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Management Générations Y - Z

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La journée de travail des générations Y et Z va vous étonner. On a beaucoup parlé du nouveau rapport des jeunes au travail, des exigences des générations Y et Z au niveau du management, de leur défiance vis-à-vis du monde de l’entreprise… Mais tout cela n’est rien en comparaison de leurs manières de travailler, radicalement différentes de celle de leurs aînés, les baby-boomers et la génération X. Les horaires, c’est l’horreur Pour les digital natives qui sont nés avec les nouvelles technologies, le temps ne s’écoule pas de la même manière.

L’espace aussi est replié et raccourci de même que l’accès à l’information, comme l’a décrit Michel Serres dans son livre Petite poucette. Multitasking, blurring, bleisure et micro-leisure… Les conséquences sur le déroulement d’une journée de travail sont nombreuses : on parle de multitasking, le travail multi-tâches qui nous fait zapper d’un dossier à l’autre et perdre en efficacité, mais aussi de « blurring » pour désigner l’effacement de la frontière entre la vie professionnelle et personnelle. Après la génération Y, la génération Z : comment les manager ?

Cela fait quelques années déjà que la génération Y, – celle des 20-35 ans qui compose 20% de la population française- a amorcé un grand virage dans le monde du travail : quête de sens, rejet de l’autorité verticale, goût de l’autonomie et propension marquée à utiliser les outils connectés pour travailler… Ces jeunes qui font souffler un vent nouveau aussi bien dans le secteur privé que dans le secteur public, cassent les codes, promeuvent une nouvelle vision du travail… et déstabilisent leurs managers !

« Les Y ont poussé les anciennes générations –que ce soient les Baby-Boomers ou la génération X – à évoluer, se félicite Jean-François Lemmet, consultant formateur RH, ancien DGA d’une grande collectivité locale d’Île de France. La coexistence et les divergences entre les générations ont toujours existé au travail. Mais cette fois-ci avec la génération Y et bientôt avec l’arrivée de la génération Z, la rupture est plus nette ». Rapport décomplexé à la hiérarchie.

Les différences culturelles entre Génération Y et génération Z. La génération Z n’est pas qu’une « Génération Y version 2.0 ». De subtiles différences commencent à apparaître. Attention cependant de ne pas tomber dans le cliché intergénérationnel habituel : « La génération Y a grandi avec internet et les ordinateurs portables » et « La génération Z a grandi avec les écrans tactiles et l’internet mobile ». On ne peut que remarquer qu’ils ne connaissent sans doute pas Jean-Paul Belmondo, que Mitterand est pour eux un personnage historique et que la DS c’est d’abord une console de jeux avant d’être une voiture. Nous n’allons donc pas chercher à définir une date de début de génération – comme les démographes l’ont fait depuis les Baby-boomers – pour nous intéresser aux différences qui commencent à apparaître. A noter au passage que le Bureau du recensement Américain ne reconnait qu’une seule génération : Les Baby-Boomers. C’est son usage d’internet qui est le fait le plus marquant de cette recherche de sélectivité.

Source : Adeccousa. La génération Z expliquée aux DRH, Recrutement. Exigeante, dynamique et motivée : que veut la génération Z ? Génération Z. XEnvoyer cet article par e-mail Génération Z XEnvoyer cet article par e-mailGénération Z Management Les générations se suivent et ne se ressemblent pas Lucides mais idéalistes, en quête de liberté mais aussi de réassurance, solidaires mais sélectifs, plus à l'aise dans l'échange virtuel que dans le contact direct… La génération Z, ces natifs des années 1990, offre un portrait fait d'aspirations contradictoires et de valeurs paradoxales.

Complexité avec laquelle les managers devront composer. Celle d'individus gouvernés par l'affect, dans l'entreprise comme ailleurs. Des mois, des années même que l'on nous parle de la génération Y, que des manuels de RH et des coachs en management décryptent leur mode de fonctionnement, leurs valeurs, leurs attentes. Plus jeune, cela va sans dire, puisqu'il s'agit des natifs des années 1991-1999, et surtout, plus complexe. Pollution, chômage, exclusion, crise de la dette et dérèglement climatique, rien ne leur échappe et, surtout, tout les concerne.

La génération Z… Qui sont-ils? Que veulent-ils? Le monde change à vitesse grand V, et les nouvelles générations contribuent à modeler ce que sera la société de demain. Mais savons-nous vraiment qui sont les individus qui forment ces nouvelles cohortes? La firme new-yorkaise Sparks & Honey nous propose, par le biais des acétates de son étude intitulée Meet Generation Z. Forget Everthing You Learned About Millenials, un coup d’oeil fort intéressant sur la génération qui monte, à savoir la Z! Quels sont les principales caractéristiques de cette génération, dont les membres sont nés à partir de 1995?

