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La carte de France participative des Zones sans Pesticides

La carte de France participative des Zones sans Pesticides
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« En France, les animaux ne mangent pas d’OGM » : ouh le gros mensonge Au Salon de l’agriculture, par terre, cette note sur ce qui y nourrit les bêtes. Ça dit : « OGM. » Le patron de l’interprofession bétail et viande feint d’ignorer. Au Salon de l’agriculture, tout est bon pour nous faire oublier qu’il y a seulement deux semaines, le mangeur de lasagnes préparées découvrait qu’on lui avait fait passer du cheval pour du bœuf. Le « horsegate » est derrière nous, veut croire la filière viande, rassurée par les annonces de François Hollande en ouverture du Salon : le Président souhaite un « étiquetage obligatoire » sur les viandes des plats cuisinés. Mais comme il faut l’autorisation de Bruxelles, et que cela prendra un an et demi, on en restera pour le moment à un étiquetage volontaire.

Utilisation des pesticides dans l’agriculture française La France est le 3ème consommateur mondial de pesticides et le premier consommateur européen, proportion considérable au regard de sa surface agricole qui s'élève à environ 30 millions d’hectares. 6000 produits contenant des substances chimiques autorisées sont homologués en France, et environ 2500 sont régulièrement utilisés. Les fongicides représentent la moitié du volume des pesticides utilisés, les herbicides un tiers, les insecticides 3 % et le reste sont des produits divers. Selon une étude de l’INRA et du CEMAGREF, l’utilisation des pesticides en France est élevée mais mal connue. Les risques sanitaires sont mal évalués, et accrus par le système de culture intensive utilisé en France. Selon un rapport de l’IFEN, en 2004, les pesticides sont présents dans 96% des points de mesure retenus pour la connaissance générale de la qualité des eaux superficielles et dans 61% de ceux concernant les eaux souterraines.

Le lien entre la maladie de Parkinson et les pesticides officiellement reconnu Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Angela Bolis C'est un pas de plus vers la reconnaissance des maladies professionnelles des agriculteurs. Lundi 7 mai, est entré en vigueur un décret qui reconnaît la maladie de Parkinson comme maladie professionnelle et établit explicitement un lien de causalité entre cette pathologie – seconde maladie neurodégénérative en France après Alzheimer – et l'usage des pesticides. Un pas de plus car, dans ce domaine où règnait jusqu'ici la loi du silence, la prise de conscience des effets des produits phytosanitaires sur la santé des agriculteurs commence seulement à émerger. Et à porter ses fruits. En février, la victoire d'un céréaliculteur charentais, Paul François, qui avait intenté un procès contre le géant américain Monsanto, a constitué une première en France.

D’ »incroyables comestibles » et des potagers en partage « C’est calme en ce moment, trop calme… » En essuyant les verres du restaurant où il est salarié à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), Cédric Dérouin, 34 ans, évoque en quelques minutes, pêle-mêle, les fermetures successives de dizaines de commerces dans le centre-ville, le licenciement économique de son unique collègue il y a quelques mois, l’incertitude qui pèse sur son avenir comme sur celui des ouvriers des chantiers de l’Atlantique, principal employeur du secteur. « Y’a plus de commandes… Que va-t-il se passer quand les deux derniers bateaux seront livrés ? » s’interroge-t-il morose. Mais où est-il celui dont nous avions lu les messages enthousiastes et fédérateurs sur Facebook ? Celui au ton plein d’espoir que nous avions eu au téléphone ? Il faut lui laisser le temps de fermer boutique. Cédric Derouin devant le bac à légumes "à partager" de sa maison. © A.

La France second consommateur de pesticides ! Alors que les recommandations de la politique de santé nutritionnelle sont de manger davantage de fruits et légumes, la France est le second consommateur de produits phytosanitaires au monde. La France est le second pays consommateur au monde et le premier utilisateur européen de produits phytosanitaires (appelés également pesticides), avec un peu plus de 100 000 tonnes déversées chaque année. Ces produits regroupent les herbicides, les fongicides, les insecticides, les rodenticides, etc.

