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» L’économie symbiotique

» L’économie symbiotique
Depuis 40 ans, des acteurs du monde entier ont développé de nouvelles stratégies durables dans tous les secteurs : agriculture, énergie, habitat, gestion des déchets et de l’eau, mobilité, biens d’équipements et de consommation… Bien qu’élaborés dans des contextes très différents et sans concertation, ces modèles économiques présentent une admirable récurrence de fonctionnement et une cohérence globale qui a été peu dégagée à ce jour. Leur émergence parallèle et non concertée montre qu’un vrai nouveau souffle irrigue notre époque et avance de façon autonome et forte, rassemblant de plus en plus d’industriels, de territoires, de citoyens et de consommateurs dans un mouvement qui a dépassé les signaux faibles. L’économie symbiotique apporte ainsi une toute nouvelle voie pour le développement durable : Un développement où l’homme ne fait pas « moins pire » mais « bien ». L ‘économie symbiotique se caractérise par 6 principes récurrents qui interagissent en synergie (fig1).

economie-symbiotique.fr la pub, née de l’industrialisation, mourra avec elle Une économie de subsistance (une société dont les membres produisent le nécessaire pour vivre) n'a bien sûr pas besoin de publicité. Même une économie de marché rurale et artisanale, comme celle des Etats-Unis jusqu'au milieu du XIX siècle, n'en a pas besoin. Mais aujourd'hui le marché n'est plus un ensemble concret de clients plus ou moins bien connus, mais une masse abstraite de consommateurs lointains. Il devient donc indispensable de dépenser des sommes considérables pour s'attacher ces inconnus grâce aux médias de masse. Comme les grandes firmes investissent, des années à l'avance, d'immenses capitaux, elles doivent s'assurer que la production de masse sera vendue. Née de industrialisation, la publicité se définit comme une industrialisation de l'art de vendre. Que cela implique une bonne part de manipulation, les pubards ne le nient pas. Le phénomène de l'accoutumance est connu. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans sciences et techniques.

Qui sommes-nous ? L’Institut INSPIRE (Initiative pour la Promotion d’une Industrie Réconciliée avec l’Ecologie et la société) est une association loi 1901. L’Institut INSPIRE est un centre de réflexion, de mutualisation des connaissances et d’actions au service de la réconciliation de l’économie et de la biosphère. Ses actions ont pour objectifs : de promouvoir la préservation et la restauration de la dynamique et de la fonctionnalité des écosystèmes, de favoriser la création d'emplois porteurs de sens et créateurs de lien social, d'inciter les entreprises à reconsidérer leurs modèles économiques et de production pour prendre en compte leurs interactions avec la biosphère, d'inciter les collectivités à prendre en compte la pérennité du capital naturel dans les politiques d'aménagement du territoire ou de développement économique. Les principes fondateurs de cette réflexion sont : Les activités de l’Institut INSPIRE s’articulent comme suit :

Mais qu'est-ce qui se cache derrière ma facture d'électricité? Réponse avec Mafacturedufutur.com Une éolienne près de la centrale nucléaire de Jaenschwalde, en Allemagne. Photo AFP Les tarifs de l'électricité vont augmenter en juillet. Les particuliers sont les premiers touchés La Commission de régulation de l'énergie (CRE) a estimé que les tarifs réglementés de l'électricité devaient augmenter fortement pour couvrir les coûts de production et de commercialisation d'EDF, eux-mêmes en forte progression, dans un rapport mis en ligne le 4 juin dernier. Energie : l'heure des choix Nous savons que nous sommes à l’heure des choix pour décider de quelles énergies et de quelle électricité pour le futur de la France. Pas de futur sans nucléaire Si j'opte pour continuer avec le nucléaire, je découvre pourquoi ma facture devient salée et le sera de plus en plus. "Cher M. Energie : le choix existe Et je peux alors envoyer mon petit courrier en ce sens à Monsieur Proglio : "Cher M. Un véritable scénario de transition énergétique, ludique et interactif La voix de Sophia Aram Cathy Lafon

