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Comment fonctionne la création 
monétaire

Comment fonctionne la création 
monétaire
> Qu’est-ce que la monnaie ? C’est un instrument de paiement reconnu par les Etats, les ménages et les entreprises. Pendant des millénaires, on s’est contenté d’utiliser des matériaux précieux pour régler ses achats (pièces d’or ou d’argent, sel et même coquillages). Mais à partir du milieu du XVIIe siècle, les orfèvres londoniens, à qui les riches marchands confiaient leur or, ont commencé à émettre des certificats de dépôt. Et leurs possesseurs se sont rendu compte qu’il était beaucoup plus facile de payer et de se faire payer avec ces bouts de papier (en qui tout le monde avait confiance) qu’avec des pièces métalliques. La monnaie fiduciaire était née.Aujourd’hui les choses ont bien changé : 90% des échanges se font par de simples jeux d’écritures (chèque) ou par des mouvements électroniques (carte bancaire, virements). > Qui crée la monnaie ? > Comment font-elles ? Elles accordent des crédits à leurs clients, voilà tout ! Related:  Economie

WEBDOC HTML5 - Le Chômage Le BIT est le Bureau international du travail, l'instance baséeà Genève qui dirige l'Organisation internationale du travail (OIT),une agence regroupant les pays de l'ONU et cherchant à promouvoir la justice sociale et le travail décent. Le BIT a élaboré des méthodes statistiques pour pouvoir comparer les données sociales d'un pays à l'autre qui ont été affinées par Eurostat, l’agence statistique européenne.Pour calculer le nombre de chômeurs, ils préconisent ainsi de ne retenir que les demandeurs d'emploi de 15 ans ou plus... ... n'ayant pas travaillé au cours de la semaine... étant disponible pour travailler dans les deux semaines... et ayant entrepris des démarches actives de recherche d'emploi dans le mois précédent (ou ayant trouvé un emploi qui commence dans les 3 mois). C'est sur cette statistique (collectée chaque trimestre par l'Insee auprès d'un "panel" d'environ 45 000 ménages) que sont basés les taux de chômage publiés tous les trimestres par l'Insee.

La notion du taux d'intérêt Un enemble de cours dans différents domaines de la science Cours de mathématiques Ces cours aborde la plupart des théories mathématiques et dans les différentes branches mathématiques : cours d'algèbre, de géométrie, de statistique et probabilité ... Cours de physique Vous y trouverez des explications théoriques d'un ensemble de phénomènes physiques liés aux ours de mécanique, d'électromagnétisme, d'atomistique, d'astrophyque ... Cours de chimie Apprendre les différentes théories de chimie quantique, de chimie moléculaire et de chimie analytique Cours d'astronomie Des explications des phénomènes astronomiques qui se déroule dans la galaxie, étoiles relativité restreinte et générale, planètes, trou noire, ... Cours de gestion Un ensemble de cours dans le domaine de la gestion les écritures de comptabilité, l'analyse démographique, théorie des jeux et de prise de décision ...

La banque, c’est simple ? Pas si sûr, alors essayons d’en parler ! BNP Paribas a pour mission première de servir ses clients, d’instaurer une relation dans la durée avec eux, de les aider à réussir leurs projets personnels et professionnels. Toujours animé par des valeurs éthiques et responsables en veillant sur leurs intérêts avec autant d’attention que sur ceux de BNP Paribas. Mais dans le contexte actuel de bouleversements économiques, l’utilité des banques et leurs pratiques est remise en cause par nos clients. La confiance de nos clients constitue notre premier capital ; c’est pourquoi BNP Paribas lance une saga sous forme de vidéos pédagogiques animées « la banque c’est simple ? Un support ludique et didactique pour mieux comprendre la banque et mettre en lumière ses métiers, ses principes de fonctionnement et apporter des réponses simples à toutes les questions que vous pouvez vous poser. Dernier épisode : Pourquoi l'économie a-t-elle besoin des marchés pour être financée? Retrouvez les anciens épisodes :

