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Hominidés - Préhistoire, Protohistoire, Chronologie

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VIDEO. L'expo événement sur Neandertal ouvre au Musée de l'Homme Le diorama bleu vert luit doucement, passant des saisons chaudes aux saisons froides, un ours montre son museau, un loup hurle, un feu crépite dans la plaine. Pas de doute, cette animation aura un bel "effet immersif " et permettra au public de voir passer plus de 300.000 ans en accéléré. Marion Paquié, régisseuse des objets et son aide débarrassent un puissant bison empaillé de son voile de plastique… en faisant bien attention à ne pas piétiner les minuscules lemmings. Un métissage tardif entre sapiens et néandertal en Europe La mandibule de la grotte roumaine Pestera cu Oase, qui a livré le génome de OASE 1. L'auteur Francois Savatier est journaliste à Pour la Science. Du même auteur

Exhumation d'un chasseur-cueilleur Au fil des coups de pinceau et des raclements horripilants d'outils de dentistes, un étrange sourire émerge de la terre. Des dents blanches apparaissent sous l'orbe d'un crâne coupé net. Alors qu'à quelques mètres poids lourds et vacanciers filent sur la nationale 8, Dominique Henry-Gambier (CNRS, laboratoire Pacea à Bordeaux) et son collègue paléo-anthropologue Renaud Lisfranc, de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), dégagent avec mille précautions les restes d'un homme qui fut enterré là il y a plus de 10 000 ans. "Cette sépulture est importante, car à l'échelle de l'Europe, sur une période paléolithique [précédant l'agriculture au néolithique] qui couvre 40 000 ans, on n'a étudié à ce jour que 300 tombes, souligne la chercheuse.

L'arbre généalogique des Homininés Étude des fossiles Les fossiles ont semblé un temps confirmer la théorie de l'évolutionnisme. La découverte de Lucy, cette jeune Australopithèque âgée de 3,5 millions d'années, présentant une mosaïque remarquable de caractères intermédiaires entre le singe et l'homme, venait parfaitement s'insérer dans l'idée d'un passage étonnant de douceur et de continuité entre les "brutes épaisses" auxquelles on assimilait les singes et les êtres remarquables de finesse et de raffinement que nous étions. Mais ce n'est pas ce que nous disent les fossiles. En réalité, à partir de l'ancêtre commun aux Paninés et aux Homininés (dont on possède peu de fossiles), une foule d'espèces d'hommes différentes se sont diversifiées.

Une étude réécrit le scénario du peuplement de l'Europe Crédits : Natalia Shishlina Deux études menées indépendamment jettent une nouvelle lumière sur le scénario du peuplement de l'Europe. Ces deux travaux, publiés dans Nature, s'appuient sur l'analyse de fragments d'ADN ancien. Au cours du dernier siècle, les paléoanthropologues se sont appuyés sur la découverte d'ossements et d'outils anciens pour reconstruire le scénario du peuplement de l'Europe. Mais les progrès récents relatifs à l'analyse de l'ADN ancien ont permis aux chercheurs de faire un gigantesque bond en avant dans la compréhension des différentes migrations dont les européens actuels sont le fruit. Et c'est précisément grâce à de patientes analyses menées sur des fragments d'ADN ancien, prélevé sur des ossements humains, que deux équipes de chercheurs, l'une danoise et l'autre américaine, sont parvenus conjointement à produire le scénario du peuplement de l'Europe le plus précis et le plus complet jamais proposé à ce jour.

Adieu Lucy " l’australopithèque ne pouvait pas être considéré comme l’ancêtre de l’homme Un fossile de crâne d’espèce d’australopithèque bosei codé en OH-5 Les créatures, appelées par les évolutionnistes australopithèques, ne sont en fait rien d'autre qu'une espèce de singe disparue. Australopithèque signifie " singe du sud ". Appartenant à différentes catégories, toutes les espèces d'australopithèques sont des singes disparus qui ressemblent aux singes d'aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont les mêmes, ou plus petites que les chimpanzés actuels. Il y a des parties saillantes dans leurs mains et pieds qu'ils utilisent pour grimper aux arbres, comme les chimpanzés d'aujourd'hui, et leurs pieds ont des habiletés simiesques pour s'agripper aux branches.

Indices d’une présence humaine sur le continent américain il y a 130 000 ans En Californie, des os d’un mammouth semblent avoir été brisés à l’aide d’outils de pierre, plus de 100 000 ans avant la date généralement admise pour l’arrivée des premiers humains dans le Nouveau Monde. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Morin On savait déjà que Christophe Colomb n’avait pas découvert l’Amérique, que des Vikings l’avaient devancé sur les marges d’un continent déjà peuplé d’« indiens » depuis des millénaires. Ces dernières décennies, le débat a été vif pour déterminer quand les premiers humains avaient pris pied sur le Nouveau Monde – il y a 13 000 ans, ou beaucoup plus ? Une découverte, publiée jeudi 27 avril dans la revue Nature, risque de relancer les diverses tribus d’anthropologues, d’archéologues et de paléontologues sur le sentier de la guerre : des indices d’une présence humaine en Californie, il y a 130 000 ans, y sont révélés.

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