L’économie circulaire… pour empêcher l’économie de tourner en rond Transposer l’équation « Extraire, produire, consommer, jeter » de l’économie actuelle, fondée sur le gaspillage des ressources naturelles, par un système alternatif : le cycle des écosystèmes. Tel est l’objectif de l’Institut de l’économie circulaire, officiellement lancé le 6 février dernier. Un principe économique et écologique simple est affirmé : les déchets des uns sont récupérés pour devenir des ressources pour d’autres. La rédaction d’un livre blanc pourrait aboutir à un projet de loi en 2017. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »… C’est à Antoine Laurent de Lavoisier (1743 – 1794) que l’on attribue cette maxime. Mais couper les têtes ne change rien aux réalités, surtout celles qui dérangent. Finalement, deux siècles de société industrielle nous ramènent au point de départ ! Rappelons que la biomasse désigne l’ensemble des matières organiques pouvant se transformer en énergie. Nos filières industrielles vont donc devoir se verdir. Daniel LACAILLE

» Blog Quelle semaine ! En quelques jours, trois annonces majeures se succèdent dans le domaine du développement durable. Le 12 février une tribune de Jacques Attali dans le Monde affirme le « Manifeste pour une économie positive », le lendemain la fondation d’Ellen Mac Arthur annonce le lancement de l’Institut de l’économie circulaire, pendant que le 14 la Commission Européenne annonce le lancement d’un observatoire sur la Bioéconomie. Sous la multiplication des appellations, ces acteurs apportent des réponses spécifiques aux enjeux de la raréfaction des matières premières et de la nécessité d’une économie plus génératrice de progrès social. Mais à l’heure où entreprises comme citoyens constatent massivement dans leur activités les effets du changement climatique accéléré par l’érosion de la biodiversité, où sont les écosystèmes dans tout cela ? La matière et l’énergie faciles : c’est fini Evolution du prix des matières premières ces 25 dernières années . Cela bouge donc et c’est un grand pas.

2007 petit traité de la décroissance sereine de Serge Latouche Ce petit traité ne coûte que 3,5 euros. Il donne la base des raisonnements nécessaires pour le XXIe siècle. Difficile de ne pas l’acheter, le lire et agir en conséquence. Voici une mise en bouche en 7 chapitres : 1/7) les trois ressorts de la société de croissance Trois ingrédients sont nécessaires pour que la société de consommation puisse poursuivre sa ronde diabolique : la publicité, qui crée le désir de consommer, le crédit, qui en donne les moyens, et l’obsolescence programmée des produits, qui en renouvelle la nécessité. La publicité nous fait désirer ce que nous n’avons pas et mépriser ce dont nous jouissons déjà. 2/7) les limites du développement Les combats politiques se déroulent aussi dans l’arène des mots. En adoptant le modèle de la mécanique classique newtonienne, note Nicholas Georgescu-Roegen, l’économie ignore l’entropie. On ne résoudra pas le problème social sans résoudre la crise écologique. 3/7) la nécessité de la décroissance Où allons-nous ? 4/7) les huit R

Tendances - Sharing Economy : l'économie du monde moderne ? Publié le 20 août 2013 Avec 3.5 milliards de revenus selon Forbes, l'économie du partage s'installe tranquillement dans nos habitudes. Effet positif de la Crise, ce nouveau commerce n'a pas fini de faire parler de lui. Précisions avec Loic Le Meur, le fondateur de la conférence internationale LeWeb Article paru dans la Revue INfluencia papier et digitale N 6 : Changer : on a tous les clés « Nous assistons à un mouvement de fond qui n’est pas prêt de s’arrêter ! Un changement qui peut mener dans les prochaines années à un véritable bouleversement de l’économie mondiale et des mœurs au travers de nouveaux modes de consommation. « On ne peut éviter la Sharing Economy ! Certains sont désormais mondialement connu comme Airbnb, un des fers de lance de la consommation collaborative qui met en relation des consommateurs et des propriétaires immobiliers désireux de louer leurs biens en direct sans passer par un acteur de la location. Gaël Clouzard / @G_ael

