Phénoménologie de l'esprit Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Page de titre de l'édition originale de 1807. La Phénoménologie de l’Esprit (Phänomenologie des Geistes) est une œuvre du philosophe Georg Wilhelm Friedrich Hegel, parue en 1807. La Phénoménologie de l'Esprit compte parmi les œuvres les plus importantes de la philosophie occidentale, tant par sa densité théorique que par son influence sur des écoles de pensées du XIXe siècle et du XXe siècle (idéalisme, marxisme) [réf. nécessaire]. Présentation générale[modifier | modifier le code] Qu'est-ce que la phénoménologie de l'esprit[modifier | modifier le code] L’étude ou science de la conscience est la phénoménologie de l’esprit. Place de la Phénoménologie de l'Esprit dans l'œuvre de Hegel[modifier | modifier le code] Cette œuvre a été conçue par Hegel comme une introduction à sa pensée, en particulier au système de la science. Finalité de la Phénoménologie de l'esprit[modifier | modifier le code] 1. 4. Résumé de l'œuvre[modifier | modifier le code] I.
Démonologie Le mot « démonologie » provient du grec δαίμων (daimōn), « divinité », « pouvoir divin », « Dieu »[1] et de -λογία (-logia), « la science », « l'étude ». Jusqu'à la fin du XIIIe siècle, peu d'intérêt était porté aux démons[réf. nécessaire]. Le Traité sur le mal de Thomas d'Aquin en 1272 rappelle que le diable est un hérétique, et que la sorcellerie un crime d'hérésie. Définition[modifier | modifier le code] Les objectifs de la démonologie sont d'opérer une classification hiérarchique des démons, de connaître leurs histoires et de comprendre leur façon d'opérer. Satan, Léviathan[3], Bélial et Lucifer sont quatre êtres différents. D'après Richelmus de Schental, abbé cistercien de Wurtemberg au XIIIe siècle, les démons se comptent par centaines de milliards. Développements[modifier | modifier le code] Michel Psellos est considéré comme une source incontournable de la démonologie par les théologiens de la Renaissance, une époque où le diable revient au centre des débats philosophiques.
Le nabab du web local est un logiciel Par Hubert Guillaud le 12/10/07 | 6 commentaires | 4,101 lectures | Impression Aujourd’hui, aucun acteur ne domine les marchés de l’information locale : ni Google, ni Yahoo, ni Microsoft, ni même Craigslist ! Mais Russel Horowitz, président de Marchex , a une solution pour les distancer tous, nous explique Business 2.0 . Son idée : créer un nouveau genre de média en ligne, en utilisant un réseau de milliers de sites localisés dans chaque ville et village des Etats-Unis. En notant que 25 % de l’ensemble des premières requêtes faites sur les moteurs de recherche contiennent un nom de domaine (on entre autos.com plutôt que de chercher “autos”) et que 15 % des internautes se passent des moteurs pour essayer directement un nom de domaine (on tape “telleville.fr” dans la barre d’adresse du navigateur, en se disant qu’il y aura bien un site au bout), Horowitz et son complice Frank Schilling ont mis le doigt sur quelque chose d’important. Via Jean-Marie le Ray .
kant - Hegel, critique de Kant 5. Pensée et être On aura peut-être noté, au passage d'une citation précédente, qu’en définissant Dieu comme une chose en soi, Hegel affirmait tout à la fois son existence (en soi) et la possibilité pour l’esprit de le connaître. Dès lors, on ne s’étonnera pas que Hegel s'attaque à la réfutation kantienne des preuves de l'existence de Dieu. Dans l’Idéal de la Raison Pure (qui suit d'ailleurs, dans la CRP, l'exposé des antinomies de la raison), Kant avait montré que les différentes preuves de l’existence de Dieu se réduisaient toutes à l’argument ontologique. Cet argument peut être présenté ainsi :1. Or, continuait Kant, l’existence de Dieu ne peut être déduite de son seul concept. Que dit donc Hegel de tout cela ? Je soupçonne –si l'on me permet une hypothèse de psychologue- que le fond, ou le premier mouvement de la critique de Hegel porte sur le prix accordé à l’idée de Dieu. 6. Ou encore, lorsque Hegel réfute l'idée selon laquelle les catégories sont vides de contenu.
