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Empire d'Akkad

Empire d'Akkad
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Akkad. L'empire d'Akkad (ou empire akkadien) ou empire d'Agadê, est un État fondé par Sargon d'Akkad qui domina la Mésopotamie de la fin du XXIVe siècle av. J. Bien qu'il soit difficile de démêler la réalité de la légende dans ces récits, d'autant plus que la documentation écrite datant de cette époque est essentiellement de nature administrative (tablettes de gestion et de comptabilité), la période de l'empire akkadien semble avoir marqué un profond changement dans le domaine politique, perceptible tant dans l'organisation du pouvoir et son idéologie que dans l'art officiel. Sources[modifier | modifier le code] L'activité des rois d'Akkad est également connue par diverses inscriptions qu'ils ont fait rédiger[3]. Histoire[modifier | modifier le code] La création du royaume[modifier | modifier le code] Les grandes conquêtes[modifier | modifier le code] La chute d'Akkad[modifier | modifier le code] ↑ (en) B.

Mashkan-shapir Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mashkan-shapir est une ville antique de Basse-Mésopotamie, correspondant au site de Tell Abu Dhuwari, situé à 40 km au sud-ouest de la ville actuelle de Kut el-Imara, et qui a été fouillé dans les années 1980 par une équipe américaine. Mashkan-shapir était aux XIXe etXVIIIe siècle av. J.-C. la seconde capitale du royaume de Larsa, destinée à faciliter le contrôle de la région septentrionale de celui-ci. Les canaux principaux divisaient la ville en plusieurs quartiers. Mashkan-shapir demeure une ville importante du royaume de Larsa jusqu’à la prise de celui-ci par Hammurabi de Babylone vers 1764 av. (en) E.

Annunaki (5)- Sargon 1er roi d'Akkad et de Kalam - Je blogue donc je suis Sargon 1er en demi-dieu à tête d'aigle (Griffon d'or). Peinture numérique sur toile exposée à la vente dans les galeries virtuelles "Fine Art America" et " ArtQuid" Akkad est une dérivation arabe du terme chaldéen "Agade", désignant la capitale de l'empire akkadien, de la même manière que le vieux terme chaldéen "magane" désignant un lieu, soit devenu "makkane" (encore utilisé aujourd'hui en arabe classique pour designer un lieu.) Le terme Kalam (terre, régions, le monde), a d'abord été attribué au demi-dieu Enlil "Roi de Kalam" ou "Roi de la terre". Utilisé dans le titre attribué à Sargon 1er, il signifiait très probablement " les autres régions" ou "les autres terres" par opposition à la terre d'Akkad d'où il était originaire. La civilisation Akkadienne est de loin la plus ancienne civilisation connue par nous. Mais revenons à notre histoire et aux personnages illustres de l'ancienne Mésopotamie.

Jardins suspendus de Babylone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les jardins suspendus de Babylone sont un édifice antique, considéré comme une des sept merveilles du monde antique. Ils apparaissent dans les écrits de plusieurs auteurs grecs et romains antiques (Diodore de Sicile, Strabon, Philon d'Alexandrie, etc.), qui s'inspirent tous de sources plus anciennes disparues, dont le prêtre babylonien Bérose. C'est à ce dernier que l'on doit l'histoire de la construction de ces jardins par Nabuchodonosor II afin de rappeler à son épouse, Amytis de Médie, les montagnes boisées de son pays natal. Lors de la redécouverte et des fouilles de Babylone (dans le sud de l'Irak actuel) au début du XXe siècle, l'emplacement des jardins suspendus a été cherché. Les données des textes antiques[modifier | modifier le code] Les sources écrites[modifier | modifier le code] Les jardins suspendus apparaissent dans les textes d'une poignée d'auteurs grecs et d'un Romain. Diodore de Sicile (Ier siècle av.

Akkad Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Akkad. Akkad existait sans doute déjà avant que Sargon d'Akkad n'en fasse la capitale de son empire au XXIVe siècle av. J.-C. Selon les textes, il en fit une capitale à l'image de sa puissance : il y bâtit un grand palais royal, ainsi que de nombreux temples, le principal étant voué à Ishtar, la déesse protectrice de la dynastie d'Akkad.

