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Personne n’en parle en France !!!!!!

Personne n’en parle en France !!!!!!

Les plus grands propriétaires terriens du Monde Lorsqu’on évoque la flagrante inégalité de la répartition des richesses dans le Monde, on se réfère toujours à l’accaparement par une minorité, de l’argent en circulation – sous forme de salaires, dividendes, rémunérations multiples et diverses, jetons de présence, … – qui nous l’avons maintes fois répété, procède d’un véritable pillage des entreprises et d’une richesse collectivement créée. Rappelons par exemple qu’en 2012, sur les 53 milliards d’euros de bénéfices réalisés par les entreprises du Cac 40, 40,9 milliards d’euros (soit environ 77%) ont été distribués en dividendes à leurs actionnaires. Une inégalité tout aussi criante est pourtant l’inégalité dans la possession de la terre et des ressources, en particulier de l’eau, qui vont avec . Les mêmes, vous vous en doutez, se sont accaparés les terres, la Terre devrait-on dire: figurez-vous qu’une vingtaine d’entreprises et de grandes familles, royales ou non, se partagent la bagatelle de 3,2 milliards d’hectares.

L’autorité publique est aux mains du système financier Voir également : Fiction de démocratie par H.Kempf [Note perso : je suis évidement d'accord avec Mr Kempf, mais baser le changement sur une approche écologique sans changer la racine du problème n'est que repousser le problème plus loin .. ] Vous démontrez avec des exemples innombrables comment le monde glisse vers une sorte de régime autoritaire dont l’intention unique est de maintenir les privilèges d’une caste, l’oligarchie. Cela vous amène à une conclusion socialement et politiquement dramatique : la fin possible de la démocratie. L’oligarchie est la définition d’un régime politique. L’oligarchie est un concept inventé par les grecs aux IVe et Ve siècle av. Vous suggérez que nous sommes dans une phase de post-démocratie dans laquelle, avec l’objectif de se maintenir au pouvoir, l’oligarchie maintient une fiction démocratique. Bien sûr. Les pays européens, et beaucoup plus les États-Unis, ont glissé vers un régime oligarchique où le peuple n’a déjà plus de pouvoir. Effectivement. Oui.

Sciences Po ou l'avant-garde néolibérale Tout entière consacrée à célébrer le dynamisme de Sciences Po sous la direction de Richard Descoings, la presse n’a jamais relevé l’ironie d’une restauration de l’ancienne Ecole libre des sciences politiques. Ainsi en va-t-il des entreprises de réaction qui, au profit d’une amnésie collective, se déguisent sous le manteau du progrès. L’affaire Sciences Po aura non seulement dévoilé les gaspillages, les privilèges et le fonctionnement discrétionnaire d’une institution d’enseignement supérieur jouant un rôle majeur dans la sélection des élites, mais aussi démasqué un projet ambitieux de transformation de l’enseignement supérieur français. Les révélations de la Cour des comptes prennent en effet une autre dimension si on relie les faits incriminés à la vision néolibérale de l’éducation qui caractérisait le [projet du triumvirat Descoings-Pébereau-Casanova (Lire « L’Ecole libre des sciences politiques », Le Monde diplomatique, 25 octobre 2012).

Le Glass-Steagall Act hante l'Assemblée nationale Occulté par le débat passionné du « mariage pour tous », le projet de loi de « régulation et de séparation des activités bancaires » a été débattu la semaine dernière dans le vide de l’Assemblée nationale. Ce projet a été voté hier en première lecture par les partis et leurs tactiques. Rangs clairsemés à l’Assemblée nationale au moment de discuter de la scission stricte des banques (séance du mercredi 13 février 2013). Clairement, ce qui pourrait être la mise à l’écart de la prédation financière de notre économie, est une réforme ne réformant rien. La filialisation des activités jugées « non utiles à l’économie », proposée par le projet de loi du ministre de l’Economie Pierre Moscovici, ne sépare rien. Le Glass-Steagall Act, c’est aujourd’hui l’éléphant au milieu du salon : l’urgente mesure à prendre. À l’introduction de son projet de loi, le 12 février, au lendemain de ses déclarations dans Le Monde (voir encadré), Moscovici trouva de nouveaux mensonges à proférer : Ah !

Goldman Sachs n'est que le pantin d'un monstre gigantesque Georges Osborne, le chancelier de l’Échiquier britannique, a annoncé lundi 26 novembre la nomination du Canadien Mark Carney, 47 ans et ex-banquier chez Goldman Sachs, au poste de gouverneur de la prestigieuse Bank of England (BoE). Il [...] Georges Osborne, le chancelier de l’Échiquier britannique, a annoncé lundi 26 novembre la nomination du Canadien Mark Carney, 47 ans et ex-banquier chez Goldman Sachs, au poste de gouverneur de la prestigieuse Bank of England (BoE). Il succèdera à Mervyn King, en juin 2013 et ce sera la première fois qu’un non-Britannique prendra les commandes de la BoE. Depuis le début de la crise financière, un certain nombre d’anciens banquiers de Goldman Sachs ont été nommés en Europe, à des postes clefs. Goldman Sachs règne-t-elle, pour autant, en maître sur l’économie européenne? Lire la suite

