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Addiction à Internet - Il a vécu 6 mois sans le net

Addiction à Internet - Il a vécu 6 mois sans le net
Un jour, Thierry Crouzet a coupé Internet. Victime d’un burn-out, d’une overdose numérique. Blogueur influent, geek connecté jour et nuit sur les réseaux sociaux, expert des nouvelles technologies, il a quitté la toile pendant six mois, pour se sevrer. Aujourd’hui, l’ancien addict est devenu un internaute modéré. Il revient sur sa vie de « débranché ». La nuit du 14 février 2011, vous faites une crise d’angoisse et finissez à l’hôpital. Thierry Crouzet : Allongé sur mon lit d’hôpital, j’ai tout de suite pris mon téléphone pour regarder mes mails et ce qui se passait sur les réseaux sociaux. Votre conclusion, c’est que vous étiez victime d’un burn-out numérique… T.C : Oui. Plus aucun accès à Internet pendant six mois… Pourquoi ce choix d’une déconnexion totale ? T.C : Je ne savais pas ce qui posait problème. Avant cette prise de conscience, vous sentiez-vous accro au net ? T.C : Non, ou alors comme d’autres sont accros à leur travail. Qu’est-ce qui vous rendait dépendant au net ?

TPE sur Internet et les rapports humains L'addiction à Internet frappe les jeunes L'auteur Sébastien Bohler est journaliste à Cerveau & Psycho Du même auteur À lire aussi Pour en savoir plus Ceci aussi peut vous intéresser L’addiction à Internet concerne 17 pour cent des adolescents en Chine, 25 pour cent aux États-Unis, et représenterait de l’ordre de six pour cent en population générale. De quoi s’agit-il ? Ces études anatomiques prédisaient donc des signes d’impulsivité et de manque de contrôle inhibiteur chez les patients. Ce syndrome fait donc apparaître une attraction automatique vers le monde virtuel, et une tendance à l’impulsivité, notamment une difficulté à prendre son temps pour réfléchir et optimiser ses décisions , le tout étant corrélé au nombre d’années d’addiction.

Internet a-t-il créé de nouvelles maladies mentales? Garnett Spears a passé une grande partie de sa courte vie dans les hôpitaux. Lacey, sa mère, l’a trimballé de ville en ville et de docteur en docteur à mesure que la mystérieuse maladie dont il était atteint s’aggravait. L’année dernière, il est mort à l’âge de 5 ans. «Münchhausen par procuration par Internet» En 1951, un médecin britannique du nom de Richard Alan John Asher a inventé le terme de «syndrome de Münchhausen» pour évoquer les patients qui feignent une maladie ou qui se rendent eux-mêmes malades sans raison apparente (à distinguer de la «sinistrose», où une personne feint une maladie ou l’induit chez autrui dans un but tangible, comme celui de convaincre un médecin de leur prescrire un certain médicament ou de s’attirer un verdict favorable dans un procès). Certains estiment que Lacey Spears manifestait une forme encore plus nouvelle du syndrome de Münchhausen que ce qui avait été identifié jusqu’ici: «Münchhausen par procuration par Internet». Ce que le web facilite

L'isolement - Pouvoir et société L'isolement social est la situation d'une personne que l'on éloigne de la societé, des autres groupes sociaux. Il y a une minimisation de la communication causé par la séparation physique ou social entre les individus. Les liens sociaux d'internet sont attractifs car ils sont ludiques, convivials et interactifs. Les moyens et outils de communication ne manquent pas. En effet, grâce aux différentes plates-formes d'internet les individus peuvent tout faire en restant connecté. Par exemple, un invidu peut faire ses achats tout en restant sur internet. Le risque est qu'internet est extrèmement addictif et influe sur le comportement des internautes, ils ont donc souvent tendance à se renfermer dans un monde virtuel et s'éloignent de la réalité pouvant aller jusqu'à risquer de perdre tout contact physique avec les individus qui les entourent. Il suffit de naviguer quelque temps sur internet, pour se rendre compte que cette activité à un effet de désorientation. Les raisons Les conséquences

Internet et cyberdépendance - Développement personnel - Psychologie Aujourd'hui environ 27 millions de Français se connectent à Internet. Le web a fait naître des addictions d'un nouveau genre, de plus en plus fréquentes. Comment prévenir ces dépendances numériques ? La réponse avec le psychologue Jean-Charles Nayebi, auteur de « La cyberdépendance en 60 questions ». Doctissimo : Qu'appelle-t-on cyberdépendance et quel est le profil des individus qui en souffrent ? Jean-Charles Nayebi : A l'origine, la cyberdépendance désigne toute dépendance à l'univers informatique. Doctissimo : En France, parmi les 27 millions d'internautes, combien peuvent être considérés comme cyberdépendants ? Jean-Charles Nayebi : Pour l'instant aucune statistique n'a été établie. Doctissimo : Quels signes doivent alerter ? Jean-Charles Nayebi : La cyberdépendance s'exprime par différents signes spécifiques. Doctissimo : Les jeunes sont-ils les plus susceptibles de devenir cyberdépendants ? Doctissimo : Les deux sexes sont-ils égaux face à la cyberdépendance ? Ecrit par:

