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Socio-constructivisme

Socio-constructivisme
Ce mouvement pédagogique est à la base des principes du social learning. Mais de quoi s’agit il ? En réalité, il font suite aux travaux de Piaget, et démontrent que le processus d’assimilation/accommodation est en réalité assuré par une médiation sociale dans laquelle l’apprenant est co-auteur dans l’acquisition de la connaissance. Ainsi, l’environnement social, affectif, émotionnel joue un rôle primordial dans le développement cognitif de l’enfant et de l’adulte. Dans cette perspective, il est important de mettre en avant le fait que les acteurs de la construction et du développement intellectuel de l’individu sont bien évidemment les parents et les professeurs mais également les autres élèves de la classe. Ainsi le processus d’apprentissage comporte plusieurs dimensions : la capacité cognitive de l’individu en terme de développement neuronal par exemple mais aussi la richesse des interactions sociales dont il pourra bénéficier. A consulter ici

http://www.pedagogeeks.fr/archives/1353

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Constructivisme Le constructivisme est une théorie de l’apprentissage fondée sur l’idée que la connaissance est élaborée par l’apprenant sur la base d’une activité mentale. Cette théorie repose sur l’hypothèse selon laquelle, en réfléchissant sur nos expériences, nous nous construisons et construisons notre propre vision du monde dans lequel nous vivons. Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d’appréhender les réalités qui l’entourent. Ainsi, une personne confrontée à une situation ou à un problème donné va être amenée à mobiliser un certain nombre de structures cognitives, nommées schèmes opératoires. L’enseignement constructiviste est fondé sur la croyance que toute personne apprend mieux lorsqu’elle s’approprie la connaissance par l’exploration et l’apprentissage actif, les mises en pratique remplaçant les manuels.

Dix constats clés de la recherche cognitive sur l'apprentissage (Schneider & Stern, 2010 1. L’apprentissage est une activité exercée par l’apprenant L’enseignant ne peut pas intervenir dans le cerveau de ses élèves pour y insérer de nouveaux éléments de savoir. Les connaissances que chacun possède ne sont accessibles qu’à lui seul. C’est donc l’apprenant qui doit créer lui-même de nouvelles structures de connaissance. Ce constat peut paraître évident, mais il a de profondes implications. Il signifie en effet que l’apprenant est placé au centre du dispositif.

Humaniste - Carl Rogers Portrait de Carl Rogers Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). Cette approche a été introduite en France sous l'appellation de méthode non-directive dans les années 1950, mais Carl Rogers l'avait déjà dénommée psychothérapie centrée sur le client (« Client-Centered Therapy ») puis approche centrée sur la personne (« Person-centered Approach »). Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Carl Rogers comme le 6ème psychologue le plus important du XXe siècle[1]. Biographie[modifier | modifier le code]

Chroniques en innovation et en formation » Blog Archive » Echanger des savoirs, coopérer, c’est se former; l’extraordinaire “évaluation externe” des réseaux d’échange de savoirs A l’occasion de la publication du dernier ouvrage collectif, dirigé par Claire héber-Suffrin, « Plaisir d’aller à l’école », qui narre finalement l’aventure collective de trois classes d’il y a 40 ans, qui font le bilan des savoirs ensemble, 40 ans plus tard. Quelle évaluation externe ! (video) Claire m’avait alors sollicité pour en faire la préface que je propose ici: Qu’est-ce qui fait que « l’école a du goût » ?

Neurosciences et apprentissages Les neurosciences constituent l'une des branches de la recherche médicale qui intéresse le plus le grand public. Nous fondons d'énormes espoirs dans la recherche sur le fonctionnement du cerveau, qui bénéficie de financements importants. Mais il n'est pas plus raisonnable de fonder l'espoir d'une société idéale ayant vaincu la maladie et, pourquoi pas, la mort, sur les neurosciences que sur les technologies numériques. Mais peut-on vivre et avancer sans cet espoir ? Sans doute pas.

Apprentissage social? Alors voilà, cette semaine, nous traitons de la dimension sociale de l’apprentissage : Quel rôle joue notre environnement, notre entourage dans nos apprentissages ? J’avoue que j’ai un peu été désorientée par le « butinage » proposé et par les deux expressions proposées « Social Learning et « Apprentissage par les pairs ». Y-a-t-il une différence entre les deux termes ? En lisant les premiers liens, j’ai eu l’impression que le social learning ne parlait que d’apprentissage par le réseau…

Les neuromythes constituent un obstacle au changement dans le domaine de l’éducation Qu’est-ce qui fait obstacle au changement et à l’amélioration de l’éducation? Je crois qu’un des obstacles est lié au fait que les enseignants possèdent souvent de fausses conceptions sur le fonctionnement du cerveau de leurs élèves. Ces idées fausses (souvent appelées des neuromythes) représentent un obstacle au changement et à l’amélioration de l’éducation, parce que, lorsqu’un changement s’oppose à une conception bien établie, il y a toujours une tendance naturelle et compréhensible à résister à ce changement. Je crois également qu’une des façons de surmonter cet obstacle est d’intégrer, dans la formation des enseignants, un cours de neuroéducation, un domaine en émergence dont le but est d’améliorer l’enseignement en comprenant mieux le fonctionnement du cerveau des élèves. Un des obstacles au changement : les neuromythes