Mondialisation, finance internationale et intégration européenne En second lieu, le credo des économistes en faveur du libre-échange s’est affirmé au travers des institutions internationales. L’Organisation Mondiale du Commerce, ancien GATT, forte aujourd’hui de 159 Etats membres, est parvenue à diviser par 10 les droits de douane dans le monde et à affirmer 4 principes fondamentaux très exigeants parmi lesquels la clause de la nation la plus favorisée et le traitement national qui favorisent le multilatéralisme. Au-delà, l’Organe de Règlement des Différends (ORD) permet de mettre à jour et de résoudre les conflits. De nombreux chantiers restent en cours, notamment le cycle de Doha, lancé en novembre 2001, qui vise à réformer en profondeur le système commercial international, aujourd’hui en panne, paralysé par les intérêts contradictoires des Etats. Toutefois, les négociations commerciales antérieures qui restent en vigueur ont produit un monde dans lequel le commerce est remarquablement libre et régulé par rapport aux périodes antérieures.

Les facteurs de la croissance économique La croissance économique désigne l'augmentation du produit intérieur brut PIB) sur une période d'un an. Selon l'utilisation qui est faite des facteurs de production (le capital et le travail), la croissance économique peut être soit intensive, soit extensive : la croissance intensive : elle désigne une utilisation plus efficace des facteurs de production, elle repose alors sur les gains de productivité et les rendements d'échelle sont croissants ;la croissance extensive : elle renvoie à une croissance proportionnelle à l'augmentation de la quantité de facteurs de production utilisés, elle repose alors sur une croissance du capital et du travail utilisée et les rendements d'échelle sont constants (l'échelle a un impact nul sur l'efficacité de la production). L'un des premiers facteurs de la croissance est le travail. Il est possible donc d'augmenter les niveaux de croissance économique en augmentant la population active (la population au travail).

Rencontre 2012 : L’Euro a-t-il encore un avenir ? Dans le cadre des rencontres annuelles organisées par l’Institut pour l’éducation financière du public (IEFP), à destination des enseignants d’économie d’Ile de France, s’est tenue le 21 mars 2012 une conférence sur le thème de l’euro. Tous les ans, nous choisissons un thème d’actualité. La conférence de cette année avait donc pour thème « l’euro a-t-il encore un avenir ? En introduction de la conférence, Pascale Micoleau-Marcel rappelle quels étaient les bienfaits espérés de l’euro. Le diagnostic Georges Pauget établit un diagnostic en 6 points : La crise actuelle est une crise de la zone euro et non une crise de l’euro. • Les réformes ne sont pas conduites partout avec la même cohérence et la même profondeur, ce qui laisse la zone euro dans une grande diversité de situations internes David Blache, apporte un regard complémentaire à celui de Georges Pauget. La note des Etats Unis a été dégradée dès août 2011, suscitant une première prise de conscience de la crise des dettes souveraines.

« Un nouveau modèle économique et social se met en place avec les ICO », Crédits Quel est le potentiel de développement des ICO ? Les levées de fonds en cryptomonnaies ou « Initial Coin Offerings » constituent un modèle totalement disruptif : ces opérations permettent de se tourner directement vers le public - investisseurs, futurs clients ou futurs utilisateurs - pour trouver les fonds nécessaires à son développement en s'affranchissant des tiers. Les levées de fonds sont rapides car elles se font au niveau international : en communiquant sur toute la planète, l'opération peut toucher des millions d'investisseurs. C'est une espèce de crowdfunding gigantesque fondé sur la cryptomonnaie. Même si chacun n'apporte que 10 euros, les sommes levées peuvent être très importantes. Mais ces opérations relèvent aussi d'un système beaucoup plus vertueux que les levées de fonds classiques car l'entreprise peut valider en amont son business model et obtenir une réponse quasi instantanée du public : s'il adhère au projet, il apportera les fonds, puis demandera des comptes.