INTERNET ADDICTION: Quand technologie rime avec pathologie – DSM Une pathologie à part entière, c’est ce que devrait officialiser dès sa prochaine édition de mai 2013, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), réalisé et édité par l’Association Américaine de Psychiatrie (AAP). Sous l’appellation d’ «Internet-use disorder» et rangée au chapitre des addictions, cette inscription au Manuel viendra combler pour grand nombre de psychiatres et psychologues la lacune de critères diagnostiques et cliniques d’un trouble déjà largement prévalent en pratique clinique. Un trouble qui sera classé dans la catégorie des Toxicomanies et des troubles addictifs, qui accueille dans cette 5ème édition, au même titre que les troubles de toxicomanie, des addictions non induites par substances, comme l’addiction au jeu –auparavant au nombre des troubles compulsifs et qui rejoint la catégorie-. Un trouble lié à l’utilisation d’Internet (Section II), qui va précéder un trouble lié à la consommation de caféine… (section III).

Addiction : tout savoir sur les addictions et leur traitement Écrit par les experts Ooreka | L'addiction est un trouble de la personnalité et du comportement qui peut rendre très malade, voire entraîner le décès dans le cas de la toxicomanie. Il existe d'ailleurs des services spécialisés dans les phénomènes de dépendance dans certains hôpitaux. C'est un véritable problème de santé publique. Les addictions touchent toute la population, quels que soient l'âge, le milieu social, la situation économique. De plus en plus de jeunes sont touchés par la dépendance à l'alcool, aux jeux ou à la drogue. Comment déceler une addiction ? Une addiction est un trouble du comportement désignant un attachement excessif à quelque chose (substance, comportement...) pouvant nuire à notre santé ou à notre vie sociale. Les addictions par rapport à certaines substances comprennent : la dépendance au tabac, la dépendance aux drogues, la dépendance à l'alcool, la dépendance aux médicaments, la dépendance à la nourriture. Quelle est l'origine d'une addiction ?

Portail documentaire du CDI du Lycée agricole de Sées L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.En France, les dernières études menées établissent à 40 % le pourcentage de Français qui utilisent l'internet mobile, c'est-à-dire depuis leurs smartphones et tablettes*. Chez les jeunes de 15 à 29 ans, ce taux grimpe à 79 % !

Cyberdependance Le portrait type de la personne cyberdépendante a évolué depuis quelques années. Autrefois on pouvait reconnaître majoritairement des hommes âgés de 25 à 35 ans, scolarisés, financièrement capables de se doter d'un ordinateur assez dispendieux et qui passaient un nombre incalculable d'heures devant l'écran de leur appareil. Maintenant, il semble y avoir une certaine parité entre les hommes et les femmes. La démarche des deux sexes, vis-à-vis d'Internet et de son utilisation, est cependant très différente. Les hommes cyberdépendants recherchent beaucoup de site reliés à la pornographie, à l'érotisme, aux rencontres affectives avec un aboutissement dans la sexualité. La dépendance affective et la compulsion dans le sexe semblent être les deux principaux moteurs qui nourrissent la cyberdépendance. Il n’est pas rare de constater que le dépendant d’Internet nourrit d’autres dépendances. Le phénomène du day trading est aussi en recrudescence. M. par Jean-Pierre Rochon M.

Trouble d’utilisation d’Internet et addiction à Facebook Est-ce que l’utilisation de Facebook affecte le cerveau et la façon de penser ? Une nouvelle infographie proposée par Best Masters In Psychology : Facebook psychology : Is addiction affecting our minds a capitalisé des données chiffrées de différentes études sur la captation de l’attention, la concentration ou les modifications du cerveau produites par une utilisation intensive (temps passé) de Facebook et plus largement de l’Internet. Trouble d’utilisation d’Internet (UID) officiellement reconnu par les psychiatres américains Si l’on souligne habituellement les bénéfices du numérique pour les individus et les organisations, l’infographie indique que l’addiction à l’Internet est reconnue comme telle officiellement par l’Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association, APA) avec le trouble d’utilisation d’Internet, Internet Use Disorder (IUD) défini ainsi par l’association en partant de 9 dispositions de l’Internaute « affecté » : A. B. C. D. E. F. G. H. I.

