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La Vague : informations.

La Vague : informations.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir La Vague. La Vague La Vague (Die Welle) est un film allemand réalisé par Dennis Gansel (en) en 2008 et très librement inspiré de « La Troisième Vague », étude expérimentale d'un régime autocratique, menée par le professeur d’histoire Ron Jones avec des élèves de première du lycée Cubberley à Palo Alto (Californie) pendant la première semaine d’avril 1967. La Vague raconte l'histoire d'un professeur de lycée allemand, Rainer Wenger, qui, face à la conviction de ses élèves qu'un régime autocratique ne pourrait plus voir le jour en Allemagne, décide de mettre en place une expérience d'une semaine dans le cadre d'un atelier. Titre français : La VagueTitre original : Die WelleRéalisation : Dennis GanselScénario : Dennis Gansel, Todd Strasser, Peter ThorwarthMusique : Heiko MaileProducteurs : Martin Moszkowicz, Nina MaagDistributeur : BAC FilmsPays : AllemagneLangue : allemandDurée : 108 minutesDate de sortie : • • Related:  `test 1018

Effet Dunning-Kruger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Personnage d'une carte postale de 1910 qui a inspiré (entre autres sources) celui d'Alfred E. Neuman, la mascotte du magazine Mad. L’effet Dunning-Kruger est un biais cognitif selon lequel les moins compétents dans un domaine surestiment leur compétence alors que les plus compétents auraient tendance à sous-estimer leur niveau de compétence. Ce phénomène a été démontré au travers d'une série d'expériences dirigées par David Dunning et Justin Kruger. Dunning et Kruger ont noté que plusieurs études antérieures tendaient à suggérer que dans des compétences aussi diverses que la compréhension de texte, la conduite d'un véhicule, les échecs ou le tennis, « l'ignorance engendre plus fréquemment la confiance en soi que ne le fait la connaissance » (pour reprendre l'expression de Charles Darwin). Leur hypothèse fut qu'en observant une compétence présente en chacun à des degrés divers, Comme le notèrent Dunning et Kruger,

Expérience de Milgram Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1]. L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie publiée en 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram[2]. L'expérience a suscité de nombreux commentaires dans l’opinion publique, ainsi que dans le milieu de la psychologie et de la philosophie des sciences, et a inspiré de nombreuses œuvres de fiction ou de télévision. Déroulement de l'expérience[modifier | modifier le code] Fac-similé de l'annonce publiée en 1961 par l'équipe de S. La majorité des variantes de l'expérience a lieu dans les locaux de l'université Yale (New Haven, Connecticut). L'expérimentateur et l'élève sont en réalité deux comédiens. Les réactions aux chocs électriques sont simulées par l'apprenant.

La Troisième Vague Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Préambule d'avertissement[modifier | modifier le code] Chronologie de l’expérience d’après Ron Jones[modifier | modifier le code] Lundi[modifier | modifier le code] Jones donne une allocution sur la discipline : comment elle est nécessaire aux athlètes, aux artistes, aux scientifiques, et comment, par la maîtrise de soi, elle assure la réussite des projets. Mardi[modifier | modifier le code] Mercredi[modifier | modifier le code] Jeudi[modifier | modifier le code] Vendredi[modifier | modifier le code] Le journal de l’école, le Cubberley Catamount, consacre à l’expérience une brève extrêmement courte (numéro du [1]) et un article de fond, pourtant assez peu détaillé (numéro du [2]). Réactions et suites de l’expérience[modifier | modifier le code] Des psychologues s’intéressèrent alors à l’expérience menée par Ron Jones, notamment en matière de malléabilité d’esprit chez les adolescents. Questions de vérité historique[modifier | modifier le code]

Sociologie des organisations Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sociologie des organisations peut se définir comme une branche de la sociologie qui étudie comment les acteurs construisent et coordonnent des activités organisées. Elle peut aussi se définir comme une science sociale qui étudie des entités particulières nommées organisations, ainsi que leurs modes de gouvernance et interactions avec leur environnement, et qui applique les méthodes sociologiques à l'étude de ces entités. Elle est à l'intersection de plusieurs disciplines, dont l'économie des organisations, le management et la théorie des organisations. Sens et enjeux[modifier | modifier le code] Sens du terme organisation en sociologie[modifier | modifier le code] Le terme organisation peut avoir trois sens distincts en sociologie : L'étude des organisations répond alors à une triple exigence : Enjeux[modifier | modifier le code] Les métaphores retenues par Morgan permettent de voir l'organisation : Trois auteurs vont se démarquer.

