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Définition Génération Y

Définition Génération Y
Pour accéder au blog, cliquez ici Définition de la Génération Y En France, l’expression « Génération Y » désigne les personnes nées entre 1978 et 1994. Inventée en 1993 par le magasine Advertising Age, l’expression «Génération Y » désigne la génération qui suit la « Génération X » (née approximativement entre 1965 et 1977). D’autres expressions sont couramment utilisées pour faire référence à cette génération. On parle notamment des « Echos Boomers » en référence au fait que beaucoup sont des enfants de baby-boomers ou des « Enfants du millénaire » (« Millenials » en anglais) en lien avec leur date de naissance. Combien sont-ils ? En France, la génération Y regroupe environ 13 millions de personnes soit près de 21% de la population française (13.192.178 ont vu le jour selon l’INSEE entre 1978 et 1994). Quelques vidéos pour mieux comprendre cette génération Le nuage de tags de la Génération Y ?

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Génération Y Américaines sur quatre générations : la jeune mère représente les milléniaux (environ 24 ans en 2008). Les milléniaux[1] (de l’anglais : millennials), ou génération Y, regroupent l'ensemble des personnes nées entre le début des années 1980 et la fin des années 1990. Le consensus se trouve sur 1984 comme année de début et 1996[2] comme année de fin. Ils succèdent à la génération X et précèdent la génération Z. Concept[modifier | modifier le code] Le baladeur numérique symbole de la génération Y. Les 11 particularités de "La génération Y par elle-même" : recrutement génération y « 1980. Les Y sont nés après, ils ont grandi dans les années 1980 et 1990, et ont succédé à la génération X, rendue célèbre par le roman éponyme du Canadien Douglas Coupland en 1991 (…). Les Y, eux, sont les jeunes adultes âgés de 18 à 30 ans. Une de leur particularités? Avoir grandi avec Internet. Ce qui leur vaut d’ailleurs une autre appellation, celle de digital natives.

Hipster Hipster est un terme anglo-américain désignant à l'origine un artiste bohème américain[1]. Origines du terme[modifier | modifier le code] Depuis le début des années 2000, « hipster » est de nouveau utilisé pour désigner un individu n'ayant pas adopté certaines habitudes consuméristes et socio-culturelles — et se démarquant par un style vestimentaire, une attitude anticonformiste et, le plus souvent, un attrait pour la musique dansante[2]. Mais cette allégation est contredite par le fait que, dans les années 1940, la mode était précisément aux pantalons à taille très haute (« zoot allure ») et aux vestes cintrées, moulant la hanche. Certains chercheurs soutiennent que la taille basse contemporaine est l'exemple d'un « mythe du marché, qui a une relation équivoque dans sa vision du monde et son système de valeurs orienté des consommateurs indépendants » ; autrement dit qu'il s'agit d'un hoax à des fins mercantiles[5].

Génération Z Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Analyse[modifier | modifier le code] La Génération Z représente d’après un rapport publié par le Pew Research Center[7] les personnes nées en 1997 et au-delà. Ainsi, elles ont toujours connu un monde avec une forte présence de l'informatique et de l'internet. En 2013, Didier Pitelet, fondateur de l'agence marketing Moons'Factory, décrit ces moins de 20 ans comme des utopistes peu dociles qui exigeront une nouvelle gestion entrepreneuriale ; leur énergie devra être canalisée à des fins positives, ce qui supposera de mettre en place des modèles de gestion structurants, éducatifs et psychologiques[9].

La génération Y par elle-même, tu parles ! - Thomas L sur LePost.fr (04:26) Fin des cours. Le jeune étudiant que je suis se dit qu'il va aller faire un tour dans sa librairie, histoire de dénicher un bouquin qui occupera son temps libre pour les prochaines semaines. En chinant dans les multiples rayons, je me suis mis à chercher un livre écrit par un jeune de mon âge. Je me suis alors lancé dans une drôle de réflexion. Millennials, la génération sans pareille Les baby-boomers voulaient changer la société, les millennials changeront l’homme Les baby-boomers voulaient renverser la table en 68. Leurs descendants du début du XXIe siècle bousculent discrètement autant que sûrement les institutions de l’ancien monde. Les soixante-huitards voulaient bannir l’autorité, les millennials, eux, s’en passent en court-circuitant les intermédiaires et les hiérarchies. Les soixante-huitards voulaient créer des communautés peace and love. Cinquante ans plus tard, les millennials s’affranchissent des groupes, préférant la fluidité des réseaux.