Utopie L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, titre de son livre L'Utopie, du grec οὐ-τόπος / ou-tópos, « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale, opposée aux sociétés réelles imparfaites. C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique idéal (qui gouvernerait parfaitement les hommes), une société parfaite (sans injustice par exemple, comme la Callipolis de Platon ou la découverte de l'Eldorado dans Candide) ou encore une communauté d'individus vivant heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème dans Gargantua de Rabelais en 1534), souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps. Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. Genre opposé, la dystopie — ou contre-utopie — présente non pas « le meilleur des mondes » mais « une utopie en sens contraire », selon F.
L'édition en ligne : un nouvel eldorado J’ai récemment été invité par l’association EnthèSe des doctorants de l’ENS LSH à venir parler dans une après-midi de réflexion consacrée aux enjeux de l’édition scientifique. Pour cette double table-ronde, s’exprimaient Yves Winkin, Catherine Volpilhac, Kim Danière de Cyberthèses, Olivier Jouslin, sur les questions de la publication de la thèse et de son rôle dans l’évaluation du jeune chercheur. De mon côté, je m’exprimais dans une seconde session consacrée plutôt aux enjeux de l’édition. J’ai eu le plaisir d’écouter l’exposé très intéressant de Jean-Luc Giribone, que je ne connaissais pas, des éditions du Seuil, et Denise Pierrot, d’ENS éditions. Intervenant en fin de journée, je tenais le rôle de Mr Edition en ligne. En guise d’introduction, il me semble nécessaire de faire le point sur un certain nombre de questions qui ont structuré les débats sur l’édition électronique depuis 10 ans. 1.La désintermédiation. 2. 3. Qu’est-ce que l’édition ? 1. 2. La dimension économique d’abord
hegel - Hegel, Concepts Par Olaf Hegel, Concepts La perception et l'absolu En guise d'introduction Comment situer Hegel ? La piste Kantienne se révèle vite écartée. La perception Le système de Hegel est une réconciliation entre l'homme et le monde. Ce que la perception m'offre, ce sont des objets pour ma conscience. L'esprit et l'objet Cette pomme par exemple, s'offre à ma conscience. En d'autres termes, l'objet ne s'offre jamais seul à ma conscience. L'esprit, pour atteindre l'absolu, doit jongler avec les idées, déceler leur liens dialectiques entre elles. La conscience et le monde Vieil adage du Ménon de Platon : comment puis-je connaître le monde si j'en suis absolument séparé ? Et ce lien originaire est mouvant, à l'image de la vie. Il existe un lien originaire dans l'objet et le sujet dans une perception naïve et pleine, qui n'est autre que la vie qui s'offre. L'Idée, la Loi, l'Absolu Noumènes et Phénomènes ne devraient pas être disjoints. L'objet perceptif est alors idée. Un noeud chez Hegel
Élisabeth de Fontenay Élisabeth de Fontenay en 2009. Élisabeth de Fontenay, née en 1934, est une philosophe et essayiste française, philosophe reconnue de la question juive et de la cause animale[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Famille, enfance et conversion au judaïsme[modifier | modifier le code] Elle est élevée dans la religion catholique, baptisée enfant, puis inscrite à l'âge de 5 ans au collège Sainte-Marie de Neuilly. À 22 ans, elle abandonne le catholicisme et se tourne vers le judaïsme ; elle détaille sa conversion dans l'ouvrage Actes de naissance, paru en 2011[1],[2],[3]. Carrière[modifier | modifier le code] Cette réflexion peut être rapprochée du courant actuel de la pensée posthumaniste représenté notamment par Peter Sloterdijk ou Donna Haraway. À la mort de Jankélévitch en 1985, elle fonde, avec notamment Pierre Michel Klein et Béatrice Berlowitz, l'Association Vladimir Jankélévitch. Elle fait aussi partie du Comité d'éthique ERMES[8], aux côtés notamment d'Henri Atlan. Et encore :
intro hegel - Hegel, la Dialectique Quelques mots sur la dialectique hégélienne Voilà, d'après des trucs que j'ai lu ici où là, je me suis fait mon idée de la dialectique de Hegel, pas celle du maître et de l'esclave, la version générique. Soit le monde donné en soi, investigons ma conscience d'un phénomène par trois termes dialectiques: 1 - Si je pose un concept, par exemple, que dans le champ de ma perception, je déclare que ceci est une fleur, je pose une négation sur tout ce que n'est pas la fleur, je néantise comme dit Sartre. Je pose la différence. 2 - Cependant, si ma fleur se définit par la négation de tout ce que n'est pas la fleur, tout ce qui n'est pas la fleur doit être pour définir la fleur. 3 - Or, au sein de cette discontinuité, il y a une necessité, telle la dialectique Fichtéenne, de rétablir la continuité originaire du monde, en posant l'Unité de l'identité et de la différence. Ainsi, je ne peux penser un phénomène qu'en posant du négatif dans le champ de ma conscience. Commentaire Oui, c’est à peu près ça.
