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La génération Y : un concept marketing ?

La génération Y : un concept marketing ?
Digital natives, Millennials, Net Gen, Génération Y, Corporate Hackers, génération Me Me Me... Le nombre de définitions utilisées pour désigner « les jeunes » est déconcertant. Cela pourrait même être une spécificité générationnelle en tant que telle : être la génération possédant le plus de qualificatifs dénominatifs. Un concept flou Pour de nombreuses définitions, c'est l'âge de naissance qui compte et qui réunit via deux dates un groupe d'individus. Pour plusieurs de ces définitions, ce n'est pas une histoire d'âge mais d'outil : le digital. Cette bataille syntaxique interpelle : pourquoi tant de termes pour un même phénomène ? Marketing contre sociologie Le marketing puis les sciences de gestion se sont rapidement emparées du phénomène Y. La définition d'une génération est de réunir des individus qui malgré leur diversité sont « reliés en un tout homogène par le fait qu'ils dépendent des mêmes grands événements et changements survenus durant leur période de réceptivité».

Génération Z XEnvoyer cet article par e-mail Génération Z XEnvoyer cet article par e-mailGénération Z Management Les générations se suivent et ne se ressemblent pas Lucides mais idéalistes, en quête de liberté mais aussi de réassurance, solidaires mais sélectifs, plus à l'aise dans l'échange virtuel que dans le contact direct… La génération Z, ces natifs des années 1990, offre un portrait fait d'aspirations contradictoires et de valeurs paradoxales. Celle d'individus gouvernés par l'affect, dans l'entreprise comme ailleurs. Des mois, des années même que l'on nous parle de la génération Y, que des manuels de RH et des coachs en management décryptent leur mode de fonctionnement, leurs valeurs, leurs attentes. Plus jeune, cela va sans dire, puisqu'il s'agit des natifs des années 1991-1999, et surtout, plus complexe. “Ils sont extrêmement informés, conscients des réalités de l'entreprise et du monde du travail tout autant que des risques encourus par la planète. Pour Nathalie Damery, le risque est réel.

La génération Y est vraiment la grande perdante des trente dernières années Une étude exclusive du Guardian portant sur sept économies occidentales révèle que les vingtenaires vivent désormais au-dessous du niveau national de leurs pays respectifs. La fameuse Génération Y, celle née entre 1980 et le milieu des années 1990 –ou plutôt ses composantes socialement diverses– avait donc raison de se plaindre. Une étude publiée par le Guardian portant sur sept pays occidentaux révèle qu’alors que les jeunes adultes gagnaient plus que la moyenne nationale de leurs pays respectifs il y a trente ans ans, leurs revenus sont désormais de plus de 20% inférieurs à cette moyenne dans plusieurs économies dont la France. En France toujours, alors que les revenus des retraités ont explosé —plus de 60% d’augmentation entre 1978 et 2010 par rapport à la moyenne nationale– ceux des jeunes de 25 à 29 ans ont connu une évolution négative sur la même période, toujours par rapport à cette moyenne (-8%). Chômage, immobilier, crise de la dette Partagez cet article

La génération Z passée aux rayons X Ces derniers jours, une nouvelle expression s’est imiscée dans les médias : celle de "génération Z". Une nouvelle catégorie sociologique qui chasse la génération Y du devant de la scène. Mais que représente-t-elle vraiment ? Et quelles sont ses caractéristiques ? Décryptage. Après les générations X et Y, voici venu le temps de la génération Z. Si les enfants de la génération Z font aujourd'hui leur apparition dans les médias, c'est qu’ils atteignent l'âge adulte, et ne vont donc pas tarder à faire leur entrée sur le marché du travail. Au vu de son hyperconnectivité constante, les prophéties au sujet de cette génération se succèdent. Le second, tout juste âgé de 16 ans, appartient à cette génération Y. Des incompétents ? En 2012, Le Figaro écrit un article intitulé : "Génération Z" : des connaissances superficielles. "Le titre de l’article du Figaro veut clairement dire que les jeunes sont incompétents, ce qui est choquant, analyse Eric Delcroix. "Vous me suivez ou je dégage"

Les conditions de travail, premier facteur de l'absentéisme Métro-boulot-dodo ? Oui, mais pas toujours boulot ! Chaque semaine près de 680 000 personnes sont absentes de leur emploi au moins une journée pour raison de santé. Métro-boulot-dodo ? Oui, mais pas toujours boulot ! Chaque semaine près de 680 000 personnes sont absentes de leur emploi au moins une journée pour raison de santé (3,6 % des salariés), les conditions de travail étant la cause principale de l'absentéisme, selon une étude de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares). Menée sur la période 2003-2011, l'étude de la Dares (qui dépend du ministère du travail) met en lumière l'absentéisme en fonction de différents facteurs, tels que la nature du contrat de travail, l'âge et le sexe, la catégorie socioprofessionnelle ou le secteur d'activité. >> Lire aussi : "Pendant la crise, l'absentéisme au travail diminue" Stabilité de l'emploi. Homme ou femme ? Age des salariés. Paris ou province ?

