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Une nouvelle méthode d’enseignement : la pédagogie 3.0 (part 1)

Une nouvelle méthode d’enseignement : la pédagogie 3.0 (part 1)
Vous connaissez la Pédagogie 3.0 ? C’est une nouvelle pédagogie développée par un enseignant canadien, Stéphane Côté, qui se base sur un système auto générant : les élèves construisent et conçoivent leur apprentissage. Cette nouvelle pédagogie s’organise autour de 3 piliers principaux : Source : Le développement de l’autonomie : Et si on immergeait l’élève dans la réalité ? Chaque élève a une fonction particulière (responsable du tableau, par exemple) et une position dans la hiérarchie. Pour coller au plus près de la réalité, un système monétaire basé sur la théorie des choix de William Glasser est instauré. La permanence de l’apprentissage : Et si on impliquait davantage l’élève ? Pourquoi réserver l’invention d’exercices, de cours ou encore de capsules explicatives (vidéo, par exemple) aux enseignants ? D’après le cône d’apprentissage d’Edgar Dale, l’élève apprend mieux lorsqu’il agit : il retient 90% des informations d’un exposé en le faisant contre 50% seulement, en l’écoutant.

http://sydologie.com/2014/01/une-nouvelle-methode-denseignement-la-pedagogie-3-0/

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[Newsletter 191] Les petits secrets de l’apprenance Avant que Wikipédia, Google et l’ensemble d’internet ne soient accessible d’une caresse d’index, tout ce que vous ne saviez pas avait beaucoup de valeur. Aujourd’hui, tout ce que vous ne savez pas est disponible sans effort. La compétence importante de notre nouvelle ère numérique n’est plus d’accumuler toujours plus de savoirs, mais de savoir apprendre efficacement et rapidement tout ce dont vous avez ou aurez besoin pour rester en phase avec le monde. L’apprenance, le néologisme à la mode, définit la capacité d’apprendre à apprendre. Départ d’une course sans fin…

«L'empathie modifie le cerveau des enfants» Entretien avec Catherine Guéguen Mensuel N° 301 - Mars 2018 Article mis à jour le 08/02/2018 L’empathie du professeur est un puissant levier de réussite scolaire, comme le montre Catherine Guéguen, qui s’appuie sur les travaux des neurosciences. Elle appelle à une formation des enseignants à la gestion des émotions : les leurs et celles des élèves. Pédiatre spécialisée dans le soutien à la parentalité, Catherine Guéguen est l’auteure de Heureux d’apprendre à l’école. Comment les neurosciences affectives et sociales peuvent changer l’éducation (Les Arènes/Robert Laffont, 2018).

Le bien-être des enfants à l’école : fondements et enjeux État de la recherche par Christophe Marsollier, docteur en sciences de l’éducation, inspecteur général de l’éducation, du sport et de la recherche. Il mène des recherches sur l’éthique de la relation pédagogique. Septembre 2019 – 11 minutes © Monkey Business Images/Shutterstock De plus en plus, les enseignants cherchent à offrir aux élèves les meilleures conditions pour favoriser leur réussite scolaire et leur épanouissement personnel. Comparaison entre l’andragogie et la pédagogie On n’apprend pas à un adulte (andragogie) de la même façon qu’on apprend à un enfant (pédagogie). L’adulte s’inscrit volontairement et activement dans le processus d’apprentissage (en lien avec son vécu) contrairement à l’enfant qui, lui, reçoit l’apprentissage de manière plutôt passive. Le tableau ci-après vous en apprendra davantage.​ Source : Tableau adapté de S. Pouliot (1997), « Éducation pour la santé : recueil de textes », inédit, Université de Laval, UQAR et UQTR.

Pourquoi créer une formation n’est pas toujours la solution Selon la Dares (le service de la recherche, des études et des statistiques du Ministère du Travail), les organisations françaises consacrent chaque année environ 32 milliards d’euros pour former leurs employés. Cela représente beaucoup de formations et énormément d’argent dépensé ! Alors que dans les faits, beaucoup de dépenses de formation pourraient être évitées. Pour qu’une formation soit utile, vous devez vous assurer qu’elle réponde réellement aux besoins de votre public.

