « παράδοξος » : « contraire à l'opinion commune », de para : « contre », et doxa : « opinion »), est une idée ou une proposition à première vue surprenante ou choquante, c'est-à-dire allant contre le sens commun. Le paradoxe, comme le précise le neuvième dictionnaire de l'Académie française[1], en est venu à désigner plus tard, de façon plus restrictive, une proposition qui contient ou semble contenir une contradiction logique, ou un raisonnement qui, bien que sans faille apparente, aboutit à une absurdité, ou encore une situation qui contredit l'intuition commune malgré la définition originelle dans la version huit de ce même dictionnaire. Le paradoxe est un puissant stimulant pour la réflexion. On trouvera une collection importante de paradoxes dans la catégorie Paradoxe. Histoire[modifier | modifier le code]

Cleantech Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les cleantech (abréviation de clean technology) sont les techniques et les services industriels qui utilisent les ressources naturelles, l’énergie, l’eau, les matières premières dans une perspective d’amélioration importante de l’efficacité et de la productivité. Cette approche s’accompagne d’une réduction systématique de la toxicité induite et du volume de déchets, et assure une performance identique aux technologies existantes ou supérieure à celles-ci. Terminologie[modifier | modifier le code] Le terme cleantech correspond à la terminologie utilisée par les fonds d’investissements américains et signifie littéralement « technologies propres ». La multiplicité des termes consacrés montre que la terminologie ne s’est pas encore tout à fait stabilisée, comme c'était le cas pour le terme NTIC voici une dizaine d’années quand il s’agissait de décrire l’émergence du vaste secteur couvrant aussi bien l’Internet que les Télécoms[2].

Élisabeth de Fontenay Élisabeth de Fontenay en 2009. Élisabeth de Fontenay, née en 1934, est une philosophe et essayiste française, philosophe reconnue de la question juive et de la cause animale[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Famille, enfance et conversion au judaïsme[modifier | modifier le code] Elle est élevée dans la religion catholique, baptisée enfant, puis inscrite à l'âge de 5 ans au collège Sainte-Marie de Neuilly. À 22 ans, elle abandonne le catholicisme et se tourne vers le judaïsme ; elle détaille sa conversion dans l'ouvrage Actes de naissance, paru en 2011[1],[2],[3]. Carrière[modifier | modifier le code] Cette réflexion peut être rapprochée du courant actuel de la pensée posthumaniste représenté notamment par Peter Sloterdijk ou Donna Haraway. À la mort de Jankélévitch en 1985, elle fonde, avec notamment Pierre Michel Klein et Béatrice Berlowitz, l'Association Vladimir Jankélévitch. Elle fait aussi partie du Comité d'éthique ERMES[8], aux côtés notamment d'Henri Atlan. Et encore :

Babe Paley Barbara "Babe" Cushing Mortimer Paley (July 5, 1915 – July 6, 1978) was an American socialite and style icon. She was known by the popular nickname "Babe" for most of her life. She was named to the International Best Dressed List Hall of Fame in 1958.[1] Early life[edit] Born Barbara Cushing in Boston, Massachusetts, she was the daughter of world-renowned brain surgeon Dr. Harvey Cushing, who was professor of surgery at Johns Hopkins, Harvard and Yale universities, and Katharine Stone Crowell Cushing. A student at the Westover School in Middlebury, Connecticut, she was presented as a debutante in October 1934 in Boston, with Roosevelt's sons in attendance.[2] Her debut drew great attention during the Great Depression, and marked the beginning of her social career. Career[edit] Upon her second marriage in 1947, Paley left her job at Vogue.[4] Style[edit] Personal life[edit] Marriages and children[edit] Final years and death[edit] A heavy smoker, Paley was diagnosed with lung cancer in 1974.

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