background preloader

Psychologie inversée

Psychologie inversée
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La psychologie inversée est une technique de communication consistant à tenir un discours ou adopter une attitude allant à l’encontre de ce que l’on souhaite en fait suggérer. Historique[modifier | modifier le code] Domaines d'application[modifier | modifier le code] Dans l'éducation[modifier | modifier le code] La psychologie inversée est souvent utilisée avec les enfants en raison de leur forte tendance à vouloir faire l'opposé de ce qui leur est demandé, craignant de perdre leur liberté qu'ils perçoivent menacée. Les opinions divergent quant à l'utilisation de la psychologie inverse dans le cadre de l'éducation. D'autres s'y opposent dans la mesure où « la psychologie inverse implique une habile manipulation de l'enfant désobéissant »[2] et où le fait d'habituer un enfant à faire le contraire de ce qui lui est indiqué sape l'autorité du parent. Dans la médecine[modifier | modifier le code] Dans la publicité[modifier | modifier le code] Related:  Manipulation mentale.caisson test.caisson test

Stakhanovisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine soviétique[modifier | modifier le code] Ce record avait été décidé par le gouvernement soviétique sous Joseph Staline pour servir de modèle aux autres salariés, afin qu'ils travaillent plus et si possible qu'ils dépassent les cadences et les quotas de travail imposés[1]. Le stakhanovisme s'inscrit dans une politique tentant d'accroître la productivité par un contrôle plus sévère des travailleurs. Cette campagne de propagande interne fut ensuite utilisée à l'extérieur pour « démontrer » l'adhésion des travailleurs au régime staliniste, les capacités de l'« Homme Nouveau » et les extraordinaires capacités productives du régime. Emploi courant[modifier | modifier le code] Par extension, on appelle stakhanovisme tout ce qui est fait pour accroître la productivité du travailleur au-delà de la moyenne et l'inciter à adhérer aux objectifs d'augmentation de la production, voire à s'identifier à son État. Voir aussi[modifier | modifier le code]

Précieuses études de genre Même si l’égalité entre femmes et hommes est aujourd’hui un engagement de la République, les chiffres révèlent une réalité toujours accablante. L’origine de ces inégalités, c’est l’existence tenace de stéréotypes qu’il faut s’efforcer d’éradiquer. C’est là que s’inscrivent les sciences du genre, abordées dans ce dossier de CNRS Le journal. Qu’est-ce que le genre ? Même si l’égalité entre femmes et hommes est aujourd’hui un engagement de la République, les chiffres révèlent une réalité toujours accablante. La connaissance biologique du monde vivant est propre à renverser les idées préconçues qui touchent au sexe, trop souvent envisagé sous le prisme restreint de l’espèce humaine. Les études biologiques ne prennent pas toujours en compte le sexe, ce qui conduit à une certaine ignorance des mécanismes de santé spécifiques d’un sexe ou de l’autre. Refermer l'édito

The ego and the Enneagram: Methods to grow spiritually and psychologically If you have never heard of the Enneagram, I highly suggest that you check it out. It is a personality test initially developed by a man named Oscar Ichazo, who developed his theories from a variety of sources, mainly the jewish Kabbalah and “Neo-platonic philosophy”, according to the book Personality Types: Using the Enneagram for Self-Discovery by Don Richard Riso and Russ Hudson. Riso and Hudson are the contemporary researchers on the Enneagram. Most of the information for this article I gained from that book. The symbol for the Enneagram itself actually goes back to ancient times. But more relevant than that information is the question of what practical use the Enneagram has. The Theory of the Enneagram. The basic theory is that there are 9 basic types of egos. For more info on how the ego is formed, read Osho’s Ego, the false center. Generally speaking, from my experience, the greater the trauma is, the stronger and more noticeable the ego is. The Types The Process of Integration

Biais de confirmation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le biais de confirmation, également dénommé biais de confirmation d'hypothèse, est l'un des nombreux biais cognitifs décrits. Il désigne la tendance naturelle qu'ont les personnes à privilégier les informations qui confirment leurs idées préconçues ou leurs hypothèses (sans considération pour la véracité de ces informations) et/ou d'accorder moins de poids aux hypothèses jouant en défaveur de leurs conceptions. En conséquence, les personnes rassemblent des éléments ou se rappellent les informations mémorisées, de manière sélective, et les interprètent d'une manière biaisée. Les biais de confirmation apparaissent notamment autour de questions de nature affective et concernant des croyances établies. Une série d'expériences dans les années 1960 suggère que les individus sont biaisés en faveur de la confirmation de leurs actuelles croyances. Types[modifier | modifier le code] La recherche biaisée d'information[modifier | modifier le code]