éducation et génération Z : école, collège, lycée, université, parents auteur Éric Delcroix Eric Delcroix est spécialisé en conseil, contenu, communication digitale, formation, internet, réseaux et médias sociaux, picture marketing, Facebook, Pinterest, Linkedin, Twitter, génération Z Plus d'informations sur Eric Delcroix : Toujours intéressant de rappeler le taux d’équipement de la génération Z lorsque l’on parle d’éducation Étude Ipsos : les jeunes, Internet et les réseaux sociaux - BDM L’institut Ipsos a réalisé une étude pour mieux cerner l’usage des nouvelles technologies par les jeunes de moins de 19 ans. Le constat est sans appel : l’hyper-connexion des jeunes s’intensifie. 13h30 par semaine sur Internet pour les 13-19 ans Génération Z : le cerveau des enfants du numérique La génération Z (12-24 ans), qui a grandi avec les jeux vidéo et les téléphones portables, a gagné des aptitudes cérébrales en termes de vitesse et d’automatismes, au détriment parfois du raisonnement et de la maîtrise de soi, explique le professeur de psychologie Olivier Houdé. Dans cet entretien accordé à l'AFP, le directeur du Laboratoire de psychologie du développement et de l’éducation de l’enfant du CNRS-La Sorbonne (LaPsyDé) et auteur du livre "Apprendre à résister" (Le Pommier), il préconise un apprentissage adapté à ces mutations. Le cerveau des enfants nés à l’heure du digital est-il différent ? Olivier Houdé : Le cerveau reste le même, mais ce sont les circuits utilisés qui changent. Face aux écrans, et du coup dans la vie, les natifs du numérique ont une sorte de TGV cérébral, qui va de l’œil jusqu’au pouce sur l'écran.

Suivre la trace ou faire son chemin? L’identité c… – International Journal of Canadian Studies Citer cet article Pilote, Annie. « Suivre la trace ou faire son chemin? L’identité culturelle des jeunes en milieu francophone hors Québec. » International Journal of Canadian Studies, numéro 36, 2007, p. 121–143. Pilote, A. (2007). Suivre la trace ou faire son chemin?

Générations X, Y et Baby Boomers D'une génération à l'autre ... Baby-Boomers, X, Y, Z et plus. Synthèse de Alain Rioux Québec, Québec, Canada | Voir ma page Psycho-Ressources | "La nouvelle génération est épouvantable. J'aimerais tellement en faire partie !" Oscar Wilde, Écrivain Irlandais "Chaque génération se croit plus intelligente que la précédente et plus sage que la suivante." Pas plus de deux heures d’écran par jour pour le cerveau des enfants Le Dr Jeremy Walsh et ses collègues ont analysé les données de l’étude observationnelle Adolescent Brain Cognitive Development qui a duré 10 ans et qui a permis d’examiner le développement cérébral de 4520 jeunes Américains âgés de 9 et 10 ans de 20 régions du pays. En moyenne, ces enfants passaient 3,6 heures par jour devant un écran (téléphone portable, tablette, ordinateur, télévision), ce qui est bien au-delà des Directives canadiennes en matière de mouvement sur 24 heures qui sont : moins de 2 heures d'écran;9 à 11 heures de sommeil;au moins une heure d'activité physique par jour. Les chercheurs ont donc observé la cognition des enfants par rapport à leurs niveaux d’activité physique, le temps de loisir passé devant un écran et le temps de sommeil. La cognition a été mesurée en tenant compte des aptitudes linguistiques, de la mémoire épisodique, de la fonction exécutive, de l’attention, de la mémoire de travail et de la vitesse de traitement.

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