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Le néo-consommateur : une espèce en voie d’apparition ou le consommateur 2.0

Le néo-consommateur : une espèce en voie d’apparition ou le consommateur 2.0
Le consommateur d’aujourd’hui aspire à consommer différemment. Il a d’autres envies, d’autres ambitions pour lui-même et est en train d’adopter de nouvelles habitudes de consommation. En effet, si la crise économique de 2008 est à l’origine de l’émergence du néo-consommateur, celui-ci est cependant le fruit de mutations plus profondes qui ont donné naissance à de nouvelles tendances de consommation. 1. L’attention des consommateurs a toujours été focalisée sur leur pouvoir d’achat. Cette crise de 2008 a tout d’abord entrainé une perte de repère de la part des consommateurs, qui se sont alors réfugiés dans les valeurs sûres : la recherche de prix bas, ou tournés vers de nouveaux médias pour consommer. 1.1 Une perte des repères de la part des consommateurs D’après une étude du CREDOC [1], en 2008, le niveau du moral des Français est à un niveau extrêmement bas, à cause du contexte économique certes, mais également à cause de la perception erronée de la baisse de leur pouvoir d’achat. 2.

Ultimate | Mediaprism Êtes-vous certains de savoir qui sont vos consommateurs ? Prendre la réalité pour ses désirs... Il existe de multiples façons de s’intéresser aux consommateurs. Nous avons choisi de les voir sous tous les angles. À force de détails, chaque consommateur devient singulier – il apparaît isolément – et pluriel – il appartient à des communautés. Adieu la ménagère de moins de 50 ans, les CSP +, les CSP -... Bienvenue technologie, plaisir, goût, envie, économie, partage, éthique... À la manière des peintres pointillistes, nous avons patiemment, point par point, constitué le portrait de chaque client de cette nouvelle typologie. Vérité et réalité, les marques connaissent la nécessité d’un « parler vrai » devenu impératif dans le cadre de leurs relations avec leurs clients.

Qu'attendent les consommateurs en temps de crise? - Les fondamentaux du marketing En cette période de difficultés économiques, les marques n'ont pas bonne presse. On les soupçonne de ne pas jouer le jeu. La récente polémique sur les baisses de quantité sur certains produits de grande consommation, non compensées par des baisses de prix, a encore terni le tableau. L'enquête menée en France par Ipsos Marketing fait émerger un premier constat: quel qu'en soit le motif, les marques font actuellement l'objet d'une désaffection. 55% des consommateurs disent ainsi acheter moins qu'avant les produits de «grandes marques» (Coca-Cola, Danone, etc.). Plus de promotions et de transparence © Source : Ipsos marketing Méthodologie enquête réalisée, en ligne, en octobre 2008, auprès d'un échantillon représentatif de 500 personnes. Comment faire revenir les consommateurs vers les marques? Hormis des produits moins chers et des promotions qui sont attendus partout, il existe bien sûr des différences selon les catégories envisagées. Des pubs moins clinquantes?

Fiche 10 – Les comportements de consommation du futur | OT du Futur Ce qu’il faut savoir Parallèlement à toutes les grandes évolutions de la consommation, on voit se développer des tendances à contre-courant de la consommation classique actuelle comme l’empathie, l’écocitoyenneté ou le partage. Demain, des crises écologiques et humanitaires majeures, s’ajoutant aux crises économiques et aux pressions sociales subies, viendront accélérer ce processus d’évolution. Présents actuellement sous forme d’arbitrage au sein de chacun de nous, ces comportements naissants et aujourd’hui paradoxaux préfigurent déjà les modes de consommation du futur. Quelques éléments clefs Désirant toujours plus de confort à moindre prix, le touriste est aussi de plus en plus favorable à une éco-consommation. 88 % des Français sont favorables ou très favorables aux notions de tourisme durable, mais paradoxalement, 4 % seulement ont déjà acheté des prestations estampillées responsables ou durables. Le partage d’un usage est l’une des valeurs montantes du futur. Haut de page

