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L’expérience client

L’expérience client
XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer “Def : L’ensemble des émotions qui accompagne l’acte d’achat. Connaissez-vous l’expérience client ? L’expérience client. A l’origine de l’engouement : une double réalité. Changer la transaction en relation A l’origine de l’efficacité du concept : son caractère subjectif, comme spécifié par le dictionnaire du marketing qui définit l’expérience client comme étant “l’ensemble des émotions qui accompagne l’acte d’achat – pendant et après – d’un produit ou d’un service”. Seule différence avec le passé : celles-ci dépendent de plus en plus d’éléments périphériques aux produits ou services vendus. En charge de la prospective chez Blackandgold, Cécilia Tassin confirme. D’autant plus efficace lorsqu’elle est assortie d’une dimension sensorielle. Related:  emartinvermanellek

La première carte corporelle des émotions Des chercheurs finlandais ont détaillé les effets physiques du bonheur, de la peur, de la tristesse et d'autres sentiments. «La peur au ventre», «sentir monter la colère», «la tristesse me serre le cœur». La langue française attribue depuis des siècles une manifestation physique à chacune de nos émotions, et les recherches scientifiques menées ces vingt dernières années ont montré que cela n'avait rien d'une croyance populaire. Dernière preuve en date: la «carte corporelle des émotions » établie par des chercheurs finlandais. Leurs travaux, publiés fin décembre dans les Comptes rendus de l'Académie des sciences américaine (PNAS), confirment notamment que les principales émotions humaines que sont la peur, la tristesse ou le bonheur sont ressenties physiquement de la même façon pour tous, quelle que soit la culture d'origine de l'individu. Pour le spécialiste, cette topographie inédite pourrait faire avancer la recherche dans la compréhension des mécanismes émotionnels encore mal connus.

Kiabi Shopping Connect : Facebook et technologie RFID au service du shopping connecté Le projet de mettre en place des dispositifs Facebook dans les lieux physiques de Kiabi est issu d’unepremière collaboration entre Kiabi, véritable référence régionale du marché de la mode à petits prix, etHobbynote, la start-up lilloise spécialisée dans le développement d’applications sur Facebook. Ce projet est donc l’initiative de deux entreprises du Nord-Pas-de-Calais. Conscientes du potentiel viral et social qu’offre Facebook, les deux entreprises se sont associées une nouvelle fois afin de donner un tout nouveau sens au Shopping connecté, mais il s’agit surtout de l’opportunité d’offrir à la clientèle de Kiabi une expérience d’achat unique et jusque-là inédite en France. Aujourd’hui, les internautes fervents du shopping en ligne souhaitent pouvoir communiquer facilement avec leurs amis, ils ont envie de partager leurs trouvailles et surtout veulent être recommandés, guidés et accompagnés par leurs proches durant leur expérience d’achat. Première étape : se rendre au magasin

Son rêve: "enchanter" les clients, les consommateurs et les utilisateurs Vous en avez assez des hot-lines injoignables, des services après-vente incompétents, des livraisons-fantôme ? Le forum de "l'expérience-client" a pour but de recenser les meilleurs initiatives permettant de résoudre ces points noirs et, au-delà, de faire du processus de vente un acte "enchanteur" -pour reprendre l'adjectif favori de Guy Kawasaki, ex-apôtre de l'expérience-client chez Apple. Le forum a lieu du 10 au 12 septembre à La Baule et Manuel Jacquinet, organisateur de l'événement et directeur de la rédaction de En-Contact, le magazine de la relation-client, nous en explique les enjeux. Vous organisez le forum de "l'Expérience client": ce terme est à la fois très connoté "marketing" et semble aussi très vague... En fait, "l'expérience client" mesure la différence entre ce à quoi le client s'attend quand il achète un produit ou un service, et ce qu'il ressent en réalité lors de l'achat. En tout cas elles en sont de plus en plus conscientes. Non !

Bienvenue dans l’ère de l’Homo numericus ! En deux ans, la population des catégories « déconnectés« , « distants » et « usagers » a peu à peu basculé vers la catégorie des « Homo Numéricus« , passant de 17 à 34%. Qui sont les Homo Numéricus ? Les outils numériques leur sont devenus indispensables dans leur vie de tous les jours ; ils se disent curieux et enthousiastes mais également prudents. On note en effet une plus grande maturité dans les usages mais également une prise de conscience sur la responsabilité que cela implique. Dans le rapport, il est cité l’oncle de Peter Parker dans le film Spider-man qui dit « Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités« . La fracture a disparu, un sentiment d’apport positif global prédomine mais l’utilisation croissante, la massification des usages ont généré parallèlement des « embarras numériques » comme le stockage des données, l’équipement, l’installation. Focus Education L’école des super héros numériques Plus d’infos : lu : 1330 fois

Fiche-pratique-La-communication-interne.pdf Le marketing expérientiel La valeur de l'expérience Ni la marque, ni le produit ne génère de la valeur pour consommateur : c’est l’expérience de l’individu qui apporte de la valeur. Comprendre ce qui résulte de l’interaction entre l’individu et l’objet au cours de l’expérience devient un enjeu majeur. Holbrook (1999) propose, dans cette perspective, une typologie des valeurs de consommation à partir de trois dimensions. Toute expérience de consommation est susceptible de produire de la valeur et une expérience de consommation donnée peut générer des valeurs différentes selon les individus. Les enjeux du marketing expérientiel se situent au niveau des valeurs produites par l'expérience de consommation. Les limites du marketing expérientiel Le marketing expérientiel n’établit pas toujours nettement la distinction entre aspects expérientiels de la consommation et l’expérience de consommation. La seconde limite relève de l'acceptation de l'expérience proposée. Richard Ladwein Éléments bibliographiques

