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Ces « entreprises partagées » où s'invente une nouvelle forme de travail

Ces « entreprises partagées » où s'invente une nouvelle forme de travail
Durant sa semaine de travail, Fatima Lamyne, 47 ans, prospecte le marché et rencontre des clients pour leur proposer ses services de secrétariat administratif. Quand elle décroche une mission, elle travaille chez elle, dans le Val de Marne, et se fait payer sur facture. Cette facture, c’est la Coopérative d’activité et d’emploi (CAE) dont elle fait partie qui l’encaisse. En contrepartie, la CAE lui verse chaque mois un salaire, dont le montant est calculé selon le chiffre d’affaires prévu de son activité. Résultat : Fatima est à la fois salariée, de par son mode de rémunération, et entrepreneuse, en ce qui concerne son mode de travail. Une alternative sécurisante à l’auto-entrepreneuriat. « Quand j’ai quitté la boîte où j’étais salariée depuis dix ans, j’ai d’abord choisi le statut d’autoentrepreneur, plus rassurant ». « Redonner du sens à leur travail » C’est le cas de Damien Roffat, 31 ans, et de son confrère Adrien Demay. Mutualisation des services administratifs Andrea Paracchini

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La Suède relance le débat sur la journée de travail de 6 heures Réduire le temps de travail pour augmenter la productivité horaire et favoriser l'emploi ? Une idée qui semble tout droit sortie de la fin des années 1990 pour les observateurs français. Une idée qui avait aussi été abandonnée en Suède, avant d'être ressuscitée il y a peu par la mairie de Göteborg. ocmw-info-cpas - Différentes aides en nature 1. Mode d’emploi de la fiche et abréviations utilisées Les Fiches Techniques ont pour but de donner aux experts du terrain une information pratique, claire et actualisée sur les différentes aides ainsi que les services offerts par les CPAS. Chaque fiche tient à être exhaustive, mais en cas de doute il est toutefois conseillé de consulter d’autres sources.

Stiglitz : « Aucune économie n'est jamais revenue à la prospérité avec des mesures d'austérité » LA TRIBUNE - Comment définiriez-vous l'économie positive et en quoi est-elle nécessaire en ces temps de crise ? JOSEPH STIGLITZ - L'économie positive milite pour un changement de la structure de notre économie vers une vision à plus long terme, génératrice d'une croissance plus pérenne, ce qui est indispensable. Notre société est pour l'instant trop concentrée sur le court terme, cette conception du système a d'ailleurs provoqué la crise financière. Nous n'avons donc pas tiré les leçons de la crise... Nous avons créé cette terrible récession nous-mêmes, ce n'était pas un tsunami accidentel... et la menace demeure.

Des économistes allemands proposent de passer à la semaine de 30 heures « Le chômage a atteint en Europe des ordres de grandeurs insupportables. Le chômage des jeunes est particulièrement effrayant », alertent des économistes allemands. Sans oublier les travailleurs pauvres, qui triment parfois 50h par semaine sans pouvoir en vivre. Dans une lettre ouverte, ces économistes proposent de réduire équitablement le temps de travail en passant à la semaine de 30h, sans baisse de salaires. Une proposition qui suscite le débat en Allemagne.

Qu’est-ce que la Résilience Locale ? – Résixlience [Local(e) Resilience Six Evaluation(s)] La résilience de manière générale : Suivant les domaines, on l’associera à la résistance d’un matériau, l’élasticité ou flexibilité, la capacité à absorber un choc, la maitrise du risque industriel, la gestion de sortie de crise, la capacité à tolérer une panne (une avarie), les processus de restauration, la capacité à surmonter un traumatisme, à s’adapter à un changement climatique, ou à ne pas trop souffrir d’un ultime choc pétrolier. C’est une notion qui existe dans de nombreux domaines : physique-mécanique, psychologie, informatique, aérospatial, économie, gouvernance et écologie. Wikipédia y consacre un ensemble d’articles interconnectés assez documentés, en version française et version anglaise.

