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Une extension pour repérer les fausses informations qui circulent en ligne

Une extension pour repérer les fausses informations qui circulent en ligne
Pourquoi attendre que Facebook et compagnie réagissent quand on peut inventer soi-même des outils ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Big Browser Le Brexit et l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche annoncent, selon certains observateurs, l’entrée dans une « ère de la politique post-vérité » dans laquelle le vrai et le faux se valent quand ils se côtoient dans les timelines des réseaux sociaux. Accusé de ne pas avoir voulu réagir à la prolifération d’articles partiellement ou complètement faux pendant la campagne électorale américaine, Facebook peine à se justifier ou même à avoir une stratégie cohérente. Cet immobilisme devrait nous inciter à prendre des mesures pour séparer le vrai du faux en ligne, sans attendre que ce soit décidé dans les salles de réunion de ces entreprises (comme Google qui vient de lancer un label signalant les articles de « fact-checking » dans Google Actualités.). « Attention ! Casser la dynamique de partage immédiat

http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/11/16/une-extension-pour-reperer-les-fausses-informations-qui-circulent-en-ligne_5032143_4832693.html

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Facebook menace-t-il la démocratie ? Aux Etats-Unis comme en France, les internautes se déchirent sur le réseau social le plus fréquenté du monde. Ce forum, géré par un algorithme qui se dit « agnostique », est-il capable de susciter un vrai débat ? Quand Susanna Lazarus s’est éveillée, ce vendredi 24 juin, et qu’elle a allumé la télévision, la stupeur l’a envahie. Son pays, le Royaume-Uni, venait de choisir de quitter l’Union européenne, à près de 52 %. Le « fact-checking » : une pratique féconde... mais pas auto-suffisante Depuis quelques années maintenant mais avec une accélération certaine depuis la présidentielle de 2012, la presse pratique le « fact-checking ». Il s’agit pour les journalistes de vérifier les faits, notamment à partir des déclarations des élus et candidats aux différentes élections. Disons-le d’emblée : Acrimed considère que cette pratique peut être saine et féconde pour le journalisme tel que nous le défendons. Il ne sera donc pas ici question de contester le principe du fact-checking, mais de pointer quelques limites dans son usage. Car si l’exercice n’est pas nouveau, sa constitution en genre et en rubrique particulière est plus récente, au point que cette pratique, victime de son succès, a parfois été dévoyée pour devenir dans certains cas une pratique inutile, voire contre-productive. Explications.

Une majorité d'articles sont partagés sur les réseaux sociaux sans même être lus Ils sont 46.000 à n’avoir rien vu venir… C’était le 4 juin 2016. Le site satirique mais non moins sérieux The Science Post publiait un article au titre plus qu’engageant: «Étude: 70% des utilisateurs de Facebook lisent seulement le titre des papiers scientifiques avant de les commenter». 46.000 personnes ont partagé ce papier qui n’en était pas un, rapporte The Washington Post. À l’intérieur: du faux-texte, du «lorem ipsum» comme on dit dans le jargon de l’imprimerie. À l’initiative de ce canular, un journaliste de la rédaction, exténué de voir défiler sur son écran d’ordinateur des dizaines et des dizaines de fausses études naïvement partagées.

Les Observateurs - France 24 Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} « 93 % des Français prêts à voter Marine Le Pen » : itinéraire d’une intox d’extrême droite Sondage bidon, faux sites d’information, pages Facebook militantes… Voici comment des réseaux favorables au FN fabriquent et diffusent de fausses informations. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat A première vue, la nouvelle semble venir d’un site d’information traditionnel : « Sondage : plus de 93 % des Français sont prêts à voter Marine Le Pen à la présidentielle de 2017 ! », peut-on lire sur le site MyJournal.fr. Des dizaines de comptes Facebook militants ont fait part de l’information ces dernières semaines, contribuant à la diffuser à des milliers d’internautes.

Le Décodex, un premier pas vers la vérification de masse de l’information « Le Monde » lance un outil pour aider les lecteurs à repérer les sites les moins fiables LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Attentats, Brexit, présidentielle américaine et maintenant française… Qu’on l’appelle indifféremment « fake news », propagande, intox ou mensonges, la question de la fiabilité de l’information en ligne ou de son instrumentalisation s’est imposée dans les débats. A l’heure de Facebook, de Twitter et du mobile, s’informer consiste aujourd’hui surtout à savoir trouver des éléments fiables au milieu d’un maelström d’articles, d’images, de vidéos, d’opinions, etc. >> Accéder au Décodex en cliquant ici

Quand on demande à Google si l’Holocauste a bien eu lieu... Revoilà le déjà vieux serpent de mer. Dans la tempête des Fake News et à l’ère de la post-vérité, Google, ou plus précisément son algorithme, est accusé de mettre en avant des résultats de recherche antisémites ou négationnistes. Ce n’est pourtant pas la première fois que « Google cache des juifs... » ni que les algorithmes font preuve de racisme ou que les « intelligences artificielles » s’essaient au fascisme. En quelques mots la clé de ces problèmes est la suivante : les algorithmes produisent une forme de déterminisme (dans la sélection des informations et les choix, nos choix, qui en découlent).

Huit médias français s’allient à Facebook contre les « fake news » Le réseau social va déployer en France son dispositif de signalement par ses utilisateurs d’une information qu’ils pensent être fausse. Celle-ci pourra ensuite être vérifiée par des médias partenaires, dont « Le Monde ». LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Alexis Delcambre Huit médias français, dont Le Monde, ont décidé de collaborer avec Facebook pour réduire la présence de fausses informations sur le réseau social.

Info ou intox : comment déjouer les pièges sur Internet ? Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} Trois fausses informations récentes qui ont influencé l’opinion Retour sur plusieurs cas d’intox qui ont massivement circulé en ligne, jusqu’à convaincre une part non négligeable de la population. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Les fausses informations parviennent-elles à modifier profondément l’opinion publique ? Le baromètre 2017 de la « confiance des Français dans les médias » Kantar Sofres pour La Croix, publié en février, donne quelques cas instructifs.

Il est urgent d'enseigner l'esprit critique à l'école Internet est un outil multi-usages qui sert à la fois l'évasion, la communication, l'art, le commerce, la politique, l'éducation et, bien entendu, la distraction, sous forme de longues heures de contemplation auto-hypnotique de vidéos d'animaux et de documentaires complotistes. Hélas, Internet est également la machine à propagande parfaite qui ne cesse de nous flatter en renforçant nos biais, en valorisant des opinions qui sont déjà les nôtres, et en nous présentant des informations que nous n'avons pas envie de remettre en question. Selon une étude menée durant un an par des chercheurs de Stanford, l'incapacité des jeunes étudiants à discriminer entre vraies et fausses informations est devenue si inquiétante qu'elle constituerait désormais "une menace pour la démocratie". Avec Internet, nous serions-nous tiré une balle dans le pied ? “Certains rédacteurs, journalistes, écrivains sont extrêmement habiles. Image: US Department of Education

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