Aux États-Unis, ils forment plus d’un quart de la population, davantage que la génération précédente (les Y ou Millenials);Ils apparaissent plus matures. De fait, le taux d’utilisation de substances illicites et le taux de grossesse en bas âge a chuté drastiquement depuis 20 ans.Ils s’impliquent socialement. L’étude de Sparks & Honey revèle que 26% de la tranche d’âge 16-19 ans fait du bénévolat! Mais attention! Comment manager la génération Y ? Devenue une appellation incontournable, l’expression « Génération Y » fait référence aux jeunes gens âgés de 18 à 30 ans. Génération du millénaire, le groupe est déjà entré dans le monde du travail ou en passe d’y accéder… en cassant quelque peu les codes de l’entreprise.

En France, la génération Y regroupe environ 13 millions de personnes, soit près de 21 % de la population, née entre les années 70 et le milieu des années 90. Elle succède à la génération X qui elle-même suit la génération des « baby-boomers ». Ces trois groupes d’individus se retrouvent actuellement dans le monde de l’entreprise. Les points que nous mettons en lumière sont des généralisations et n’ont pas de valeur intrinsèque. Une génération qui casse les codes Biberonnée aux nouveaux médias et aux technologies digitales, la génération Y est plus interconnectée que collective. Curieux par nature, les Yers remettent en question leurs actions dans l’entreprise en recherchant du sens dans leur travail. Comment manager la génération Y. A leur tempo vous vous adapterez Selon Christine Charlotin, coach spécialiste du management de génération, la différence essentielle entre les anciennes générations et les Y, c’est le rapport au temps.

Les plus jeunes sont dans l’immédiateté. Il faut leur demander (et leur donner) des retours rapidement. « Par exemple, lorsque vous confiez un dossier à un jeune Y, faites-le point très régulièrement sur ses avancées. » Les formes vous mettrez Enfants de la génération Dolto, habitués à faire ce qu’ils aiment, les jeunes Y ont introduit de l’émotionnel dans l’entreprise. Sans les materner, il est important de les encourager en leur expliquant clairement ce qui a été mal fait et ce qui est à améliorer. « C’est que l’on appelle le management de la bienveillance », souligne Christine Charlotin.

La transparence vous pratiquerez Avant, ne pas donner toutes les informations aux nouveaux arrivants était synonyme de pouvoir pour les managers. Votre légitimité vous prouverez Plus flexible vous serez. Ce que veut la Génération Z (et comment elle... La génération Z, ce ne sont pas seulement des jeunes dont les yeux et les pouces sont rivés sur leurs smartphones et leurs jeux vidéo. Les experts s’accordent à dire qu’elle concerne les adolescents nés dès 1991, parfois à partir de 1995. Tous sont d’accord sur un point : les jeunes de cette génération sont très exigeants. Plus équipée, plus connectée, plus informée, la Génération Z est née avec le digital et ses comportements en sont désormais imprégnés.

Cette information n’est pas sans intérêt pour les professionnels de la consommation. Selon Fitch*, les 14-19 ans d’aujourd'hui constitueront, en 2020, le plus grand groupe de consommateurs du monde entier. Pour l’agence de notation, le constat est sans appel : "Les anciennes règles de la vente au détail ne s’appliquent plus à cette génération". Portrait-robot de la Génération Z La Maîtrise des réseaux sociaux Pragmatique, mais aussi indépendante, la Génération Z est désormais étudiée dans ses moindres comportements. Génération Y ou Génération Z ? Les études vous définissent. Publié le mardi 03 novembre 2015 à 12:14 par Laura JARRY. . Le grand jeu sociologique et médiatique de ces dernières années a été de décrypter "les jeunes".

Le but était de mieux comprendre ces nouveaux individus qui se construisaient totalement différemment ; le résultat a été le plus souvent une accumulation de chiffres, voire de clichés. Tour d'horizon. Génération Y Les "Millenials" (ou enfants du siècle, du web) sont nés entre 1985-2000. La génération du zapping. La génération de Loft Story. La génération des Indignés. Ils ont le look hipster. Au travail, ce sont des traditionnels connectés. Génération Z Les "Silencieux" sont nés entre 1995-2005. La génération du tactile.

La génération Secret Story. La génération des Résignés. Ils ont le look normcore. Laura JARRY. Générations X, Y et Z : l'équation du management intergénérationnel. « La Grande InvaZion » : une étude sur la génération Z. Afin de mieux comprendre la génération Z et leur vision de l’entreprise de demain, BNP Paribas et The Boson Project publient l’étude « La Grande InvaZion », une enquête réalisée auprès de 3 200 jeunes français de 15 à 20 ans.

Retrouvez en téléchargement en bas de l'article l'étude complète. Génération Z : des identités mouvantes et connectées Ouverts sur le monde, ils sont près de 70 % à vouloir travailler à l’international.Ils sont multi-identitaires, débrouillards et connectés.La réussite par le réseau : ils sont 40 % à penser que le réseau prévaut sur les études pour réussir professionnellement. Ils se définissent comme : Le travail et l’entreprise vus par la génération Z La vision de l’entreprise est négative pour la plupart d’entre eux : elle est qualifiée de « dure », « compliquée » et « difficile »…Un sentiment qui résulte d’une méconnaissance du monde entrepreneurial : pour 36 % des jeunes, l’entreprise évoque le stress, car définie comme « inconnue » et « fermée ».