La cyberdépendance : informations et services - Clinique de psychologues à Montréal La cyberdépendance, également connue sous les noms de dépendance à Internet, cyberaddiction, usage problématique d’Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI), se caractérise par un usage pathologique, souvent abusif et excessif, d’Internet et des nouvelles technologies. La cyberdépendance se reconnaît au besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser Internet. Parmi les critères reconnus, on observe le temps passé sur Internet; la frustration lorsqu’Internet n’est pas disponible; les plaintes de l’entourage quant au temps passé sur Internet; les conséquences sur les activités habituelles (travail, loisirs, etc.); l’incapacité à diminuer le temps passé sur Internet; la baisse significative, voire l’absence, d’activités satisfaisantes à l’extérieur d’Internet, etc. La cyberdépendance semble partager des caractéristiques communes avec d’autres dépendances. La cyberdépendance a des répercussions sur plusieurs sphères. Psychologues Olivia Beaulieu-Denault, D. Psychothérapeutes

Bonjour,

Aujourd'hui, internet et toute connexion semble inévitable, incontournable. Cet article témoigne d'une prise de conscience de cette "aliénation" et nous montre qu'il est possible de s'en libérer, au moins un peu.
Merci pour cette perle!
Cordialement
Amandine by amandine_groupe1_psy Mar 3

Bonjour,

Très intéressant comme témoignage , cet article !

Pouvoir trouver son équilibre, afin de ne pas devenir dépendant est aussi valable pour le numerique. Cela demande un effort et de la disciple; les résultats n'en sont que bénéfiques !!!
Et donc il n'est jamais trop tard de se poser les bonnes questions et se prendre en main, dont se faire aider ...

Perle intéressante que je n'ai pas hésité à t'emprunter Dauwee.

Francine
Cdlmt by nnyina_groupe1_psy Apr 3

Bonjour,
C'est un articles très intéressant dans la mesure où il reflète vraiment très bien le problème de beaucoup de personnes dans notre société . Malheureusement très peut de personnes se rend compte de leur addictions comme le constat cet homme .
Il est important d'en parler et ce témoignage présenté dans un magasine assez répandu est selon moi très intéressant pour que nous nous rendions compte du phénomène.
Il faut aussi constaté que la société dans laquelle nous vivons nous pousses à toujours plus utiliser le numérique , alors le questionnement qui me vient est , ne nous pousses t'on pas trop à utiliser le numérique pour toute sorte de choses , telle que les déclarations d'impots par exemple .. ce qui nous pousse a d'avantage forme d'addiction numérique..
Cordialement
E.V by vannier_groupe4_psy Mar 29

Bonjour, ce témoignage est révélateur des modes de fonctionnement de notre société: toujours plus, plus vite, et comment sombrer dans les addictions, faire un burn-out... La démarche de cet homme pour essayer de s'en sortir montre déjà une grande prise de conscience de son problème et une réelle volonté de s'en sortir.
Cordialement
CS by storme_groupe2_psy Mar 25

Bonjour,
Ce témoignage, est effectivement source de questionnements ... Comment être certain d'arriver à ne pas se laisser à nouveau envahir par un usage abusif, et rester efficace dans sa gestion de l'utilisation des outils numériques ? Il est vrai que l'omniprésence du net, et la nécessité de naviguer sur le web que l'on se crée, rendent cette tâche plus difficile. Mais, même si rien n'est gagné définitivement, j'aime à penser que cela reste toujours possible... Rompre et changer ses habitudes néfastes pour redécouvrir que l'on peut utiliser ces nouvelles technologies tout en préservant un équilibre bénéfique pour nous et notre entourage, est une solution encourageante. En gardant présente la prise de conscience sincère de la situation et la mise en pratique de solutions qui nous sont adaptées pour rester libre de profiter avec sérénité de ces nouvelles possibilités de communication. N'y a t'il pas déjà un pas fait vers de nouveaux comportements plus rassurants ?
Cordialement,
RT by rouanet_groupe3_psy Apr 7

Bonjour,

Cet article est très intéressant. Reste maintenant à savoir si cette personne qui, suite à sa cure, est retournée progressivement sur internet, va pouvoir tenir le choc. Va-t-elle, par exemple, résister à l'envie d'intervenir à nouveau suite aux réponse à ses tweets... Si Internet est ici considéré comme une drogue, tout arrêter d'un coup était en effet la meilleure des solutions (le peu de personnes que je connais ayant réussi à arrêter de fumer sont celles qui ont abandonné leurs cigarettes du jour au lendemain et... sans jamais y revenir) mais y retourner ... n'était ce pas une "rechute" ? Dans notre société, cette rechute n'était-elle pas inévitable ?

Cordialement,
TDA by daupleix_groupe2_psy Apr 6

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