Edgar Morin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Morin. Edgar Morin Edgar Nahoum, dit Edgar Morin, né à Paris le 8 juillet 1921, est un sociologue et philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] Il s'intéresse très vite aux pratiques culturelles qui sont encore émergentes et mal considérées par les intellectuels : L'Esprit du temps (1960), La Rumeur d'Orléans (1969). Durant les années 1960, il part près de deux ans en Amérique latine où il enseigne à la Faculté latino-américaine des sciences sociales. Aujourd'hui directeur de recherche émérite au CNRS, Edgar Morin est docteur honoris causa de plusieurs universités à travers le monde. Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Morin a écrit plusieurs ouvrages revenant sur son passé, dont Autocritique en 1959, Vidal et les siens sur son père en 1989 et Itinérance publié en 2006. Œuvre[modifier | modifier le code]
Quel jour de la semaine envoyer vos newsletters ? | Adverbe.com Merci de votre visite chez Adverbe. Pour suivre notre actualité, vous pouvez vous abonner à notre flux RSS, à notre compte Twitter ou à notre newsletter. Vous pouvez également laisser une trace de votre passage, un encouragement, une critique dans un commentaire. On reste en contact, n'est-ce pas ? Selon une étude (téléchargeable en PDF) de la société Cabestan réalisée sur plus de 1 milliard d’emails envoyés, les taux d’ouverture de ces courriers électroniques varient selon les jours de la semaine (ils n’ont étudiés que des campagnes BtoC, en direction du grand public) : » les jours du week-end (samedi et dimanche) obtiennent les meilleures performances des campagnes d’email marketingle dimanche semble être le jour où l’on obtient des résultats probants en BtoC. Si l’on regarde en détail, par secteur d’activité, le jour idéal varie : dans l’administration, privilégiez le mercredi ; dans le e-commerce, le week-end est idéal mais si vous travaillez dans une ONG, pas question le samedi.
HEGEL, esthetique - Philosophie de l'art - Esprit, absolu, esthetique, forme et vérité Esthétique ou philosophie de l'art Une science du beau Si nous jetons un coup d'œil sur tout ce qu'embrasse l'existence humaine, nous avons le spectacle des intérêts divers qui se partagent notre nature et des objets destinés à les satisfaire. Nous remarquons d'abord l'ensemble des besoins physiques, auxquels correspondent toutes les choses de la vie matérielle, et auxquels se rattachent la propriété, l'industrie, le commerce ... A un degré plus élevé se place le monde du droit : la famille, l'état et tout ce que celui-ci renferme dans son sein. vient ensuite le sentiment religieux, qui, né dans l'intimité de l'âme individuelle, s'alimente et se développe au sein de la société religieuse. Toutes ces sphères différentes de la vie existent ; nous les trouvons autour de nous. La faculté la plus élevée que l'homme puisse renfermer en lui-même, nous l'appelons d'un seul mot, la liberté. La liberté est la plus haute destination de l'esprit. Extrait du livre de HEGEL : Esthétique
Stoïcisme Le stoïcisme est une école de philosophie hellénistique fondée par Zénon de Kition à la fin du IVe siècle av. J.-C. à Athènes. Le stoïcisme est une philosophie de l'éthique personnelle influencée par son système logique et ses vues sur le monde naturel. Les stoïciens sont particulièrement connus pour leur enseignement moral, selon lequel « la vertu est le seul bien » pour les êtres humains et les choses extérieures telles que la santé, la richesse et le plaisir ne sont ni bonnes ni mauvaises en soi (adiaphora, « ἀδιάφορα »), n'ayant de valeur qu'en tant que « matière sur laquelle la vertu peut agir ». De nombreux stoïciens romains, tels Sénèque et Épictète, soulignent le fait que « la vertu suffisant pour le bonheur », un sage devrait être émotionnellement résistant au malheur. Le stoïcisme s'épanouit dans la Grèce antique, puis la Grèce romaine et la Rome antique jusqu'au IIIe siècle apr. Sources[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] En grec, lekta.