Méritocratie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour certains, la méritocratie est un système politique, économique et social. Pour d'autres, c'est une idéologie ou une croyance[1]. Elle tend à hiérarchiser et à promouvoir les individus dans la société en fonction de leur mérite et non d'une origine sociale (système de classe), de la richesse ou des relations individuelles (système de « copinage »). Quoiqu'il s'agisse d'un « principe fondamental » et « consensuel » des démocraties pour Marie Duru-Bellat[2],[3], cette méritocratie « réelle » n'a pour certains chercheurs jamais existé[4]. Histoire[modifier | modifier le code] Différence avec l'aristocratie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, « aristocratie »[6] est synonyme de « méritocratie ». Toutefois, dans l'aristocratie, la notion de mérite existe : vivre noblement passe en effet par la vertu du « mérite ». Chine et méritocratie[modifier | modifier le code] Protestantisme et méritocratie[modifier | modifier le code]

Pourquoi Google se lance dans la maison connectée « Google s'il te plaît, conduis-moi à la maison et remonte le chauffage. » De la science fiction ? Pas sûr ! Entre la voiture connectée et synchronisée sous Android, les lunettes intelligentes Google Glass à commande vocale, la tablette et le smartphone Google, le géant de l'Internet tisse progressivement sa toile bien au-delà du Web et de plus en plus dans le monde physique. En déboursant 3,2 milliards de dollars en cash pour s'offrir la startup californienne Nest qui fabrique des thermostats intelligents, ce qui en fait la deuxième plus importante acquisition de son histoire, après Motorola, devant YouTube ou DoubleClick, la firme de Mountain View prouve le sérieux de ses ambitions dans le domaine très tendance des objets connectés et de la maison « intelligente. » Tout en renforçant son métier historique, la publicité ciblée. La révolution des objets connectés, beaux et intelligents à la fois A l'ère post-PC, le matériel prend sa revanche sur le logiciel

Cour de Cassation, Chambre civile 3, du 22 mars 1989, 87-17.029, Publié au bulletin Références Cour de cassation chambre civile 3 Audience publique du mercredi 22 mars 1989 N° de pourvoi: 87-17029 Publié au bulletin Rejet . Président :M. Texte intégral Donne acte à M. Sur le premier moyen : (sans intérêt) ; Sur le second moyen : Attendu que les consorts Y... reprochent à l'arrêt de les avoir condamnés à participer aux frais de réfection du chemin, alors, selon le moyen, " que les dispositions des articles 697 et 698 du Code civil aux termes desquels c'est au propriétaire du fonds dominant de supporter les frais nécessaires pour l'exercice et la conservation de la servitude, ne souffrent d'exception qu'en cas de faute du propriétaire du fonds servant, viole tant ces textes que l'article 1382 du Code civil l'arrêt attaqué qui met une contribution à ces frais à la charge des propriétaires du fonds servant du seul fait qu'ils empruntent eux-mêmes le passage litigieux, sans relever aucune faute de leur part " ; D'où il suit que le moyen n'est pas fondé ; REJETTE le pourvoi

Expérience de Milgram Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne. L’expérience de Milgram est une étude de psychologie sociale menée par Stanley Milgram en 1963. Elle a pour but d’étudier le comportement humain face à l’autorité et la soumission à celle-ci, et consiste à tester la capacité des individus à obéir, même si cela implique d’infliger des souffrances à autrui. L'expérience a suscité de nombreux commentaires dans l’opinion publique, ainsi que dans le milieu de la psychologie et de la philosophie des sciences, et a inspiré de nombreuses œuvres de fiction ou de télévision. Déroulement de l'expérience[modifier | modifier le code] La majorité des variantes de l'expérience a lieu dans les locaux de l'université Yale (New Haven, Connecticut). un élève (learner), qui s'efforce de mémoriser des listes de mots et reçoit une décharge électrique en cas d'erreur ;un enseignant (teacher), qui dicte les mots à l'élève et vérifie les réponses.

Trouble de stress post-traumatique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de stress post-traumatique ou TSPT[N 1] (en anglais PTSD, pour Posttraumatic stress disorder) désigne un type de trouble anxieux sévère qui se manifeste à la suite d'une expérience vécue comme traumatisante avec une confrontation à des idées de mort[1],[2],[3]. Le TSPT est moins fréquent que la réponse aiguë au stress[4]. Diagnostic[modifier | modifier le code] Classification[modifier | modifier le code] Le trouble de stress post-traumatique est catégorisé en tant que trouble anxieux dans le DSM IV. Symptômes persistants[modifier | modifier le code] Le patient souffrant d'un TSPT se plaint d'un sentiment de désespoir ou d'horreur associés à une triade de symptômes persistants : intrusion : l'individu revit l’événement traumatisant. Évitements et retrait[modifier | modifier le code] L'évitement de tout ce qui rappelle l'évènement traumatique est la principale réponse à un traumatisme psychologique. Cette section doit être recyclée.

Psychologie-sociale.org

Related: