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Qui a été mobilisé pendant la Première Guerre mondiale ?

Qui a été mobilisé pendant la Première Guerre mondiale ?
Qui a été mobilisé pendant la Première Guerre mondiale ? La Première Guerre mondiale a vu plus de 8 millions d'hommes être mobilisés en France. Comment savoir si la personne sur laquelle je fais des recherches a été mobilisée ? Une seule certitude : les classes mobilisées. Grâce aux états des classes publiés tous les ans et dont il était fait une forte publicité dans les communes et la presse, on sait quelles furent les classes mobilisées pendant la guerre : celles de 1887 à 1919. Voici la répartition des classes valable du 1er octobre 1913 au 30 septembre 1914, suivie pour la mobilisation : (1) Pourquoi est-ce la seule certitude ? Par l'engagement volontaire et les carrières d'officiers, des hommes nés avant 1867 peuvent avoir participé au conflit. Les effectifs mobilisés : On trouve aisément sur Internet des statistiques sur les classes et les effectifs mobilisés. - Hommes mobilisés : - Réservoir d'hommes en 1914 et effectifs mobilisés pendant la guerre : La suite de la recherche : Sources : Related:  civils et militaires durant la Grande GuerreRégiments

Ile Longue 1914-1919, das Internierungslager, le camp de prisonniers, the internment camp Lexique14-18 Matricules dans la Marine (Excepté les engagés volontaires entre 1914 et 1918 – voir n° 8). La circulaire du 4 mai 1870, en nous indiquant la manière de marquer les effets, nous donne des précisions sur le matricule. Chaque port de recrutement enregistre les marins – non inscrits maritimes (voir n° 7) – au fur et à mesure de leur incorporation dans une numérotation à suivre (sans remise à zéro au 1er janvier de l’année). Exemple : 62800.1 désigne le 62800e inscrit à Cherbourg. A compter du 1er novembre 1924, la numérotation recommence à zéro chaque année civile et dans chaque port. Exemple : 2094 26-V indique un homme incorporé à Toulon en 1926. Cependant, on le rencontre le plus fréquemment écrit en ligne (Photo 2 - En bas d'un col bleu) Si ce matricule est précédé de la lettre L, cela signifie que le marin est inscrit sur la liste et non le registre-matricule, c'est-à-dire qu'il n'est pas originaire de la circonscription de réserve maritime de son lieu d'incorporation. Exemple : 4213/C/31~ 250-Biz-29 - deux points,

Une division d’infanterie en 1914 ; c’est quoi ? Attention : Il ne s'agit que d'une organisation toute théorique telle qu'elle apparaissait en août 1914. Elle subit, tout au long de la guerre, de nombreux et successifs remaniements. Entre 1914 et 1918, l’élément tactique de base est la Division d’infanterie. Le 2 août 1914, la France mobilise 93 divisions, dont 45 actives, 25 de réserve, 11 territoriales, 2 coloniales, 10 divisions de cavalerie. Le 11 novembre 1918, elle dispose de 119 D.I. La division d’infanterie comprend : En 1914 : 4 régiments d’infanterie à 3 bataillons — 1 régiment d’artillerie de campagne à 3 groupes — 1 escadron de cavalerie— 1 compagnie du génie. En 1918 : 3 régiments d’infanterie à 3 bataillons — 1 régiment d’artillerie de campagne à 3 groupes — 1 groupe d’artillerie lourde — 1 escadron de cavalerie — 1 bataillon du génie— 1 escadrille. En 1914 l'effectif théorique d'une division d'infanterie est d’environ 380 officiers et 15 000 hommes, elle dispose près de 3000 chevaux, 36 canons et plus de 500 voitures.

ARCHIVES MEDICALES des HOPITAUX MILITAIRES (1914-1918) - hopitauxmilitairesguerre1418.overblog.com Historique de la conservation des archives hospitalières militaires 14-18 – Statistique médicale de la guerre 14-18 – Bureaux d’archives des hôpitaux fermés (1917) Lors de la Première guerre mondiale il n’existait pas d’organisme central de conservation des archives médicales à l’instar du Service des archives médicales et hospitalières des armées (SAMHA de Limoges) actuel dont l’historique succinct, l’organisation et le fonctionnement ont fait l’objet d’un article de MM. Bessière et Merlet mis en ligne par le CRID 14-18 Mon objectif, au travers des notes qui suivent, est de présenter, après un rapide « survol » des origines, l’historique des archives médicales des hôpitaux militaires dans la Guerre 1914-1918, période qui n’a pas été développée par les précédents auteurs. L'ouvrage "Scandales Médicaux pendant la guerre" d'Henry de Golen (réédition 1933), avec enquête sur l'ouvrage et l'auteur. est paru en octobre 2017 I - Aux origines des archives hospitalières militaires. Contact SAMHA :