L'indice qui calcule autrement la prospérité d'un pays Dans ce classement, la France se positionne en 21e position, loin derrière sa 6e place au classement plus traditionnel du FMI, et les Etats-Unis en 16e position, abandonnant leur 1re place mondiale. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Pour évaluer la richesse d'un pays, il existe depuis les années 1930 le produit intérieur brut, ou PIB – il avait été créé pour mesurer l'effet de la Grande Dépression sur l'économie américaine. Cet indice, souvent critiqué en raison de ses critères strictement économiques, n'avait pas jusqu'à présent d'alternative ; désormais, il existe le SPI, pour « Social Progress Index », qui mesure le progrès social de chaque pays. Ses concepteurs, des économistes et des statisticiens, ont pu présenter cette année les premiers résultats de leur travail entamé en 2009. Après une version bêta en 2013, l'édition de l'an dernier ne portait que sur 50 pays. Pays scandinaves en tête Lire aussi : Sexe, drogue et trafics en tout genre bientôt dans le PIB européen

L’équilibre de l’offre et de la demande - Ecossimo Le marché est un lieu de rencontre d’une Offre et d’une Demande de biens et services. Généralement, l’échange s’effectue sur le marché au moyen d’un bien particulier, la monnaie, qui exerce trois fonctions : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. Ainsi, par l’intermédiaire de la monnaie, le marché fixe un prix permettant d’équilibrer l’Offre et la Demande du bien ou du service concerné. La Demande représente la quantité d’un bien ou un service qu’un agent désire acquérir à un prix donné. La relation entre la Demande et le prix La Demande est fonction du prix d’achat : plus le prix s’élève, plus la Demande diminue, on dit qu’elle est fonction “décroissante” de son prix. La Demande est dite élastique par rapport au prix. Cette élasticité est notée : e Demande/Prix. e Demande/Prix = Taux de variation de la Demande / Taux de variation du prix La relation entre l’offre et le prix Sur les différents marchés, les offreurs sont les ménages et les entreprises :

La régulation de la finance et ses limites Des banques sous-capitalisées, une grosse prise de risques, un fort aléa moral, une supervision défaillante constituent des facteurs de la crise financière de 2007-2009 qui s’est traduite par des coûts sociaux et fiscaux élevés supportés notamment par l’économie réelle (Thomas MIROW). Par conséquent, la crise financière a remis en cause le postulat d’autorégulation des marchés et a mis en exergue les échecs de la régulation financière antérieure. La régulation micro-prudentielle et la discipline du marché ont montré leurs limites. D’après la définition du dictionnaire Le Robert (1985), la régulation est le « fait d’agir sur un système complexe et d’en coordonner les actions en vue d’obtenir un fonctionnement correct ou régulier ; processus par lequel un mécanisme ou un organisme se maintient dans un certain équilibre, conserve un régime déterminé ou modifie son fonctionnement de manière à s’adapter aux circonstances. ». I) Les évolutions récentes de la régulation financière Conclusion

L’indice Big Mac – (The Economist) Deux fois par an, l’hebdomadaire The Economist collecte les prix du Big Mac, de la société McDonald’s, dans une cinquantaine de pays ou zones monétaires (dont la zone euro). Comme le Big Mac est un produit relativement identique partout dans le monde, The Economist compare ses prix de vente dans les différents pays. Le résultat de la comparaison entre les prix observés dans deux pays donne un ratio qui est plus ou moins éloigné du taux de change des monnaies de ces pays, suggérant ainsi une possible surévaluation ou une possible sous-évaluation du taux de change de marché. L’indice Big Mac est donc un outil pour mieux comprendre et, avec cette infographie interactive, pour visualiser la théorie de la parité des pouvoirs d’achat et les notions de sur- et de sous-évaluation des taux de change. Calculé depuis 1986, l’indice Big Mac est souvent repris dans la presse, a été utilisé dans des manuels d’enseignement de l’économie et a servi dans plusieurs études d’économistes. Langue : anglais

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