Borsippa
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Borsippa, ou Barzipa, est une ville antique de Mésopotamie. Elle correspond au site actuel de Birs Nimrud, à environ 20 km au sud-ouest de Babylone. Borsippa existait peut-être dès l’époque d’Ur III. Après la chute du royaume babylonien en 539, et la constitution de l’Empire perse achéménide, Borsippa reste une cité importante.
Voici comment on se battait (vraiment) au Moyen-âge
FAUX. Oubliez Aragorn le dernier héritier du trône du Gondor qui fait valser les membres et les têtes d'un bataillon d'orques caparaçonnés dans le Seigneur des Anneaux. Oubliez les puissants coups d'estoc qui empalent de part en part des ennemis protégés par un plastron de métal. "Cette vidéo a été tournée dans le cadre de mon travail de doctorat" a expliqué Daniel Jaquet à Sciences et Avenir. L'armure ne contraint que très peu la mobilité "La plupart des armures médiévales que vous pouvez acheter sont des répliques plus esthétiques que fonctionnelles, commence le chercheur. "Je me suis débrouillé pour lever des fonds et faire construire l'armure que je porte dans cette vidéo, en utilisant des techniques les plus proches possibles de celles de l'époque", explique Daniel Jaquet. "Au final, l'armure ainsi que les vêtements de maille et de tissu portés dessous pèsent 35 kilos", chiffre le chercheur. Illustration : page de garde du roman de Mark Twain Emprise d’armes. INFRANCHISSABLE.
Astronomie babylonienne
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’astronomie babylonienne désigne les théories et les méthodes astronomiques développées dans l’ancienne Mésopotamie, le « pays entre les deux rivières » Tigre et Euphrate (dans l’Irak actuel), et où s'épanouirent les royaumes de Sumer, d’Akkad, de Babylonie et de Chaldée. L’astronomie babylonienne est à la source des traditions ultérieures de l'astronomie grecque et hellénistique, de l’astronomie indienne classique, de celles des Sassanides, des Byzantins et des Syriens, de l’astronomie médiévale des Musulmans et des Européens[1]. Les sources classiques grecques et latines désignent fréquemment les astronomes de Mésopotamie du nom de Chaldéens : il s’agissait en réalité de prêtres-scribes spécialisés dans l’astrologie et d’autres formes de divination. Entre le VIIIe siècle av. L’astronomie paléo-babylonienne[modifier | modifier le code] Les origines de l’astronomie occidentale se trouvent en Mésopotamie. Au IVe siècle av.
Site de Palmyre
Valeur universelle exceptionnelle Brève synthèse Oasis du désert de Syrie au nord-est de Damas, Palmyre abrite les ruines monumentales d'une grande ville qui fut l'un des plus importants foyers culturels du monde antique. Au carrefour de plusieurs civilisations, l'art et l'architecture de Palmyre allièrent aux Ier et IIe siècles les techniques gréco-romaines aux traditions locales et aux influences de la Perse. Mentionnée pour la première fois dans les archives de Mari au IIe millénaire av. La découverte des ruines de la cité par des voyageurs aux XVIIe et XVIIIe siècles a influencé par la suite les styles d'architecture. Critère (i) : La splendeur des ruines de Palmyre qui se dressent dans le désert syrien au nord-est de Damas témoigne de la réalisation esthétique unique d'une oasis caravanière prospère, tour à tour indépendante et soumise à Rome du Ier au IIIe siècle. Intégrité(2009) Authenticité (2009) La grandeur et la splendeur des éléments essentiels est bien mise en valeur.
Assyrie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cœur historique de l'Assyrie (en rouge), et l'empire assyrien lors de son extension maximale sous le règne d'Assurbanipal au milieu du VIIe siècle av. J.-C. (en orange). La grande quantité de documentation épigraphique et archéologique collectée pour la période assyrienne depuis près de deux siècles permet de bien connaître de nombreux aspects de ce royaume qui est une des composantes essentielles de la civilisation mésopotamienne ancienne, au même titre que celui qui est devenu son rival méridional, le royaume de Babylone. Pour les Assyriens d'aujourd'hui, voir l'article « Assyriens ». Redécouverte de l'Assyrie[modifier | modifier le code] Le souvenir des Assyriens avant les fouilles du XIXe siècle[modifier | modifier le code] Le souvenir du royaume assyrien perdurait dans la tradition occidentale avant les premières fouilles sur les sites de l'Assyrie par le biais de plusieurs sources antiques[1]. Une cité-État[modifier | modifier le code]
Jardins suspendus de Babylone
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les jardins suspendus de Babylone sont un édifice antique, considéré comme une des sept merveilles du monde antique. Ils apparaissent dans les écrits de plusieurs auteurs grecs et romains antiques (Diodore de Sicile, Strabon, Philon d'Alexandrie, etc.), qui s'inspirent tous de sources plus anciennes disparues, dont le prêtre babylonien Bérose. C'est à ce dernier que l'on doit l'histoire de la construction de ces jardins par Nabuchodonosor II afin de rappeler à son épouse, Amytis de Médie, les montagnes boisées de son pays natal. Lors de la redécouverte et des fouilles de Babylone (dans le sud de l'Irak actuel) au début du XXe siècle, l'emplacement des jardins suspendus a été cherché. Mais alors que les autres constructions mythiques de la ville (Tour de Babel/ziggurat, murailles, palais royaux) ont été retrouvées par l'archéologie et la traduction des inscriptions anciennes, cela n'a pas été le cas des jardins.
Monuments virtuels et patrimoines numérisés, quelle représentation du temps ? | L'âge du Virtuel
Publicité pour le lancement du projet trans-média de Dassault systèmes sur Paris 3D publiée en 2012. Poursuivant ma réflexion sur le concept d’uchronie, une investigation sur les représentations iconiques du temps apparaît comme une évidence. Loin de nous toutefois l’idée de vouloir interroger la représentation du temps sur la longue durée; il s’agit plus modestement de réfléchir à comment les dispositifs numériques qui re-documentent le patrimoine documentaire ou monumental mettent-ils en scène le temps, ce concept si complexe à définir et à cerner ? Ce questionnement est naît d’une des particularités de la plate-forme Omeka, dispositif hybride de gestion documentaire et de valorisation patrimoniale de ressources numériques, qui propose aux usagers une consultation chronologique des archives organisées et présentées grâce au plugin “Neatline Time”. Interface de consultation permettant d’accéder aux restitutions infographiques temps réel de Paris 3D. Imprimer ce billet
Alamut
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Échafaudages mis en place par l'Iran's Cultural Heritage Organization. Alamut est le nom d’une vallée du massif de l'Alborz au sud de la mer Caspienne, près de la ville de Qazvin, à 100 kilomètres de l'actuelle Téhéran, dans le nord-ouest de l'Iran actuel. Cette forteresse a été construite vers 840. Le mot Alamut, en persan alamōt, الموت, signifierait « Nid de l'aigle » ou « Leçon de l'aigle[2] » dans le dialecte local. La forteresse a été prise en 1090 par Hassan ibn al-Sabbah surnommé le « Vieux de la Montagne », (Chaykh al-Jabal [4]) pour servir de base à la secte chiite ismaélienne des Nizârites, aussi appelés Assassins. En 1256, la forteresse d’Alamut se rendit sans combat à l'armée mongole d'Houlagou Khan qui déferlait sur l'Iran. Liste des chefs des Nizârites à Alamut[modifier | modifier le code] Cette liste ne concerne que les imams ayant régné dans la forteresse. La légende de la Forteresse d'Alamut[modifier | modifier le code]