Jeremy Rifkin plaît beaucoup, mais il maîtrise mal ce dont il parle Tribune Jeremy Rifkin, économiste américain, est l’auteur de « La Troisième révolution industrielle ». Très à la mode dans les milieux politiques (de gauche comme de droite), il se fait rémunérer des sommes non négligeables pour des « master plan » qui promettent un avenir meilleur. Il a ainsi été payé 350 000 euros par le conseil régional du Nord-Pas-de-Calais. Jeremy Rifkin, devant la Chambre des députés, pour le premier Forum sur les politiques industrielles, à Mexico le 28 mai 2013 (CARLOS PEREDA/NEWSCOM/SIPA) L’auteur Bertand Cassoret est ingénieur et docteur en génie électrique, maître de conférences à l’université d’Artois depuis 1996. Le discours de Jeremy Rifkin plaît aux politiques parce qu’il est optimiste et fait rêver. La technique n’est pas son problème Le livre de Jeremy Rifkin explique comment « le pouvoir latéral va transformer l’énergie, l’économie et le monde ». Confusions, bizarreries et caricature Ses propos montrent qu’il maîtrise mal ce dont il parle. J.

C2C, label de l’économie circulaire Après l’économie verte ou encore l’économie positive, c’est au tour de l’économie circulaire de faire des émules. Cette dernière fait sienne le célèbre énoncé du chimiste Antoine Laurent de Lavoisier: "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme". Autrement dit, elle s ‘inspire des écosystèmes naturels, où les déchets des uns sont les ressources des autres. L’économie circulaire est même l’objet d’un nouveau think tank présidé par le député écologiste des Bouches-du-Rhône François-Michel Lambert. Mais depuis plus dix ans, cette approche est déjà mise en application à travers le cradle-to-cradle: un mode de conception des produits, fondé sur la réutilisation permanente des ressources, qui convainc de plus en plus d’entreprises. Cradle-to-cradle, l’économie circulaire appliquée L’approche cradle-to-cradle (C2C) vise un impact positif sur l’homme et l’environnement via la fabrication de produits non toxiques, recyclables à l’infini ou biodégradables. Vers des entreprises C2C?

Avez vous la consience d’Akasha? Ervin Laszlo Lors du forum de l’Evolution de la Conscience dont j’ai déjà parlé dans le précédent billet, Ervin Laszlo a lu un texte nommé conscience Akashique dans lequel il décrit des paramètres, des expériences, des ressentis qui correspondent à ce qu’il appelle la Conscience Akashique. Je n’en dis pas plus sinon que vous trouverez son livre Science et Champs Akashique qui relie les théories scientifiques et les approches de l’Uni-Vers In-formé. Suite à une petite traduction collaborative de l’anglais vers le français, grâce à Wen Daline, Maryvonne Piétri, Hanh Nguyen Ngoc, à Mathieu Coste qui a demandé à Raphaël de Chez nous de participer, nous avons maintenant une version française de ce texte essentiel. Vous trouverez le post original sur le site d’Ervin : Il a lui même réalisé ce billet en lien avec une équipe de choc qu’il nomme “A Team”. Laissez vous submerger par la résonance des mots et voyez si ça vous parle, n’hésitez pas à partager sur ce que cela vous fait.

"La fin des sociétés" par Alain Touraine Le nouveau livre du sociologue Alain Touraine, La fin des sociétés, est paru aux éditions du Seuil le 12 septembre. Le Commissariat général à la stratégie et à la prospective et la Direction générale de la Cohésion Sociale ont le plaisir de vous convier à un débat autour du livre de Alain Touraine : La fin des sociétés Avec la participation d’Alain Touraine, Barbara Cassin (Philosophe, Directrice de recherche au CNRS et directrice de la Revue des Femmes-Philosophes de l’UNESCO), Jean Louis Laville (Sociologue et économiste, professeur au Conservatoire des arts et métiers) et Jean Pisani-Ferry (Commissaire général à la stratégie et à la prospective). Jeudi 26 septembre 2013 de 18h00 à 20h00 au Commissariat général à la stratégie et à la prospective – Salle Guillaumat – 18 Rue de Martignac – 75007 Paris Débat animé par Christophe Fourel, chef de la Mission analyse stratégie de la DGCS. Ce livre ne prend pas pour autant le parti du fatalisme généralisé. Inscrivez vous ici

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