Banalité du mal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La « banalité du mal » est un concept philosophique proposé par Hannah Arendt en 1963 dans son ouvrage Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal. Le concept[modifier | modifier le code] Hannah Arendt, philosophe et spécialiste de théorie politique, juive allemande, réfugiée aux États-Unis, suit, en 1961 et 1962 en Israël, le procès d'Adolf Eichmann, criminel de guerre nazi, en tant qu'envoyée spéciale du New Yorker. Ce concept pose des questions essentielles sur la nature humaine : l'inhumain se loge en chacun de nous. Aujourd'hui l'imprégnation idéologique des exécuteurs est considérée comme plus importante que ce qu'en pensait Hannah Arendt dans les années 1960. Les idées d'Harald Welzer[modifier | modifier le code] De son point de vue, Harald Welzer, psychologue social allemand, replace, quarante ans plus tard, la responsabilité de tels fonctionnaires dans le contexte général de la société qui les avait engendrés[3].

La synchronicité selon C.G. Jung I- Étymologie et évolution historique du concept Le mot synchronicité est formé sur deux termes grecs. « syn », veut dire ensemble, c’est le même préfixe que l’on trouve dans sym-pathie, l’idée implicite est que cela se tient ensemble. La sympathie indique que le pathos de l’autre est en fait non-séparable du mien, je peux éprouver ce qu’un autre éprouve, sentir la tristesse qui est dans son âme ou le pétillement de joie qui l’accompagne. « chroni » renvoie à Chronos, le Temps. Le concept de synchronicité s’inscrit en opposition avec une représentation fragmentaire de la réalité. Encore ne s'agit-il pas pour Jung de fournir une explication définitive à un domaine qu'il qualifie d' « obscur » et de « problématique », mais d'y ouvrir un accès dont il a la conscience aiguë de combien il se heurte à nombre de préjugés (de nature à la fois intellectuelle, idéologique et subjective) dans la société occidentale contemporaine. II- Explication de la synchronicité

Expérience de Rosenhan L'étude de Rosenhan est composée de deux parties. La première implique la participation d'associés en bonne santé mentale, les « pseudo-patients », qui simulent des hallucinations auditives brèves dans le but d'être admis dans douze hôpitaux psychiatriques des États-Unis, répartis dans cinq États différents du pays. Ils ont tous été admis et reconnus souffrant de désordres psychiatriques. Après leur admission, ils agissent normalement et déclarent au personnel soignant qu'ils se sentent bien, et n'ont plus d'hallucination du tout. Le personnel de l'hôpital échoue dans chaque cas à détecter la supercherie, et reste au contraire persuadé que tous les pseudo-patients montrent les symptômes d'une maladie mentale. La seconde partie consiste à demander au personnel d'un hôpital psychiatrique d'identifier de faux patients dans un groupe qui n'en comporte pas. Les pseudo-patients[modifier | modifier le code] « I told friends, I told my family, 'I can get out when I can get out. Maurice K.

1984 (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il décrit une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme[réf. nécessaire]. La liberté d'expression n’existe plus. Le monde en 1984 selon George Orwell[2]. Big Brother Winston Smith, 39 ans, habitant de Londres en Océania, est un employé du Parti Extérieur, c'est-à-dire un membre de la « caste » intermédiaire du régime océanien, l'Angsoc (mot novlangue pour « Socialisme Anglais »). Toutefois, contrairement à la majeure partie de la population, Winston ne réussit pas à pratiquer cette amnésie sélective et ne peut donc adhérer aux mensonges du parti. Winston Smith servira également de prétexte dans la suite du roman pour exposer la société totalitaire qui l'entoure, les hommes qui y collaborent et ses ressorts les plus impitoyables.

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Vous vous fermez une porte sur un doigt. Vous vous cognez la jambe sur une chaise. Vous vous brûlez le bras sur une casserole encore chaude. Avant de regarder les voies nerveuses qui amènent l'information douloureuse jusqu'au cerveau, regardons d'où part cette douleur et dans quel type de fibre nerveuse elle voyage. D'abord, contrairement aux autres types de fibres sensorielles comme celle du toucher qui ont des structures spécialisées à leur extrémité (corpuscules de Pacini, de Messner, etc.), les fibres nociceptives n'ont aucune spécialisation de ce type. Il existe différents types de ces fibres nerveuses dont les terminaisons libres forment les nocicepteurs. Or le diamètre et la myélinisation influencent tous deux la vitesse de conduction de l'influx nerveux : plus le diamètre d'une fibre est grand, plus elle est alors myélinisée, et plus cette fibre conduira l'influx nerveux rapidement.