Méthodes et modèles pédagogiques Frédéric Haeuw :"L’irruption massive des technologies et des réseaux dans la formation des jeunes et des adultes fait ressurgir de vieux débats sur les méthodes pédagogiques. Les Massive Open Online Courses, par exemple, sont généralement distingués en « xMOOC » plutôt basés sur une pédagogie transmissive de savoirs clairement identifiés dans des référentiels fermés, et en « cMOOC » dont les objectifs d’apprentissage sont plus ouverts et qui se basent sur le principe que ce sont les participants qui créent le contenu. On parle alors de méthodes pédagogiques, classées généralement en méthodes déductives (démonstrative, expositive …) ou inductives (active ou expérientielle), et l’on considère souvent que la méthode dépend de l’objet à construire ou à transmettre : les savoirs académiques se prêteraient davantage à une méthode déductive et les compétences à une méthode inductive. Les constructivistes répondent à cette question de manière radicalement opposée.

Connaître les grands courants de l'apprentissage Bien souvent, enseignants et apprenants manquent de recul sur leurs pratiques. Ceci, parce qu'ils ignorent les grands principes connus qui régissent l'enseignement et l'apprentissage. Dans ces conditions, les choix pédagogiques relèvent de l'intuition et des représentations, et les insatisfactions de part et d'autres sont mal vécus. Le comble c'est quand pour un choix proclamé, le socioconstructivisme par exemple, on en vient à soumettre les apprenants à une pédagogie de transmission.

Neurosciences et pédagogie Dans le monde de l'éducation, c'est une innovation : améliorer l'enseignement et l'apprentissage par ce qu'on connaît du fonctionnement du cerveau. Et cela s'appelle la neuropédagogie. Domaine de recherche relativement nouveau qui fait la jonction entre les neurosciences et les sciences de l'éducation, il s'intéresse aux processus biologiques en jeu dans l'apprentissage ainsi que les expériences sociales et émotionnelles. La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages". Dans un reportage de la chaîne Euronews sur le sujet, on se rend bien compte que cela n'a rien de sorcier.

7 applications mobiles pour un apprentissage par projets L’enseignement par projet est une méthode pédagogique qui permet d’améliorer l’apprentissage des élèves et d’augmenter leur engagement en les impliquant dans des activités simples et ludiques. L’utilisation des nouvelles technologies de la communication (TIC), et plus particulièrement les technologies mobiles, permettent de renforcer la mise en œuvre de ces méthodes en donnant aux élèves les outils nécessaires pour intégrer des projets et effectuer des activités à tout moment et quel que soit le lieu. Pour mettre en place une pédagogie de projets, les enseignants disposent d’un ensemble d’outils disponibles sur mobiles et tablettes.

Modèle social - John DEWEY Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dewey. John Dewey XIXe siècle-XXe siècle John Dewey en 1902 Sa philosophie est d'abord marquée par l'instrumentalisme, c'est-à-dire par sa volonté de rompre avec une philosophie classique qu'il voyait comme plus ou moins liée à la classe dominante, pour en faire un instrument permettant aux hommes de mieux s'adapter au monde moderne.

Les neurosciences en éducation, les limites méthodologiques (2) Actuellement, plusieurs principaux biais sur le plan de la problématique et de la méthodologie peuvent être mis en avant qui leur enlèvent toute pertinence. En effet, les méthodes d’investigation en neurosciences se trouvent être des approches indirectes, très fastidieuses à mettre en place et prenant appui sur une technologie très coûteuse. Les échantillons analysés ou comparés demeurent trop limités. Il en résulte déjà un manque de fiabilité statistique qu’il s’agit de dénoncer avant toute extrapolation. « Small, low-powered studies are endemic in neuroscience » déclare une méta-analyse publiée dans Nature Reviews Neuroscience[1].

Faire apprendre : vocation, profession, occupation ou passe-temps ? Il existe plusieurs appellations pour nommer celui à qui on donne le mandat de faire apprendre. Qu’on le nomme enseignant, professeur, maître, formateur, animateur, pédagogue, instructeur, moniteur ou éducateur, sa fonction est toujours essentiellement la même : amener la personne en formation à changer. Là où le bât blesse le plus souvent, c’est dans la manière d’agir de celui qui est en avant de la classe pour atteindre le but et les attentes de la formation qui fait en sorte que la raison d’être de la fonction s’en trouve dénaturée. Entre l’intention et l’action, il y a la compétence. Contrairement à la pensée populaire, être un enseignant ou un formateur compétent ne relève pas d’un don que l’on reçoit à la naissance.

La théorie socio constructiviste epose sur l'idée selon laquelle l'apprentissage est médiatisé par l'environnement social de l' apprenant.Cest Piaget qui en est le précurseur, à côte de Lev Vygotski connu en Occident plus tard. Sellon lui, l'enseignement dépend des capacités cognitives de l'apprenant certes,mais aussi des interactions dans lesquelles le langage joue un rôle déterminent. L'apprentissage se réalise à travers l'accomplissement par l'adulte de ce que le théoricien russe appelle ZPD( zone proximale de développement). Dans cette perspective, le Web2.0 favorise les échanges, l'évaluation, la construction cognitive et apparaît comme l'outil compatible avec le socio constructivisme. by theresengontumba Apr 9

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