1984 George ORWELL - BIG BROTHER - Infoceania - Le site officiel du Parti Les 20 Africains les plus riches Si les richesses de l'Afrique ne profitent pas à tous les habitants du continent, plusieurs individus sont parvenus à devenir millionnaire, voire milliardaire (en dollars ou en euros) dans des secteurs divers (télécommunications, immobilier, pétrole, mines). Voici le premier classement des Africains les plus riches selon le magazine américain Forbes. 20. Stephen Saad, Afrique du Sud Co-fondateur du groupe pharmaceutique Aspen Pharmacare, Stephen Saad, 47 ans (marié, quatre enfants), est crédité d'une fortune estimée à 640 millions de dollars (472 millions d’euros). En 1997, la création de son entreprise lui coûte 6,3 millions de dollars (4,6 millions d’euros). A 29 ans, le natif de Durban devient millionnaire après avoir vendu ses parts de l’entreprise de médicaments Covan Zurich pour 3 millions de dollars (2,23 millions d'euros). 19. 18. 17. Le premier noir du classement des 20 plus riches Africains est le parrain du secteur bancaire au Nigeria. 16. 15. 14. 13. 12. 11. 10. 9. 8. 7. 6.

DE GAULLE - MONNET OU LE DUEL DU SIECLE Par Eric Branca, journaliste Souveraineté nationale contre "rationalité supranationale" ; indépendance des Etats contre force des engrenages ; démocratie contre technocratie ; l’affrontement De Gaulle-Monnet dépasse les hommes pour toucher à l’essentiel. De gauche à droite, Jean Monnet, John Foster Dulles, Kirk Spieremburg, Dwight D. Eisenhower, David Bruce, Franz Etzel, William Rand. A Washington, Juin 1953. Il fut le plus constant des anti-gaullistes en même temps que le plus farouche adversaire de l’indépendance nationale. A l’heure où les petits-fils politiques de Jean Monnet semblent victorieux - au point d’avoir converti à leur eschatologie fédéraliste ceux-là même dont la raison d’être commandait, encore et toujours, de garder à la France ses mains libres - il n’est pas inutile de rappeler ce que fut le duel engagé, dès 1943, entre Monnet et De Gaulle autour de la grande querelle de la Nation. Au propre comme au figuré, Monnet restera dans la vie politique française comme l’un des grands fantômes du siècle.

Qui possède les médias ? 1. Droit à l’information L’article 19 de la Déclaration des droits de l’homme de 1948 indique : « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. » De plus, Victor Hugo, cité par Médiapart [1], a dit : « Le principe de la liberté de la presse n’est pas moins essentiel, n’est pas moins sacré que le principe du suffrage universel. On reconnaît un régime totalitaire par le fait que les médias sont contrôlés par le pouvoir politique. 2. Les médias sont très nombreux. Serge Dassault, proche de l’actuel chef d’état, et sa famille possèdent* Le Figaro, L’Express, le Figaro Magazine et Valeurs Actuelles. Ajoutons encore Bernard Arnault l’homme le plus riche de France, qui fut témoin de mariage de l’actuel chef de l’état et qui possède Les échos. Sondages 3.

L'honorable Frank Carlucci Frank C. Carlucci est né à Scranton, en Pennsylvanie, en 1930, d’un tailleur de pierre immigré d’Italie du sud, avant d’entreprendre des études à l’université de Princeton, où il fait la rencontre du jeune Donald Rumsfeld. Les deux étudiants partagent une chambre de l’internat, pratiquent la lutte ensemble et restent, au terme de leur scolarité, de très proches amis. Frank Carlucci s’engage ensuite pour deux ans dans l’US Navy, suit quelques cours à la Harvard Business School et rejoint le Département d’État en 1956. Après deux ans en tant que vice-consul et conseiller économique, à Johannesburg (Afrique du sud), et un stage de six mois pour apprendre le français, il est nommé second secrétaire de l’ambassade des États-Unis à Léopoldville (Congo-Kinshasa), en 1960. L’homme des coups tordus Le pays, qui sera ensuite nommé Zaïre, puis République démocratique du Congo, est en train d’accéder à l’indépendance. De 1969 à 1974, Carlucci est affecté à Washington dans diverses administrations.

13 Israelis make 'Forbes' bill...JPost - Business - Business News Thirteen Israelis appeared on Forbes magazine’s annual list of global billionaires on Thursday, led by brothers Idan and Eyal Ofer – who ranked 161st and 173rd, with respective fortunes of $6.2 billion and $5.8b. The two brothers split the inheritance equally after their father, shipping magnate Sammy Ofer, died in June 2011. But Forbes ranked Idan higher than his older brother, as it was able to confirm Idan’s public stakes in Israel Corp. and Pacific Drilling; but applied more conservative valuations to Eyal’s less transparent private holdings. A record 1,226 individuals, with a combined net worth of $4.6 trillion, made this year’s list. Mexican telecom mogul Carlos Slim Helu ranked first with $69b., ahead of Microsoft co-founder Bill Gates ($61b.) and Berkshire Hathaway CEO Warren Buffett ($44b.) – whose portfolio includes Israeli metal-working tool company Iscar. Beny Steinmetz was the second wealthiest Israeli, ranking 169th with a fortune of $5.9b.

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