Dans la grande distribution, la guerre des prix revient C'est une déclaration de guerre lancée à coups de patates et de tomates fraîches. Avec sa publicité comparative - réponse humoristique à celle de Leclerc - sortie le 25 avril, Auchan entend prouver sa détermination à détrôner l'épicier de Landerneau, leader incontesté des prix bas. Et, cette fois, ce n'est pas une de ces escarmouches dont la grande distribution a le secret, notamment à la rentrée des classes ou à Noël. Crise économique, inquiétude pour l'avenir, baisse du pouvoir d'achat : les Français freinent considérablement leurs dépenses alimentaires (-2,3 % en mars selon l'Insee), plébiscitant clairement les magasins les moins chers. Branle-bas de combat général Auchan a voulu frapper fort. Le branle-bas de combat est général. Il n'y a plus de temps à perdre. Michel-Edouard Leclerc, lui, jubile. Rattraper Leclerc, un pari impossible ? La guerre ne fait que commencer. Qui l'emportera ? Difficile d'aller plus loin.

[Infographie] Alimentaire et nutrition-santé: qui sont ces « nouveaux consommateurs »? Et qu’attendent-ils? « La chute du capitalisme », « la fin des hypermarchés », « vers une économie hybride entre capitalisme et partage », « la mort d’un modèle », etc… Ces derniers mois, la presse spécialisée en analyse des consommateurs, marketing, et économie, ne manque pas d’alerter les industriels sur les évolutions actuelles de notre système économique. A l’origine de ces bouleversements, pour bon nombre d’experts (comme Philippe Moati – notre interview à lire ici), la troisième révolution industrielle, déclenchée par des consommateurs aux comportements et aux attentes différents. Mais concrètement, qui sont ces nouveaux consommateurs ? Des e-consommateurs ? Mobiles et connectés : c’est sans aucun doute deux des trois caractéristiques qui qualifient ce que l’on peut appeler « les consommateurs 3.0 ». ) qui le relie en permanence à l’actualité, au monde… mais aussi au commerce. Des consommateurs zappeurs Ce qu’ils recherchent : praticité, personnalisation, proximité et communauté

Auchan et Carrefour jouent à la guerre des prix (pour de faux) Montage - G.Steudler Le jouet, un secteur bien peu concurrentiel Téléchargez gratuitement l’enquête de décembre 2011 dans laquelle nous dénoncions le manque de concurrence dans le secteur du jouet. Commerce/distribution - 30 novembre 2012 Auchan et Carrefour jouent à la guerre des prix (pour de faux) « On vous rembourse deux fois la différence si vous trouvez votre jouet moins cher ailleurs. » Avec ce slogan, Auchan et Carrefour laissent espérer une vraie guerre des prix au bénéfice du consommateur. Depuis fin octobre, Carrefour affiche dans les journaux et sur les murs sa garantie « Prix le plus bas » sur deux cents jouets de grandes marques. Fin novembre, Auchan contre-attaque : « Chez Auchan, quand on garantit les jouets moins chers, on ne roule pas des mécaniques », clame l’enseigne. Des distributeurs qui prennent bien peu de risques À lire ces publicités, on pourrait croire que la guerre des prix est bel et bien engagée dans le secteur du jouet à la veille de Noël. Fabienne Loiseau

Consommation : 82% des Français sont adeptes de produits locaux Si le prix est le critère plébiscité par 81% des consommateurs pour leurs courses alimentaires, acheter français reste la priorité : 91,7% privilégient le "Made in France". Une tendance particulièrement reconnue chez les séniors (32%). Le local aussi est décisif dans l'acte d'achat : 81,7% des Français font plus confiance à un produit alimentaire produit à 150 km autour de leur lieu d’habitation, dont 85,2% des familles avec enfant. Ce sont les Parisiens et les Franciliens qui sont les plus méfiants : 23% ne font pas plus confiance à un produit alimentaire produit près de chez eux. 45% des clients se réfèrent aux certifications, perçues comme un gage de qualité. La saisonnalité 78% des consommateurs sélectionnent leurs fruits et légumes souvent ou toujours en fonction des saisons.

