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En quête de sciences

En quête de sciences
Plusieurs articles parus dans la presse britannique ou sur le Web ont relayé les résultats d'une étude scientifique qui aurait expliqué les émeutes londoniennes d’août par des carences en une certaine substance chimique présente dans le cerveau humain. Des conclusions totalement infondées. Consternés, les scientifiques à l'origine de cette recherche nous ont fait parvenir la tribune ci-dessous, publiée à l'origine dans le Guardian. Par Petroc Sumner, Frédéric Boy et Christopher Chambers, chercheurs en neurosciences cognitives, School of Psychology, Cardiff University. Avez-vous entendu dire que les émeutes dévastatrices à travers l'Angleterre1 étaient dues à une carence d’une substance chimique dans le cerveau ? Ou bien que nous allions bientôt être en mesure de réduire le nombre d’émeutes en utilisant un spray nasal contenant des extraits de cette substance ?

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La science, la cité 20 oct. 2013 Quand nous avons laissé Bruno Latour la dernière fois, il nous incitait à “changer de société, refaire de la sociologie” (un mauvais livre selon les sociologues de ma connaissance), remettait au goût du jour l’anthropologie économique de Gabriel Tarde, s’intéressait au “culte moderne des dieux faitiches“… Surtout, il se retrouvait à la tête de la direction scientifique de Sciences Po Paris, où il a introduit les humanités digitales (avec le Médialab), les humanités scientifiques, la cartographie de controverses, les arts politiques (création de SPEAP - Sciences Po Expérimentation en Arts et Politique) etc. Il y publiait aussi un livre sur les humanités scientifiques (que je n’ai pas lu). Mais voilà que récemment, après la mort de Richard Descoings, il démissionnait de son poste de directeur scientifique pour se concentrer, comprenait-on, sur son “enquête sur les modes d’existence” qui avait obtenue l’une des plus prestigieuses bourses de recherche en Europe : l’ERC “Ideas”.

La technologie est-elle toujours la solution ? (2/2) : le risque du solutionnisme Dans une récente tribune pour le New York Times, l’essayiste et chercheur Evgeny Morozov (@evgenymorozov) expliquait assez clairement ce qu’il définit comme le « solutionnisme », qui est le second concept au coeur de la critique du livre qu’il vient de publier Pour tout sauver, cliquez-là. L’actualité apporte chaque jour son lot de nouveaux services en ligne, tous plus indispensables les uns que les autres, comme LivesOn, le service qui vous propose une vie sociale après la mort, en vous permettant de continuer à twitter après votre mort, grâce à l’analyse des tweets que vous avez publiés jusque-là, via un algorithme capable de prolonger vos goûts et votre syntaxe en les greffant à l’actualité. Ce service (qui semble être une parodie) « met en évidence l’idéologie dominante de la Silicon Valley aujourd’hui » estime Morozov : « ce qui doit pouvoir être perturbé doit l’être, même la mort ». La technologie veut tout transformer, tout socialiser Même l’ennui pourrait bien disparaître demain.

Sciences Po Recherche Publication du cevipof La France au front : Essai sur l’avenir du Front national Par Pascal Perrineau, Fayard Le Front national est-il en passe d’accéder au statut de « grand parti » ? Après avoir prospéré pendant près de trente ans sur les désillusions, les rejets et les inquiétudes, il aspire aujourd’hui à sortir de cette enclave. Le moment est propice : plus que jamais, la crise économique et sociale accentue le discrédit qui touche les deux grandes forces de gouvernement autour desquelles s’organisent les alternances depuis des décennies. Numérique : cette empreinte écologique que les consommateurs ont bien du mal à voir Envoyer un mail, transférer ou répondre à un message... Autant de banals clics qui génèrent pourtant une quantité non négligeable d’émissions de CO2. L’envoi de courrier électronique dans une entreprise de 100 personnes équivaut à quatorze allers-retours Paris – New York (13,6 tonnes de CO2) chaque année. Quant aux requêtes Internet, via un moteur de recherche, elles représentent en moyenne 9,9 kg de CO2 par an et par internaute. Soit un total d’environ 450 000 tonnes de CO2 pour les 46 millions d’internautes français [1]. Apparemment virtuel, le web inclut des équipements très concrets qui consomment beaucoup d’énergie, à commencer par les serveurs et les centres de stockage des données.

Espace des sciences - Sciences Ouest n° 273 Février 2010 - 12 no Current Size: 100% Espace des sciences - Sciences Ouest n° 273 Février 2010 - 12 nouvelles figures de la recherche Dimanche 9 septembre 2012 | 13H57 DOSSIER - Prix Bretagne jeune chercheur A la recherche de la faille Lauréat du Prix Bretagne jeune chercheur, Tanguy Le Borgne est un spécialiste des sous-sols fracturés. La mer à l'assaut du cancer Ses travaux sur la mort cellulaire cible le traitement de cancers. Piratebox, ou comment échapper au Big Brother de l'Internet Partager anonymement des photos ou des documents lors d’une rencontre ou d’une mobilisation, mettre à disposition de tous des ebooks, des films ou de la musique : c’est ce que permettent entre autres les piratebox. Cet outil crée un réseau informatique local accessible en wifi, totalement anonyme et gratuit. Tout le monde peut s’y connecter avec un ordinateur ou un smartphone, pour télécharger des documents, en ajouter ou échanger par chat. Comme pour notre alimentation, les circuits courts ont de beaux jours devant eux ! Et si lors d’un prochain évènement, manifestation ou meeting, contre l’austérité ou l’oligarchie des « 1% », en plus des habituels appels à mobilisation et textes plus ou moins subversifs qui encombrent poches et sacoches des participants, les organisateurs proposaient une alternative ? Un outil, une philosophie, un état d’esprit

Back to Light – Quand un artiste utilise le potentiel électrique des fruits et des arbres Skip to content ufunk ufunk La Sélectiondu Week-End [74 images] La Sélection du Week-End n°230 Toutes les Sélections du Week-End Tempête à l'INRA autour d'un rapport sur l'agriculture biologique Ils sont agronomes, géographes, économistes, sociologues, généticiens ou encore chercheurs en cancérologie. Ils travaillent dans des écoles d’agronomie, des universités ou des instituts reconnus de la recherche française, tels que le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Ce matin, ils sont cent seize chercheurs à avoir signé en leur nom propre une longue lettre adressée au PDG de l’INRA. Reporterre a pu se la procurer : elle demande le retrait de ce qui était présenté comme une grande synthèse scientifique de l’institut sur l’agriculture biologique. Une copie a même été adressée au ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll. Lettre à télécharger :

La technologie fait de nous des super-héros avec des super-pouvoirs Vous avez toujours rêvé de devenir un super-héros ? De voler, d’avoir une force surhumaine, de contrôler les objets à distance, ou d’être invisible ? À défaut d’avoir la fortune de Bruce Wayne et les gènes kryptoniens de Superman, découvrez comment la technologie vous permet (ou vous permettra) d’acquérir plein de super-pouvoirs et de réaliser vos fantasmes les plus fous. Le pouvoir : L’INVISIBILITÉ Vu chez : La Femme invisible (Les Quatre Fantastiques), Violette (Les Indestructibles) La techno : La cape d’invisibilité Oui, oui, une cape d’invisibilité comme dans Harry Potter, qui cacherait celui qui se trouve à l’intérieur.

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