Qu'est-ce qu'une Scop ? Les Scop, Sociétés coopératives, désignent les entreprises à statut Scop (Société coopérative et participative) et à statut Scic (Société coopérative d’intérêt collectif). Soumises à l’impératif de profitabilité comme toute entreprise, elles bénéficient d’une gouvernance démocratique et d’une répartition des résultats prioritairement affectée à la pérennité des emplois et du projet d’entreprise. Les deux formes juridiques de Sociétés coopératives : La Scic Dans une Scic, les mécanismes coopératifs et participatifs sont identiques à ceux de la Scop. Toutefois, les membres associés au capital sont par définition de toutes natures : salariés mais aussi celles et ceux qui souhaitent s’impliquer dans le projet : clients, bénévoles, collectivités territoriales, partenaires privés, etc. Pour mieux comprendre ce que sont les Scop, les Scic et même les CAE, découvrez le premier film d'animation sur les Sociétés coopératives :

La société coopérative d’intérêt collectif : l’entreprise de demain ? Julien Besnard a franchi le pas en 2011. Il a choisi une structure de l’économie sociale et solidaire pour lancer son entreprise d’autopartage, Citiz IDF Ouest. Le jeune homme s’est ainsi tourné vers le statut de SCIC (société coopérative d’intérêt collectif). Créé par la loi du 17 juillet 2001, ce n’est que depuis 2012 que ce statut connaît une montée en puissance avec une centaine de SCIC créées chaque année. D’une part, elle permet d’associer l’ensemble des parties prenantes (bénéficiaires, salariés, collectivités, financeurs…) à la gouvernance de l’entreprise, sur le principe coopératif 1 personne = 1 voix. D’autre part, elle permet de répondre à un besoin collectif, identifié sur un territoire, à un moment où les collectivités publiques peinent à remplir leurs caisses. Rentabilité économique Pour Julien Besnard, l’objectif est de rendre la ville plus durable, en se déplaçant autrement. Pour amorcer l’activité, il commence par acheter deux premiers véhicules. Des entreprises pérennes

AVANTAGES Travailler en SCOP, qu’est-ce que ça change pour le salarié ? Les Sociétés coopératives ouvrières et participatives se différencient sur le partage équitable du pouvoir, des risques, de l’information et des profits. Concrètement, ça veut dire quoi ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Solène Lhénoret Comme toute entreprise, la société coopérative ouvrière et participative (SCOP) doit être rentable pour se développer et pérenniser ses projets. Elle se différencie sur le partage équitable du pouvoir, des risques, de l’information et des profits. Travailler dans une telle société permet d’être associé à un projet commun, mais qu’est-ce que ça change concrètement pour le salarié ? Pourquoi monter une SCOP ? Goodyear, Fralib, SeaFrance, Lejaby… ces entreprises en difficulté ont fait connaître l’existence des SCOP au grand public. Dans d’autres cas, le dirigeant d’une entreprise traditionnelle peut souhaiter partir à la retraite, et décider de transmettre son entreprise saine à ses salariés par le biais d’une SCOP. Partage des risques… et des bénéfices

Les Scop sont pérennes et créent de l’emploi Les Scop ont pour particularité d'avoir des salariés majoritaires au capital. Elles privilégient la recherche d'une rentabilité sur le long terme et leur gouvernance est dite "démocratique" (au moins 65% des voix pour les salariés associés, chaque associé dispose d'une voix, quelle que soit la part de capital détenue). Elles distribuent en moyenne 40% des résultats aux salariés et investissent bien d’avantage qu’une entreprise classique.Les résultats s’en ressentent. Outre des conditions de travail plus respectueuses et motivantes, les scops affichent un taux de pérennité à 3 ans de 76 % contre 71 % pour les entreprises françaises, selon le bilan de la Confédération générale des Scop publié mercredi. Selon une étude d'impact du gouvernement, le nombre de transmissions d'entreprises saines en Scop de plus de 10 salariés pourrait représenter sur dix ans "300 à 400 opérations", soit "6% à 8% des entreprises à reprendre dans le cadre de successions".

Scop Le Pavé : l'éducation populaire dans ta face Tous les six y croyaient, pourtant. Animateurs culturels, responsables de Maison de la jeunesse et de la culture ou militants associatifs : ils pensaient faire depuis des années de « l’éducation populaire ». Alors que : non. Il s’agissait de partenariat, de diagnostic, de citoyenneté. Retour à nos six compères et à leur désillusion. Une « association de travailleurs propriétaires de leur moyen de production » Ils ont donc quitté leur emploi de « cultivateur de fumier culturel » pour aller vers autre chose. Une Scop induit quelques principes : égalité de salaires, pas de hiérarchie, refus de la spécialisation. Leur Scop a officiellement été créée en 2007 - avec un nom approprié : Le Pavé. Conférences gesticulées et autres formations à la démocratie directe L’une des spécialités de la Scop le Pavé est donc la présentation de conférences gesticulées. S’y ajoute un troisième ingrédient : l’humour. Mais les conférences gesticulées restent une part mineure du travail de la SCOP.

Jargon de la Walt Disney Company dans les parcs à thèmes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au sein de la Walt Disney Company, il existe plusieurs jargons, celui du cinéma et de l'animation dans les studios, de l'informatique et du jeu vidéos dans les filiales associées à ces métiers. De même, la division des parcs à thèmes possède son propre jargon. Ce dernier peut être considéré comme spécifique à Disney en raison du développement du concept des parcs à thèmes par Walt Disney pour Disneyland. Actuellement quatre ouvrages grand public recensent explicitement certains termes utilisés comme étant un jargon spécifique dans des sections baptisées Imagineering Lingo[1]. Ils ont toutefois été écrits par les employés de Disney mais de nombreux ouvrages liés aux parcs Disney reprennent ces termes. L'utilisation d'un jargon[modifier | modifier le code] Une culture d'entreprise[modifier | modifier le code] Lors des recrutements des futurs employés des parcs, le mot d'ordre est « La Magie c'est Vous! 101 ou one oh one[3] 102 one-oh-two[3]

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