Le "drive" pénalise les achats d'impulsion LE MONDE | • Mis à jour le | Par Cécile Prudhomme Le "drive", ce nouveau circuit de distribution grâce auquel les consommateurs commandent leurs courses sur Internet et viennent les retirer en magasin ou en entrepôt, va-t-il cannibaliser les ventes des grandes surfaces ? Lancé par Auchan au milieu des années 2000, expérimenté timidement par la suite par d'autres marques comme Casino ou Système U et développé à grande échelle en 2011 par Leclerc, le système séduit de plus en plus de ménages. Il a aussi pour conséquence de modifier les habitudes de consommation. Dans leur panier, les ménages mettent d'abord des produits lourds et encombrants, des fonds de placard, qui figurent sur leur liste de courses : boissons non alcoolisées, conserves, lessives, aliments pour animaux domestiques, produits pour bébé... Là où le consommateur se laissait tenter, en grande surface, par une promotion ou cédait au caprice du petit dernier, il n'achète avec le drive que l'essentiel.

Le consommateur français n'a jamais été aussi exigeant Deux ans après avoir dépeint un consommateur français paradoxal, errant et indépendant, l'Observatoire des Services Clients 2015 de BVA et Viséo Conseil constate, cette fois, qu’il n’a également jamais été aussi exigeant. « Qu’est-ce que ton devoir ? L’exigence de chaque jour ». Dévoilés le 7 octobre, les résultats de l'Observatoire des Services Clients 2015 constatent peut-être une évidence. Primo, les consommateurs sont à une très large majorité (88%) favorables à des services individualisés, accessibles plus ou moins rapidement en fonction de leur statut de fidélité. Bienvenue dans le royaume de l’immédiateté Secundo, 28% des sondés acceptent que la marque analyse leurs données de navigation sur smartphone et tablettes, si en échange ils bénéficient d'un service adapté. La relation client est devenue un vrai casse-tête Il faut dire que jamais le consommateur n’a été aussi errant, indépendant et paradoxal, faisant de la relation client un vrai casse-tête.

Comment les géants de la distribution s'adaptent à la sociologie du consommateur Cette cure d'austérité que s'impose le consommateur ne fait pas les beaux jours des grands groupes de distribution, qui tentent par tous les moyens de trouver la parade pour redonner envie au consommateur de pousser les portes des grands magasins. Alors que le comportement du chaland se métamorphose, les géants de la distribution s'adaptent, adoptant des stratégies parfois radicalement opposées. En forçant un peu le trait, on peut dire qu'il y a ceux qui misent sur la bataille du pouvoir d'achat comme Wal Mart et son slogan « Save money, live better » et ceux qui surfent sur la vague de l'authenticité. D'abord, force est de constater que face à la crise, les consommateurs, conscients de l'érosion du pouvoir d'achat, et particulièrement pessimistes par rapport à l'avenir, modifient leur comportement d'achat. Si le consommateur délaisse les magasins discount, il n'en demeure pas moins anxieux pour son avenir et son porte monnaie.

Cinq idées reçues des Français sur l’innovation Clichés voire stéréotypes, que pensent nos compatriotes du « sacro-saint » phénomène de l’innovation ? La France en plein bouleversement est en phase d’assimilation d’une nouvelle société où les mentalités et les comportements sont sommés d’évoluer. Mediacom met en lumière des impressions qui doivent surtout être combattues et non démontrées... Le Français à la tête dure. Le rapport soulève, entre autres, cinq idées reçues des Français sur l’innovation au travers de sa compréhension, son action et sa définition. Et pour enfoncer le clou, ils sont 55% à considérer que les innovations mises sur le marché sont pour la plupart des resucées améliorées des modèles existants. 5 idées reçues à transformer en commandements ? 1 - une cible unique appétante à l'innovation C’est le rêve de tout marketeur : une cible unique, précise, facile à atteindre, réceptive et qui n’attendrait que son offre. 2 - l'innovation est réservée au secteur high-tech 3 - l'innovation est forcément chère

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