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Nouveaux phénomènes de la presse en ligne

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La presse en ligne attire 55 % des internautes et 40 % des Français. Près de 40 % de la population française âgée de plus de 15 ans serait lecteurs de la presse numérique selon la dernière étude One d'Audipresse publiée aujourd'hui. Et le succès des smartphones et des tablettes serait particulièrement visible selon l'enquête. Près de 7 millions de lecteurs mobiles 20,609 millions. C'est le nombre de lecteurs de presse numérique en France d'après la dernière étude d'Audipresse réalisée entre le mois de juillet 2011 et le mois de juin 2012 auprès de 50 000 personnes. Cela représente notamment 55 % des internautes. Mais nombreux sont ceux à aussi lire leurs sites préférés sur leur smartphone ou leur tablette tactile. Au final, la répartition de support de lectures entre PC, smartphone et tablette est de 76 % pour le premier, 13 % pour le second et 11 % pour le troisième. Les “pure players” ou le pari de la presse en ligne - L'actu Médias / Net.

La presse papier est en crise ?

Les “pure players” ou le pari de la presse en ligne - L'actu Médias / Net

De plus en plus de médias font le pari d'une présence exclusive sur le Net. Entre quête du clic et précarité financière, ces “pure players” peuvent-ils tirer leur épingle du jeu ? Rue89, Mediapart, Slate, Huffington Post, Owni... depuis 2007, de nouveaux médias en ligne avec des drôles de noms bousculent le paysage traditionnel des Figaro(.fr), Le Monde(.fr), Libé(.fr). Ces sites d'information généraliste nés sur le Web sont des « pure players », indépendants (ou presque) des groupes de presse. Hérauts du numérique, ils revendiquent un autre ton, une liberté éditoriale, sans toujours en avoir les moyens. De Rue89 au Huffington Post, tous les pure players français passés au crible sur notre infographie. De ta cuisine tu sortiras« Maintenant, on a un téléphone par personne ! Mais l'enthousiasme s'étiole. Il y a trois ans, Edwy Plenel et son Mediapart, optaient, dans le scepticisme général, pour le payant. Pour les derniers arrivants, la stratégie s'affine.

La Presse Et le Web Participatif. Rue89. Ils se battaient pour être bien classés dans les résultats de recherche Google.

Rue89

Désormais, les sites d’information doivent aussi se placer sur les réseaux sociaux, à commencer par les deux services les plus utilisés par les internautes, Facebook et Twitter. Objectif ? Atteindre les internautes au plus près de leurs habitudes de navigation. Par exemple, faire la promotion d’une enquête qui vient d’être publiée dans votre « fil d’actualité » Facebook, parmi les dernières photos envoyées par vos amis. Ou, si vous êtes accro à Twitter, « pousser » la dernière alerte actu entre deux blagues de « twittos ».

D’où l’idée de publier ce petit palmarès, afin de voir qui est bien placé pour profiter de la montée de la navigation par « recommandation » : de plus en plus souvent, l’internaute arrive sur un site non pas parce qu’il a tapé l’adresse ou après une recherche menée sur Google, mais parce qu’un de ses amis lui a suggéré d’y aller. Les « gros » pas toujours bien placés dans la course. Presse et réseaux sociaux, quels usages ? L’avènement du web participatif a provoqué un tumulte, bouleversant les pratiques traditionnelles de la presse. ‪

Presse et réseaux sociaux, quels usages ?

Confrontée à une baisse structurelle de son lectorat papier, ‬‪la presse, et en particulier les quotidiens, tentent de se réinventer sur la toile pour pouvoir perdurer et ainsi s’adapter à l’essor du numérique et de ses différents supports.‬ ‪ Les réseaux sociaux sont utilisés par les entreprises comme de vrais outils de promotion et de marketing. À ce propos Hubert Frach Vice President du Marketing chez Lufthansa déclare « A brand is no longer what we tell consumer, it is what the consumer tell each other it is… » (« Une marque n’est plus ce que nous disons au consommateur. Elle est ce que les consommateurs se disent les uns les autres. ») ‪Comme l’article publié par Stephane Peres, Marques et réseaux sociaux, les enjeux du viral, le développe, de vraies stratégies sont mises en place.

Le bel avenir des commentaires en presse en ligne. L’Association Mondiale des Journaux et des Éditeurs de Médias d’Information (WAN IFRA) a interrogé 104 éditeurs dans 63 pays et 5 continents, sur leur perception du participatif dans leur site Web.

Le bel avenir des commentaires en presse en ligne

Résultats ? Les meilleures pratiques des "Newsroom" de la planète. le Community Manager« Les commentaires d’articles dans les médias en ligne sont infestés de propos racistes, homophobes et sexistes… » . Cette phrase aurait pu être tenue par toutes les rédactions Web en France. D’ailleurs, il est de bon ton de railler le peu d’intérêt éditorial de ces commentaires ; voire de penser qu’ils sont plus nuisibles qu’utiles ! C’est ce qu’il ressort de l’excellente étude de l’Association Mondiale des Journaux et des Éditeurs de Médias d’Information (WAN IFRA). Voici les principaux enseignements que l’on peut en tirer 1) Recentrer les échanges sur un sujet précis Chaque thème d’actualité peut se diviser en sous thèmes.