4 ennemis majeurs du cerveau à éviter quand on apprend Face à ces ennemis, le cerveau perd ses moyens. Plusieurs processus nécessaires à l’apprentissage en sont affectés : la créativité, la mémorisation, la compréhension. 1. L’absence de sentiment de sécurité (physique et émotionnelle) Le besoin de sécurité physique et émotionnelle fait partie des besoins psychologiques et émotionnels des enfants. Faire peur à l’enfant est pourtant encore courant :

4 émotions de l’apprentissage Les enseignants comme les apprenants ont avantage à connaître les types d’émotions qui sont le plus souvent présents dans l’apprentissage; les premiers, pour être en mesure de les apprivoiser, puis de les gérer; et les seconds, pour développer des approches adaptées, mais aussi pour les reconnaître chez les apprenants et intervenir avec tact. Voici donc les 4 principaux types d’émotions qui ont un impact important dans l’apprentissage : 1. Émotions d’accomplissement Elles sont liées à des activités comportant un objectif ainsi que de la réussite ou de l’échec de ses activités.

Les principes d'un enseignement efficace Comment procède-t-on pour enseigner une nouvelle notion de manière efficace? Les recherches en psychologie cognitive sur le cerveau et l’apprentissage ainsi que celles sur les pratiques d’enseignement et d’apprentissage ont permis de dégager les principes d’un enseignement dit « efficace ». Cette infographie présente une adaptation du document « The Principles of Instruction », d’après les propos de Barak Rosenshine, professeur de l’University of Illinois. Pour consultation sur mobile, cliquez ici. Pour imprimer ce document, cliquez ici.

[ANALYSE DE FOND] L’importance des émotions dans l’apprentissage Il n’y a pas si longtemps, on pensait qu’apprendre était un processus strictement rationnel dans lequel les émotions n’avaient pas grand-chose à voir. Une croyance qui s’est cristallisée avec une certaine définition de l’intelligence dérivée des « fameux » tests de QI, pourtant conçus pour détecter les difficultés d’apprentissage chez les enfants. On sait aujourd’hui que les émotions tiennent un rôle à ce point important dans la cognition qu’elles peuvent servir de levier ou, au contraire, devenir un frein.

Les styles d’apprentissage : un concept qui perdure Temps approximatif de lecture : 3 à 4 minutes Depuis le début des années 2000, des recherches s’intéressent aux styles d’apprentissage et à l’efficacité des techniques d’enseignement qui s’alignent aux styles d’apprentissage des élèves. À ce sujet, des données suggèrent que l’efficacité de cette méthode n’a pas pu être démontrée. Malgré cela, une récente étude anglaise suggère que cette pratique est encore largement répandue dans le monde et que les enseignants interrogés sont en grande majorité convaincus de son efficacité.

La taxonomie de Bloom, qu'est-ce que c'est ? - Sydologie Malgré un nom un peu barbare, la « taxonomie de Bloom » c’est très simple : c’est un schéma qui permet de regrouper des actions (ou opérations) comme « choisir », « assembler », « décrire », « interpréter » ou « schématiser » au sein de grandes catégories cognitives. L’intérêt ? Mesurer les compétences de manière plus globale, analyser l’apprentissage de chacun et ainsi adapter les objectifs pédagogiques des formations. De quoi suis-je capable ? La pyramide des besoins de Maslow d’un point de vue pédagogique Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. L’individu doit satisfaire les besoins qui sont à la base afin de pouvoir réaliser ceux qui sont au niveau supérieur. Le plus haut niveau étant le besoin de s’épanouir. Voici l’explication de chacun des niveaux.

Voici une nouvelle stratégie pédagogique utilisée par certains professeurs. Le but? Faire en sorte que l'étudiant comprenne les conséquences directes de ses réussites et de ses échecs. by nipog Feb 17

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