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Chomage

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France: le chômage va s'aggraver en 2015, 104.000 chômeurs sans activité en plus en prévision. Plus de chômeurs et plus de déficits pour l'assurance chômage: l'Unedic, organisme gestionnaire du régime, voit rouge pour l'année 2015, conséquence d'une "reprise plus tardive que prévu".

France: le chômage va s'aggraver en 2015, 104.000 chômeurs sans activité en plus en prévision

L'organisme paritaire anticipe, dans ses dernières prévisions publiées vendredi, 104.000 chômeurs sans activité supplémentaire en métropole en 2015. Cela correspond malgré tout à un ralentissement de la hausse, après une année 2014 qui aura vu affluer 182.000 demandeurs d'emploi supplémentaires, selon l'organisme. A fin novembre, Pôle emploi dénombrait déjà 181.000 nouveaux chômeurs, pour un record de 3,49 millions en métropole. L'Unédic est plus pessimiste que lors de ses précédentes prévisions publiées fin septembre.

Elle tablait alors sur 150.000 demandeurs d'emploi supplémentaires en 2014 et 96.000 en 2015. Cette dégradation est due à des "anticipations de conjoncture revues à la baisse", explique l'Unedic dans un communiqué. . - 30.000 chômeurs lésés - Chômage : nouveau record historique en septembre. Après un léger repli au mois d'août (- 0,3 % à 3 413 300 demandeurs d'emploi), le chômage est reparti à la hausse en septembre : on dénombre désormais 3 432 500 chômeurs de catégorie A (+ 19 200) en France, soit 0,6 % d'inscrits de plus que le mois précédent.

Chômage : nouveau record historique en septembre

La trêve fut donc de courte durée, puisque ce niveau marque un nouveau record historique. La hausse est encore plus nette en incluant les demandeurs d'emploi ayant exercé une activité réduite (+ 50 200, + 1,0 %), dont le nombre établit un plus haut historique de 5,13 millions (5,43 millions avec l'outre-mer). "Les réformes ont besoin de temps pour produire leurs effets", a réagi dans un communiqué François Rebsamen, ministre du Travail, à quelques jours du milieu de mandat de François Hollande, notant toutefois un "ralentissement" de la progression du chômage au 3e trimestre.

Depuis son élection en mai 2012, plus d'un demi-million de chômeurs ont poussé la porte de Pôle emploi. L'intégralité de l'article sur le site lepoint.fr. La météo des plans sociaux n°1 (13 décembre 2013) : Etienne Chouard (17 Avril 2014): "Le PS, l'UMP, c'est la même merdasse, c'est l’extrême-droite au service des ennemis du peuple.

La météo des plans sociaux n°1 (13 décembre 2013) :

" Olivier Delamarche (14 Avril 2014): "Tout le monde dit ? Mais est-ce que vous vous rendez compte que depuis 4 ans, tout le monde dit des conneries à longueur de temps ? (...) Je vous dis que le CAC vaut 2000 (...) il n'a rien à foutre à 4300 points. " Pascal Lamy (2 Avril 2014): " Je sais que je ne suis pas en harmonie avec une bonne partie de mes camarades socialistes, mais je pense qu'à ce niveau de chômage il faut aller vers davantage de flexibilité, et vers des boulots qui ne sont pas forcément payés au smic" Francis Cousin (24 Mars 2014): "La seule sortie de crise, c'est l'abolition du capital et la déstructuration totale de cette société de merde absolue" Étienne Chouard (18 Mars 2014) : " Les hommes politiques ne nous donneront jamais le pouvoir des les mettre dehors.

Pierre Jovanovic (26 Février 2014): "on est tous d’extrême-droite, t'as pas compris ? Inverser la courbe du chômage… Les chiffres du chômage au 31 octobre 2013, publiés par la DARES à la fin du mois de novembre, ont suscité une nouvelle polémique.

Inverser la courbe du chômage…

Il convient tout d’abord de rappeler certains faits : (1) Ces chiffres correspondent aux « demandeurs d’emplois » inscrits à pôle emploi. Ils ne correspondent pas en tant que tels aux « chômeurs » car un certain nombre de ces derniers peut ne pas s’être inscrit ou avoir été radié des statistiques. De plus, dans des régions où les activités indépendantes sont importantes (artisanat, paysannerie) une dégradation de l’activité économique ne se traduit pas immédiatement par une hausse équivalente des demandeurs d’emplois. C’est ce qui explique, notamment, que la hausse du chômage soit, en apparence, moins forte en Bretagne que dans les Pays de Loire. Carte 1 Il est renforcé bien entendu par l’usage de catégories statistiques, qui ne sont pas maîtrisées par une bonne partie des commentateurs des chiffres de la DARES. Graphique 1 Graphique 2 Idem graphique 1.