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Ce jardinier réinvente l'agriculture sur moins d'un hectare

Ce jardinier réinvente l'agriculture sur moins d'un hectare
Comment êtes-vous devenu un maraîcher militant ? J’ai grandi dans la banlieue de Montréal dans un endroit pas totalement bétonné, mais où les maisons se ressemblent toutes. (…) L’écologie ne m’intéressait pas particulièrement. C’est à 18 ans que j’ai découvert la beauté et la fragilité du monde, dans les grandes forêts de Colombie britannique. Ce voyage m’a orienté vers des études d’écologie. Je voulais consacrer ma vie à la défense de cette nature. Si on ne la protège pas, elle devient du béton. Vous dites de vous que vous êtes un fermier de familles, qu’est-ce au juste ? - Maude-Hélène et Jean-Martin Fortier au marché de Saint-Armand - Je sais que mes légumes sont très importants dans leur vie. Comment produit-on de tels légumes ? Notre projet de ferme est basé sur la vie dans le sol. Comment entretenez-vous la vie dans votre sol ? - Au milieu d’un champ de pois - Si on vient toujours bouleverser le sol, on dérange, voire on empêche ce travail que la nature fait gratuitement. C’est-à-dire ?

http://www.reporterre.net/spip.php?article5081

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Andy & Jessie Darlington - Le Paysage Comestible - Permaculture Notre but est de transmettre notre motivation et notre inspiration à des gens tout âge venus de divers horizons, pour accélérer le mouvement de transition vers l'autosuffisance alimentaire, culturelle, et énergétique. Nous sommes intéressés par le développement de partenariats avec des agriculteurs qui souhaitent adapter leur agriculture à un monde post-petrolier. Nous offrons des services de conception et suivi des projets en Permaculture de toute taille et de toute nature, dans les régions Languedoc-Roussillon et les Départements limitrophes.

Loi contrefaçon : La lutte contre la contrefaçon va t-elle nier les droits des agriculteurs ? - Aurora 13 nov 2013 Collectif Semons La Biodiversité COMMUNIQUE DE PRESSE – Paris le 13 novembre 2013. Loi contrefaçon : La lutte contre la contrefaçon va t-elle nier les droits des agriculteurs ? Les alternatives aux pesticides se développent partout… sauf en France - Modèle agricole En France, le développement des alternatives naturelles aux pesticides reste un parcours du combattant. La faute aux règlements européens, affirme le ministère de l’Agriculture. Les préparations à base de composants naturels s’échangent pourtant sans problème dans plusieurs pays européens. Enquête sur ces alternatives aux pesticides. « Vous voyez cette préparation ?

6 recettes faciles pour un désherbant naturel, sain et efficace ! Vous en avez marre d’entendre parler des désherbants chimiques ? Ça tombe bien, on n’en a pas besoin ! Pour entretenir son jardin et le débarrasser de toutes les plantes indésirables, il existe des méthodes beaucoup moins coûteuses, 100% naturelles et, surtout, infiniment moins dangereuses pour notre santé et notre environnement !

Le biotope du Noyer - 1ère partie. Le noyer est-il si toxique? est un arbre à noix cultivé depuis plus de 1000 ans. Le noyer est-il un arbre toxique? Le noyer est l'un des arbres cultivés les plus controversés. C'est un arbre à la mauvaise réputation dans les vergers à cause de sa composition en juglone, un composé chimique qui inhibe la germination et la respiration de nombreuses plantes. Le Noyer a aussi une bonne réputation: il indique les terres arables de bonne qualité. L'arbre est bio indicateur des terres équilibrées, riches en azote, en argile et en eau.

Lois sur les semences en Amérique latine : une offensive qui se poursuit et une résistance qui s’intensifie et se multiplie Introduction Les tentatives des grandes sociétés d’agrobusiness d’imposer la privatisation des semences continuent d’être déployées partout sur la planète. Derrière leurs tentatives, elles poursuivent un objectif clair : s’approprier un monopole sur les semences et rendre illégale la pratique historique et millénaire de conserver et de reproduire les semences. Pour la biodiversité, adoptons les bonnes vieilles méthodes agricoles, propose l'ONU Pour préserver la biodiversité, il faut redécouvrir des modes d’agriculture ancestraux plus respectueux de l’environnement. C’est ce qu’affirme l’IPBES, organisme de l’ONU chargé de prévenir l’extinction des espèces. L’Organisation des Nations Unies a récemment formé sur le modèle du GIEC (Groupement intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat), la « Plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services éco-systémiques » (IPBES), un groupe de cent quinze pays qui doit tenter de faire baisser le rythme de l’extinction des espèces dont la croissance est exponentielle (cent à mille fois plus rapide que le taux naturel d’extinction). Durant des réunions en Turquie qui se terminent le 14 décembre, le groupe a découvert une stratégie dont il espère beaucoup, pour protéger la biodiversité : le retour aux systèmes traditionnels de l’agriculture et de la gestion des terres. Quelle découverte !

Liens en Pays d'OC - Une tri-articulation sociale entre producteurs, distributeurs et consommateurs pour construire son choix avec la création d'une Fondation respectant la qualité alimentaire Merci à Jean Christophe Caron pour sa page Considérer l'argent comme une marchandise que l'on vend et que l'on achète confisque sa réelle utilité d'échange. Comment la publicité des grands lobbies industriels qui s'inscrit dans la répétition spéculative pourrait ne pas donner à la qualité alimentaire une valeur stérile si l'échange n'est plus pris en compte ? En illusionnant les consommateurs sur une qualité alimentaire stérile , ces derniers ne sont plus maîtres de leurs choix.

Semer sur couche chaude: comment faire ? Semer sur couche chaude Partagez votre avis sur cet article ! Lorsque l’on veut effectuer des semis de plantes frileuses et que l’on ne dispose ni de serre, ni de véranda ou que l’on ne veut tout simplement pas occuper l’une des fenêtres de la maison, le recours au semis sur couche chaude est une alternative intéressante, facile à réussir et économique. On parle de couche chaude pour un châssis de culture rempli de terre fine. Celle-ci repose sur un lit de fumier frais destiné à fournir une chaleur naturelle issue du processus de fermentation.

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