Expérience de Stanford L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés ostensiblement aléatoirement. Les problèmes éthiques soulevés par cette expérience la rapprochent de l'expérience de Milgram, menée en 1963 à l'Université Yale par Stanley Milgram.

Discours de la servitude volontaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Discours de la servitude volontaire. Le Discours de la servitude volontaire ou le Contr'un est un ouvrage rédigé en 1549 par Étienne de La Boétie à l'âge de dix-huit ans. Sa première publication date de 1574. Ce texte consiste en un court réquisitoire contre l'absolutisme qui étonne par son érudition et par sa profondeur, alors qu'il a été rédigé par un jeune homme d'à peine dix-huit ans. Ce texte pose la question de la légitimité de toute autorité sur une population et essaie d'analyser les raisons de la soumission de celle-ci (rapport « domination-servitude »). L’œuvre[modifier | modifier le code] La puissance subversive de la thèse développée dans le Discours ne s’est jamais démentie. L’originalité de la thèse de La Boétie est contenue tout entière dans l’association paradoxale des termes « servitude » et « volontaire ». [modifier | modifier le code] Le Malencontre : origine de la dénaturation[modifier | modifier le code] André Tournon, L.

La prédiction très méconnue de Jung Saviez vous que Carl Gustav Jung, à la fin de sa vie, au terme d’une profonde exploration des tréfonds de la psyché humaine entrevit, avec le physicien et prix Nobel Wolfgang Pauli, qu’il existait un niveau de « réalité profonde » où conscience et matière ne faisaient plus qu’un ? Ainsi avait-il établi ce que Christine Hardy, qui a consacré plusieurs livres sur le grand psychologue dont un récent sur ce sujet, appelle des prédictions sur l’évolution de l’humanité : « Jung a prédit pour ce début de siècle un véritable bond dans la conscience humaine qui sera déclenché par une double harmonisation Masculin-Féminin et Ciel-Terre. Avec le physicien quantique Pauli, Jung cherchait à rendre compte de la conscience en tant qu’énergie organisatrice. Ainsi la conscience, en tant qu’énergie sémantique, infuse tous les niveaux de l’esprit-corps-psyché et les organise. Carl Gustav Jung Une lectrice a fait le résumé de la prédiction ainsi : 1. 2. 3. C’est le cycle de la réconciliation Homme-Terre.

Théorème du singe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le théorème du singe est un exemple d'« histoire enseignement », une historiette présentée sur le mode narratif, non nécessairement véridique, dont la morale permet d'enseigner ou d'expliciter un phénomène. Ici, le théorème du singe est utilisé pour mettre en valeur le fonctionnement du conditionnement mental. Cette histoire est présentée comme le récit d'une expérience scientifique comportementale menée sur des chimpanzés. Le récit de l'expérience[modifier | modifier le code] De singes et de bananes. Une vingtaine de chimpanzés sont isolés dans une pièce où est accrochée au plafond une banane, et seule une échelle permet d'y accéder. Rapidement, les chimpanzés apprennent qu'ils ne doivent pas escalader l'échelle. Un des singes est remplacé par un nouveau. L'expérience est poursuivie jusqu'à ce que la totalité des premiers chimpanzés qui avaient effectivement eu à subir les douches froides soient tous remplacés. (en) G.

La plus vieille cuisine du monde - Jean Bottéro à Librairie Gallimard La plus vieille cuisine du monde. La cuisine et la table constituent un excellent moyen pour comprendre une civilisation. A travers l'étude de la gastronomie dans la Mésopotamie ancienne, Jean Bottéro montre que le boire et le manger ne sont pas des sujets mineurs. La découverte de trois tablettes d'argile, datant d'environ 1700 avant notre ère et détaillant une quarantaine de recettes, nous permet de restituer les repas apprêtés pour la table de Grands de l'antique Babylonie. Ce petit manuel de cuisine mésopotamienne, mêlant viandes, légumes, herbes et condiments, peut nous paraître étrange, mais il est encore possible de réaliser de nos jours, selon les indications fournies, un " tourteau de petits oiseaux ". En plus de ces recettes concrètes, ce sont les rites de la table, le vin, la bière et leur usage, le statut des cuisiniers, les rapports entre la cuisine, la vie et la mort, la signification de la cuisson et de la présentation des plats, qui sont ici analysés.

L'avis de Wikipedia a propos du filme "La Vague" by cpl_pparouty Mar 18

La page wikipédia du film permet d'en savoir plus sur le film par le biais de différentes informations telles que le synopsis ou le casting. by cpl_dronfard Mar 11

quelques informations sur ce fameux film. by cpl_ldruart Feb 25

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