Des maisons de semences paysannes pour se libérer de l'agrobusiness - Souveraineté alimentaire « Il faut nous organiser pour récupérer toutes les semences qui sont dans les banques de gènes et remettre ce trésor entre des mains sures, celles des paysans ». Au milieu d’une centaine de variétés de maïs, en plein cœur de la Dordogne, Bertrand Lassaigne raconte l’histoire de la première maison de semences paysannes en France. Installé depuis 20 ans près de Périgueux, Bertrand cultive principalement des céréales et des protéagineux – maïs, céréales à paille, soja, lentilles... Peu à peu, il développe son autonomie en semences et parvient en moins de dix ans à autoproduire la quasi-totalité de ses cultures, sauf en maïs où il continue chaque année d’acheter de la semence non reproductible qualifiée d’hybrides.

Collectivités et particuliers : une loi 100% écolo pour aller vers le 0% phyto Elle répond au constat alarmant de l’Institut de Veille Sanitaire, qui a révélé que les Français étaient aujourd’hui "plus exposés que les Allemands ou les Canadiens aux produits phytosanitaires". "Grâce à la loi votée aujourd’hui, les collectivités devront dès le 1er janvier 2020 abandonner l’utilisation des produits phytosanitaires pour l’entretien de leurs espaces verts, forêts et promenades, précise Brigitte Allain. Deux ans plus tard, il sera impossible de mettre sur le marché des produits phytosanitaires pour les particuliers, complète Joël Labbé. » OGM & prostitution de la Science en général: des chercheurs viennent en renfort du Pr Séralini Samedi 20 octobre 2012 6 20 /10 /Oct /2012 00:33 OGM: Séralini reçoit le soutien de chercheurs internationaux 11 octobre 2012. Nouvel Obs. Des scientifiques dénoncent, dans une lettre ouverte, les obstacles dressés par les industriels et les Etats contre la recherche indépendante.

cyberaction Sauvons les surfaces d'intérêt écologique des pesticides! cyberaction N° 608: Sauvons les surfaces d'intérêt écologique des pesticides! [ 5 492 participations ] cyberaction mise en ligne le dimanche 16 février 2014 En partenariat avec : Good Food Good Farming Cette initiative est soutenue par ARC2020, FOEE, IFOAM, PAN, Slow Food et le Groupe de Bruges. Elle sera envoyée à : Stéphane LE FOLL Ministre de l’agriculture de l’agroalimentaire et de la forêt EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons ! (Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012) C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle.

“Globalement, les Etats-Uniens n’ont pas une alimentation moins saine que celle des Français” En France, les 21-34 ans mangent moins équilibré qu’aux Etats-Unis. C’est l’un des résultats d’une grande enquête du Crédoc (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie) intitulée “Comparaison des modèles alimentaires français et états-Uniens”, synthétisée dans un document publié ce mercredi. Pour obtenir ces résultats, le Credoc utilie le PANDiet, un indicateur synthétique, qui prend en compte négativement le sodium ou les acides gras saturés, et positivement les vitamines et minéraux. Les jeunes adultes français mangeraient beaucoup de sandwichs et peu de légumes. Une conséquence de l’entrée dans la vie active? Les apiculteurs dans la rue contre les "insecticides tueurs d'abeilles" Montreuil (AFP) - Avec tenues de protection et enfumoirs, des centaines d'apiculteurs sont venus mardi près de Paris manifester leur mécontentement face à la mortalité des abeilles qui menace leur travail. A Montreuil, devant le siège de FranceAgriMer, organisme qui détermine les orientations stratégiques des filières agricoles, ils brandissaient des pancartes avec un message clair: "L'agrochimie m'a tuer", "Stop à l'hécatombe" ou encore "Non au Cruiser, non aux insecticides neurotoxiques tueurs d'abeilles". Quatre des cinq organisations professionnelles étaient réunies pour l'occasion: la Confédération paysanne, la Fédération des organisations sanitaires apicoles départementales (FNOSAD), le Syndicat national d'Apiculture (SNA) et l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf). Ils avaient réussi à réunir 8 à 900 apiculteurs selon les organisateurs, 300 selon la police. "Un plan de développement durable de l'apiculture dans une ambiance de pesticides, ce n'est pas possible.

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