Babylone - Wikip?dia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Babylone occupe une place à part en raison du mythe qu'elle est progressivement devenue après son déclin et son abandon qui a lieu dans les premiers siècles de notre ère. Ce mythe est porté par plusieurs récits bibliques et également par ceux des auteurs gréco-romains qui l'ont décrite et ont ainsi assuré une longue postérité à cette ville, mais souvent sous un jour négatif. La redécouverte de Babylone[modifier | modifier le code] Murs de Babylone le soir en 1970 Les explorations des sites de la Mésopotamie antique débutèrent dans le courant de la première moitié du XIXe siècle et se firent plus intenses dans les décennies qui suivirent. Les premières explorations et fouilles du site[modifier | modifier le code] Les fouilles allemandes[modifier | modifier le code] Le chantier des fouilles allemandes sur le tell du Kasr au début du XXe siècle. Les fouilles après 1945[modifier | modifier le code] La période kassite[modifier | modifier le code]

Borsippa Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Borsippa, ou Barzipa, est une ville antique de Mésopotamie. Elle correspond au site actuel de Birs Nimrud, à environ 20 km au sud-ouest de Babylone. C’est la cité du dieu du savoir et de la sagesse, Nabu, et de sa parèdre, Tashmêtum. Borsippa existait peut-être dès l’époque d’Ur III. Elle prend de l’importance à la période paléo-babylonienne (première moitié du IIe millénaire), où elle est un centre important du royaume de Babylone, auquel elle appartient dès lors. Après la chute du royaume babylonien en 539, et la constitution de l’Empire perse achéménide, Borsippa reste une cité importante.

Sippar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sippar (sans doute plutôt prononcé Sippir dans l'Antiquité, écrit Zimbir en idéogramme sumérien) est le nom porté par deux villes voisines de Basse-Mésopotamie, actuellement le sud de l'Irak, situées au nord-ouest de Babylone, et séparées d'à peine sept kilomètres. Les deux villes portaient plusieurs noms, mais on garde généralement la référence à leur divinité principale pour les différencier. La ville de Sippar est citée comme l'une des plus anciennes de la Mésopotamie dans la Liste royale sumérienne. Sippar de Shamash (Abu Habbah)[modifier | modifier le code] Autres noms : Sippar-Yahruru(m), Sippar-sati(m), Sippar-seri(m). Ce site a été fouillé par Hormuzd Rassam en 1881, qui explora le temple de Shamash, et en rapporta près de soixante mille fragments de tablettes, dont beaucoup sont issus de fouilles clandestines. Le cœur de cette ville était le temple du dieu-Soleil Shamash, l'Ebabbar, protégé par une enceinte intérieure.

Les Babyloniens Les Babyloniens Le peuple Babylonien, à proprement parler, n'existe pour ainsi dire pas : il est le resultat des divers mélanges de populations : Akkadiens, Sumériens, Kassites, Amorrites... L'Empire Babylonien, lui , sera un élément politique central dans la mosaïque mésopotamienne, et ce du Xème siècle av. jusqu'au IIème siècle, avec la période dite "néo-babylonienne". Parmi les grands souverains babyloniens, on trouve Hammurabi (-1750) Nabuchodonosor (-605 -562)...

Code d'Hammurabi Contexte de rédaction[modifier | modifier le code] Du point de vue de la littérature juridique, le royaume babylonien dispose de structures judiciaires typiques de la tradition mésopotamienne : le roi est le juge suprême, les membres de l'administration (notamment les gouverneurs) ont souvent des attributions judiciaires de même que les autorités locales (conseils d'Anciens et conseils de quartiers des villes), mais il existe également des juges professionnels (dayyānum). Ces autorités rendent souvent justice de façon collégiale, après une procédure d'instruction reposant sur la recherche de preuves, notamment des témoignages et des documents écrits comme des contrats[2],[3]. Sources : la stèle et les copies[modifier | modifier le code] Stèle du Code[modifier | modifier le code] La stèle mesure 2,25 mètres de haut et 55 centimètres de large environ, taillée dans un monolithe de basalte noir extrait dans les montagnes du Zagros ou de Haute Mésopotamie[11]. — Prologue du Code[29]. D.

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