En 2015, un migrant meurt toutes les deux heures en moyenne en Méditerranée Jusqu'au printemps 2015, le drame de Lampedusa d'octobre 2013 – au cours duquel 366 migrants avaient trouvé la mort –, demeurait la plus grande tragédie migratoire de la Méditerranée de ce début du XXIe siècle. La disparition d'au moins 700 personnes lors du naufrage d'un chalutier, ce week-end, à laquelle s'ajoute celle d'au moins 400 migrants lors d'un autre naufrage le 12 avril, fait craindre une tragédie bien pire encore : « une hécatombe jamais vue en Méditerranée », selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Les principaux naufrages de migrants depuis janvier 2015 (routes Afrique-Europe) (D'après les données du collectif The Migrants Files). 22 000 C'est le nombre de migrants qui seraient morts en tentant de gagner l'Europe depuis 2000, principalement en traversant la Méditerranée, selon les estimations d'un rapport de Organisation internationale pour les migrations sur les mouvements de migration dans le monde, soit une moyenne de 1 500 morts par an.

Chômage, le mythe des emplois vacants, par Hadrien Clouet (Le Monde diplomatique, février 2015) Monsieur François Rebsamen, le nouveau ministre du travail, s’est alarmé sur France Inter, le 19 novembre dernier, de l’existence de « quatre cent mille emplois non pourvus et abandonnés parce qu’ils ne trouvent pas de réponse ». Ces propos font écho aux « cinq cent mille offres d’emploi qui ne sont pas satisfaites » qu’évoquait M. Nicolas Sarkozy lors d’un entretien à l’Elysée le 24 août 2008, en ajoutant : « Certains ne veulent pas se mettre au travail. » Les chiffres fluctuent au gré des commentateurs, mais l’argument perdure. « Six cent mille emplois vacants : les chômeurs veulent-ils vraiment travailler ? », se demande ainsi l’animateur Jean-Marc Morandini (1).

Le guide essentiel de la Transition – Réseau Transition.be Nous sommes heureux de vous offrir la version française du ‘Guide essentiel de la Transition‘. Traduit par Caroline Durieux, d’Ixelles en Transition, avec le support du Réseau Transition. Cette version française complète les versions anglaise et espagnole déjà existantes. Nous vous conseillons de lire ce guide en ligne pour profiter d’une meilleure mise en page et d’un accès direct aux liens. Témoignage d'un enfant soldat en RDC Mike est un ancien enfant soldat en République Démocratique du Congo. Il nous raconte son histoire. Mike Dragon a 17 ans et depuis ses 11 ans il a été enfant soldat dans différents groupes armés en République Démocratique du Congo (RDC).

L’époque opaque et ses ingouvernables – Réflexions après un dimanche à Montreuil Dans une assemblée de 3 à 400 participants dont la très grande majorité avait une petite vingtaine d’années, réunie cet après-midi-là à Montreuil sous le mot d’ordre « génération ingouvernable », on se disait qu’il faudrait peut-être commencer par réfléchir à ce que c’est que d’être gouverné. On se disait aussi qu’on disposait à ce sujet d’une expérience – un trésor de défaites – à mettre au pot commun du débat : l’expérience d’une génération dont le propre est d’avoir accepté d’être gouvernée comme aucune autre par le passé. Car, une fois l’offensive mondiale des années 70 mondialement vaincue, ce n’est pas seulement par le gouvernement au sens politique que nous avons dû supporter d’être commandés, et pas seulement par des lois et règlements apposés sur nos vies.

Je veux agir – Réseau Transition.be Le mouvement de la Transition vous inspire ? Que vous y soyez déjà impliqué ou non, vous vous posez des questions sur ce que vous pourriez faire ? Voici quelques informations qui pourront vous aider à trouver votre chemin parmi les divers chemins de passage à l’action…>

Enfants et droits humains Partout dans le monde, des enfants sont privés de leur droit à l’éducation, enrôlés de force dans des unités ou des groupes armés, ou soumis à d’autres formes de violences. Les enfants soldats Au niveau mondial, des centaines de milliers d’enfants de moins de dix-huit ans sont impliqués dans des conflits armés, soit au sein des forces régulières de leur pays, soit en tant que membres de groupes armés, d’unités paramilitaires ou de milices, entre autres. Nombre d’entre eux ont été enlevés alors qu'ils étaient à l'école, dans la rue ou chez eux. D’autres s’engagent «volontairement», souvent parce qu'ils ne voient guère d'autre solution.

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