Les conditions de vie des civils pendant la guerre 14-18 Contexte historique Pendant la Première Guerre mondiale, le tribut payé par les poilus est, certes, impressionnant – 1 390 000 morts, près de trois millions de blessés dont 60 000 amputés –, mais ce conflit des plus meurtriers n’a pas épargné les populations civiles. En Belgique, qu’ils ont envahie malgré sa neutralité, les Allemands ne s’attendaient à aucune résistance, mais les Belges ralentissent la progression de l’ennemi, qui exerce des représailles sur la population : 200 civils sont tués dans l’incendie de Louvain, 400 otages sont exécutés à Tamines, 200 à Andenne, 670 à Dinant, hommes, femmes et enfants confondus. En août et septembre 1914, lors de leur avancée en Belgique et dans le nord de la France, les Allemands incendient des villages, bombardent des villes sans défense, et font rien moins que 6 000 victimes civiles. Analyse des images Les deux photographies sont extraites de ce fonds Anne Morgan et ont été prises dans des villages proches de Soissons. Interprétation

Instructions pour la tenue des registres matricules Retracer le parcours d'une recrue (4) La fiche matricule (1) Retour à la page précédente. Classe de recrutement et classe de mobilisation Il arrive que sur les documents concernant un homme (livret militaire, fiche Mémoire des Hommes...) on trouve deux années différentes pour indiquer la classe. On peut même trouver deux classes sur un même document : Il ne s'agit pas d'une erreur : chaque homme appartient à une classe de recrutement et à une classe de mobilisation. La classe de recrutement : Tous les hommes ayant atteint l'âge de 20 ans révolus (ou de 19 ans à partir de 1913) et inscrits sur les tableaux de recensement appartiennent à une même classe de recensement. La classe de mobilisation : Il s'agit de la classe avec laquelle « marchent » les hommes. Dans les cas cités, ces hommes vont avoir une classe de mobilisation différente de leur classe de recrutement. Les documents administratifs mentionnent presque toujours ces deux classes. La classe de mobilisation peut changer : 1.

L'escadrille_62 Le 30 septembre 1915, quatre avions de la MF 62 et deux de la MF 19 sont engagés dans le bombardement des gares de Noyon et d'Appilly. La gare de Noyon est touchée par trois bombes Aasen et 19 obus de 75 retardés. Celle d'Appilly prend 12 obus de 75 retardés. Le 1er octobre 1915, quatre Farman de la MF 19, trois de la MF 62 et un Caudron G 4 de la C 10 reviennent sur les mêmes objectifs et ajoutent la gare de Chauny à leur tableau de chasse. Le 2 octobre 1915, tous les avions de la 62, renforcés par trois Caudron G 4 de la C 10 et un Farman de la MF 19, attaquent les voies ferrées et les gares de St Quentin - Vermand - Roisel - Ham - Chauny - Appilly et Noyon. Le 3 octobre 1915, la reconnaissance de la 62 sur Bray - Péronne - Roisel - Péronne est attaquée par un biplan bimoteur à double jumelage de mitrailleuses. Le 8 décembre 1915, les deux missions de guerre emmènent les aviateurs sur le Nord de Roye et sur Beuvraignes. Première victoire de l'escadrille : Première victoire homologuée :

La Grande Guerre (1914-1918) dans Gallica A l’occasion de l’exposition «Orages de papier : la Grande Guerre des médias» à la Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine – Musée d’histoire contemporaine (à partir du 27 octobre 2010 sur le site des Invalides) Le Petit journal. Supplément du dimanche Source: Bibliothèque nationale de France La Bibliothèque nationale de France et la Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine (BDIC) proposent à l’automne 2010 aux enseignants d’histoire, de lettres, de langues et d’arts des académies de Paris, Créteil et Versailles trois types d’activités pédagogiques pour leurs classes autour de l’histoire de la guerre de 1914-1918. C’est l’occasion de revenir sur la variété des ressources disponibles sur Gallica, une bibliothèque collective puisque la Bibliothèque numérique de Roubaix, mais aussi Medic@ et bientôt la BDIC contribuent à l’enrichir sur cette thématique : Les clichés de l’agence de presse ROL : Quelques dates marquantes du conflit à travers la presse :

Les monuments aux morts, mémoire de la guerre - 1918, la Grande Guerre s'achève... - Dossiers Le monument aux morts d’Annot (Alpes-de-Haute-Provence). Photo : Xavier Lambours © La Documentation française. Agrandir l'image C’est juste au sortir du conflit que sont érigés partout en France des monuments aux morts de la Grande Guerre ; dans chaque ville, chaque village, là où ces hommes vivaient et travaillaient. « La France, comme tous les peuples en guerre, a vécu une véritable "Imitation de la Patrie" que les monuments révèlent. Nommer Pour le cénotaphe communal, on a choisi dans la plupart des cas une stèle, souvent obélisque, du type de celles qui ornaient jusque-là les tombes des cimetières. Croire, combattre, travailler "L'armée protège l'arrière : l’arrière travaille pour l’armée". Photo : Holzapfel © La Documentation française Ces monuments sont pourtant des tombeaux, des tombeaux vides. Des lieux de regrets Mettre en scène le retour des morts, exalter ces derniers par les tombes, telle fut la tâche du comité national de sépulture après la guerre. Le culte du soldat inconnu

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