La veille, une approche globale et stratégique Selon BADOT et COVA [1], le pouvoir s’est déplacé, glissant de l’accès des matières premières à l’accès aux sources d’information et à l’information. Cette nouvelle nécessité explique donc que l’une des conditions de survie de la firme est la veille quelle que soit son domaine d’étude. Pour BURGAUD, la veille est « une gestion de l’information qui se développe sur deux axes : spéculatif (recherche et recueil de l’information) et projectif (évaluation et projection des résultats éventuels) et qui concerne l’ensemble de l’entreprise aussi bien les fonctions technologiques que financières et commerciales. » L’AFNOR (norme XP X50-053, avril 1988) présente la veille comme une activité continue et en grande partie itérative visant à une surveillance de l’environnement technologique, commercial…pour anticiper les évolutions. Historiquement ce sont les grands groupes industriels qui ont été les premiers à mettre en œuvre une démarche de veille. 1. Les typologies de veilles Le cycle de la veille

Les 13 secrets des relations presse pour les startups ! Je ne crois pas qu’il existe un entrepreneur qui ne se soit dit un jour « tiens, je vais faire des RP ». Que ce soit pour des raisons d’égo, de mimétisme, ou d’intérêt pour l’entreprise en termes de communication ou avant une levée de fonds, les relations presse ont donc la cote. Et pourtant, facile de se planter ou d’être déçu des retombées, si l’on ne se prépare pas bien et qu’on poursuit les mauvais objectifs… Je partage ici quelques points de réflexion qui me sont venus après l’intervention de Rémy Debrant et Stéphane Harrouch, de l’agence de relation presse Grayling, qui nous ont donné à l’incubateur HEC leurs secrets pour aider les entrepreneurs à faire leurs RP. Réfléchissez bien avant de dépenser temps et argent en relations presse ! 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. Et vous, votre 14ème secret des relations presse, c’est quoi ?

Laurent Alexandre : la France pourrait devenir une colonie des GAFA - Yellow Vision Le secteur tertiaire encore plus en danger que le secteur industriel Si on a longtemps pu croire que la robotisation allait la première supprimer des emplois, notamment industriels, Laurent Alexandre précise que l’IA n’aura pas une croissance exponentielle dans ce domaine notamment à cause des complexités mécaniques à prendre en compte. En revanche, l’intelligence artificielle tertiaire sans robot peut avoir une croissance exponentielle et des conséquences sur l’ensemble du secteur des services. Et dans ce domaine, il insiste sur le fait que ce ne sont pas seulement les chauffeurs Uber qui vont être concernés, les métiers très qualifiés pourront également l’être. Les médecins pourraient par exemple se faire bousculer par des algorithmes capables de réaliser des analyses comportants des téraoctets de données relatives à l’ADN, mettant au second plan les diagnostics réalisés par le corps médical.

Marketing durable et écoconception Introduction Aucun produit ne parcourt son cycle de vie sans consommer ou polluer, dans la recherche de matériaux comme la consommation de ressources minérales, végétales ou animales, énergétiques, les consommations d’eau et d’espaces naturels liés aux cultures ou à l’élevage. Tout produit est aussi à l’origine de rejets dans l’eau, l’air ou les sols. Ces consommations et ces rejets sont sources d’impacts sur l’environnement comme l’épuisement des ressources naturelles, la pollution de l’eau, de l’air, la production de déchets… Le développement durable est porteur d’espérance. Pour 72% des français, le développement durable est une « idée nouvelle qui va changer la manière de produire et de consommer pour le bien de tous ». Le business vert est souvent pris comme une opportunité de « coups marketing ». Selon Jean-Jacques LEHU [1], le marketing durable correspond à une déclinaison inspirée du concept du développement durable et proposée par le sociologue Gérard MERMET [2] en 2002. I. II.

Rédiger un bon communiqué de presse Le communiqué de presse est l'outil le plus utilisé pour informer les rédactions. Il s'agit d'un document de 2 ou 3 pages maximum, envoyé désormais principalement par mail (je vous déconseille d’ailleurs le courrier et encore plus le fax), annonçant un fait novateur : création de société, nomination de dirigeants, mise sur le marché d'un nouveau produit, annonce de résultats financiers, signature d'un important contrat, etc. Il est plus ou moins construit sur le même format (même s'il n'y a pas de règles strictes) et je vous conseille de le suivre assez fidèlement car avec l’habitude, nous développons des réflexes quasi conditionnés pour repérer en un clin d’œil la bonne info de « l’ivraie »… Gardez à l'esprit que, chaque jour, il arrive des centaines de communiqués sur le bureau des journalistes et qu’ils ont bien peu de temps à leur accorder. La forme : N’envoyez jamais vos communiqués par mail en pièce jointe. Le fond Pour terminer, voici un exemple avec quelques commentaires.

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