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Blog: la respiration : exercices

Blog: la respiration : exercices
La relaxation progressive de jacobson Le training autogène de Shultz Le training autogène de R Abrezol La relaxation est un des outils incontournables de lasophrologie car qu’elle permet d’atteindre un état de conscience modifié, appelé communément « au bord du sommeil » et qui favorise la communication avec notre cerveau émotionnel (cerveau limbique). Une pratique constante de la relaxation ou de laméditation installe un mécanisme protecteur contre les automatismes et schémas de pensée anxiogènes. Détendre le corps c’est détendre l’esprit. L’inspiration de l’artiste, le deuxième souffle, le souffle de la vie, le souffle coupé, etc. Au premier plan, bien évidement, l’apport en oxygène. Pour autant, pensons-nous souvent à sa fonction de régulateur émotionnel ? Un cerveau mal oxygéné stresse plus vite. Nos sociétés actuelles nous maintiennent dans le déni total des leviers de notre bien-être, de notre auto-prise en charge et nous laissent croire aux providentiels moyens externes. Related:  Gérer sa peur et son stress

Article : 7 exercices pour être zen Ce long week-end a été un moment idéal pour être tendre avec soi-même, corps et esprit. Il s'agit maintenant de rééquilibrer le dynamisme de l'action et la douceur de la détente. S'écouter, prêter attention à toutes les sensations qui nous habitent à l'instant " t " permet de se rééduquer aux petits plaisirs de la vie. 1. Encore dans un demi-sommeil, prenez conscience de la position allongée de votre corps, de son poids, de ses zones de contact avec le matelas. 2. Une fois devant votre bol de café (ou de thé) fumant, fermez les yeux. 3. Programmez-vous de courtes marches découvertes, d'un pas alerte. 4. L'idée n'est pas de dormir mais de se relaxer de 1 à 5 minutes. 5. Cette gymnastique en trois étapes est à pratiquer plusieurs fois par jour. 1/Laissez les mains ballantes et secouez les poignets. 2/ Relâchez les épaules et secouez-les. 3/ Activez la mâchoire de haut en bas et de gauche à droite et inversement. 6. Campez-vous debout, les pieds bien à plat sur le sol. 7.

Y arriver malgré tout - Jacques Lecomte, article Psychologie Le sentiment d'efficacité personnelle, concept défini par Albert Bandura, désigne la confiance qu'a un individu en sa capacité à mener à bien une activité. Ce sentiment lui permet alors de s'engager plus aisément dans l'action et de persévérer malgré les difficultés. Y a-t-il une disposition psychologique apte à faciliter de bonnes performances sportives, à améliorer les résultats scolaires, à permettre aux phobiques de guérir de leurs troubles, à inciter des patients à respecter les prescriptions de leur médecin, à améliorer la compétence organisationnelle des managers, etc ? Oui, répond Albert Bandura, professeur de psychologie à l'université de Stanford. Il s'agit du sentiment d'efficacité personnelle, appelé aussi « auto-efficacité », thème auquel il a consacré un volumineux ouvrage récemment (1). Le parcours des innovateurs Un sentiment optimiste d'efficacité personnelle constitue une attitude adaptative. Ceci peut notamment se constater dans le domaine artistique et littéraire.

STRESS | Comment vaincre son stress ? Site : les risques psycho-sociaux et le burn-out Le burn-out se définit par un épuisement physique et psychique, par un sentiment d’impuissance, par une grande fatigue émotionnelle et par le développement d’une vision négative de soi et de ses capacités au travail. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit le burn-out par « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ». Le burn out se caractérise par 3 phases: Épuisement émotionnel: renvoie au manque d’énergie, au sentiment que les ressources émotionnelles sont épuisées. Dépersonnalisation ou le cynisme : renvoie au développement d’attitudes impersonnelles, détachées, négatives, cyniques. Accomplissement : s’exprime par le manque d’accomplissement personnel.

Les 6 bonnes façons de gérer sa colère | Microcoaching Certains d’entre nous ont l’habitude de gérer l’agressivité des autres, mais se retrouvent complètement démunis quand il s’agit de gérer leur propre colère, tout simplement parce qu’ils ne se donnent pas le droit de la ressentir, ou parce qu’ils pensent que c’est une émotion “incorrecte”.Alors comment gérer cette émotion tout en se protégeant ? En pratique : Acceptez votre colère comme une émotion normale. Arrêtez de faire comme si tout allait bien ! Demandez-vous ce qui vous énerve exactement, de façon à pouvoir le transcrire en mots de façon précise et juste. Interrogez-vous sur le besoin que vous ressentez. Verbalisez votre colère de façon à être entendu et votre besoin satisfait. Si vous sentez que vous allez vous énerver quand même, reportez la discussion. Ne transférez pas votre colère sur quelqu’un (au choix votre conjoint, vos enfants, un autre collègue…) qui n’est pas concerné par ce qui cause votre émotion .

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