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CCI Nouvelle-Calédonie

CCI Nouvelle-Calédonie
Destiné aux structures touristiques, le label international de gestion environnementale favorise le développement de démarches respectueuses de l’environnement (cadre de vie, gestion déchets, énergie, eau, espaces naturels…). Vous êtes une structure touristique et vous souhaitez obtenir ce label, la CCI vous accompagne. Les critères politique environnementalesensibilisation à l’environnementgestion de l’énergiegestion de l'eaugestion des déchetsachats responsablescadre de vie En savoir plus sur le label Clé verte, www.laclefverte.org Pour accéder au label Clé verte, le conseiller Environnement de la CCI-NC vous informe sur les démarches, les procédures d’attribution et les aides financières.Tél. (687) 24.31.15 - environnement@cci.nc (link sends e-mail)Sur rendez-vous uniquement Related:  RISQUE ENVIRONNEMENTAL

Acotred Pacifique : Collecter, traiter et valoriser les déchets Les sociétés spécialisées dans la gestion des déchets ont souhaité créer en 2011 l'Association des professionnels de collecte et traitement des déchets Pacifique. L'objectif étant de promouvoir leurs activités tout en sensibilisant à la protection de l'environnement. « Le Syndicat professionnel de collecte, traitement et recyclage des déchets de Nouvelle-Calédonie qui a vu le jour en 2007 a changé de statut et s'est transformé fin 2011 en l'Association des professionnels de collecte et traitement des déchets Pacifique », explique Monique Chemarin, coordinatrice environnement à Acotred Pacifique. Un changement motivé par une volonté d’étendre les activités des acteurs du traitement et de la valorisation des déchets. Sensibiliser Frédérique de Jode Acotred en chiffres 53 % des entreprises du secteur85 % des parts de marché5,5 milliards de chiffre d’affaires400 emplois200 000 tonnes de déchets collectées en 2010/2011 Une nouvelle filière réglementée : les DEEE

TRECODEC : Mettre en place la filière des DEEE en Nouvelle-Calédonie. | Observatoire Numérique de Nouvelle-Calédonie Entretien avec Angèle Champagnac, Responsable Administrative et Opérationnelle des filières de déchets recyclables. L’éco organisme Trecodec est né en 2008, dans un contexte de nouvelle réglementation provinciale. Sa responsable administrative et opérationnelle, Angèle Champagnac, fait le point sur la filière des déchets des équipements électriques et électroniques (DEEE ou D3E). Trecodec est une société de droit privé, au format juridique de SAS. La mission principale de Trecodec consiste à concevoir et mettre en œuvre des plans de gestion des déchets, sur le plan de la collecte et du traitement. Les ressources et financement de Trecodec proviennent des éco participations. Trecodec fait la place belle aux outils numériques dans ses actions, notamment par son site internet. La filière des DEEE est encore inexistante en Nouvelle-Calédonie. Cette potentielle filière comporte des enjeux environnementaux, bien sûr, mais aussi économiques.

Obligations | TRECODEC Cadre réglementaire de l’action de TRECODEC Aux termes du Code de l'environnement des Provinces : <<Toute personne qui produit ou détient des déchets dans des conditions de nature à produire des effets nocifs sur le sol, la flore et la faune, à dégrader les sites ou les paysages, à polluer l’air ou les eaux, à engendrer des bruits et des odeurs et, d’une façon générale, à porter atteinte à l’environnement, est tenue d’en assurer ou d’en faire assurer la gestion, dans des conditions propres à éviter lesdits effets.La valorisation des déchets est préférée à leur élimination chaque fois que les conditions techniques, économiques et géographiques le permettent>>. Vous pouvez télécharger les Codes de l'Environnement en cliquant ci-dessous: réglementation de la Province Sud; réglementation de la Province Nord. TRECODEC mène des actions de sensibilisation L'éco-organisme va au-devant des entreprises afin de les informer de leurs obligations réglementaires et de ses services.

Environnement et la maîtrise de l'énergie : les PME restent en quête de mode d'emploi Organisé à l'initiative de l'ADEME, le rendez-vous des PME permet de faire le point sur l'implication de ces entreprises dans le développement durable et reflète leurs attentes. Par-delà les convictions personnelles, les freins restent nombreux ! Près de deux ans après le Grenelle, l'environnement et la maîtrise de l'énergie s'affirment enfin comme des priorités pour les chefs des petites et moyennes entreprises (PME). Selon un sondage de l'ADEME réalisé début 2009 auprès de 1.000 patrons de PME de 1 à 249 salariés, 85% des chefs d'entreprise se disent préoccupés par la protection de l'environnement, et 82% d'entre eux par la maîtrise de l'énergie. 71% déclarent qu'elles auront une place importante à l'avenir dans la gestion de leur entreprise et que la crise actuelle n'aura pas d'impact sur leur prise en compte de ces problématiques. Pour autant, selon l'ADEME, seuls 28% des dirigeants de PME sont capables de formuler une mesure du Grenelle ayant un impact pour leur entreprise.

Respecter l'environnement : une démarche responsable mais encore peu rentable pour les PME " Nous ne sommes pas des écologistes, nous sommes juste responsables ". Pour Stéphane Carmine et son frère Sylvain, le respect de l'environnement est presque devenu une philosophie. Et dans leur domaine, le BTP, c'est plutôt rare ! A la tête de la société Carmine, la PME familiale de leur grand père, ils restaurent des immeubles et ravalent des façades. " Nous sommes des enveloppeurs ! Entre tradition et savoir faire, les deux frères ont décidé il y a une quinzaine d'années de diminuer l'impact environnemental de l'entreprise. En 2007, les Carmine ont d'ailleurs créé le label RQE (Recherche Qualité Environnementale) pour valoriser les démarches responsables des entreprises du bâtiment. Votre soutien est indispensable. Nous soutenir Et l'entreprise ne reçoit aucune compensation financière. " Il est difficile de dire ce que cela nous coûte mais c'est un calcul à long terme. " Nous ne sommes pas des écologistes, nous sommes juste responsables ". Votre soutien est indispensable.

Les PME ont tout à gagner à agir pour l’environnement Avec l’aide des consultants, « on a secoué le cocotier », assure Fabrice Saillard, responsable qualité-sécurité-environnement de l’entreprise vendéenne SVPM, spécialisée dans la peinture industrielle. Bilan de l’opération : 800 € d’économies chaque année. Un gain certes modeste… mais pour un investissement initial égal à zéro. « On a juste discuté avec le client qui nous envoyait les pièces à peindre sur des palettes de bois non standards », ajoute Fabrice Saillard. Après discussion, le client s’est équipé de palettes standards, que les employés de SVPM peuvent désormais conditionner et retourner à l’envoyeur… qui pourra les utiliser à nouveau. « En plus, j’ai réduit le risque incendie, en évitant de garder un tas de bois sur le site », ajoute Fabrice Saillard. Retour sur investissement Didier Airieau, directeur général de l’entreprise Atlanroute, a dû investir 370 000 €. Agir à la fois pour l’environnement et la compétitivité « C’est aussi une question d’image pour l’entreprise »

Environnement : comment les TPE et PME peuvent être accompagnées Dans une logique de protection environnementale toujours plus forte, la chasse au gaspillage est devenue une priorité. C’est dans cette optique que l’agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) a lancé le 9 novembre, son programme « TPE&PME gagnantes sur tous les coûts » afin d’encourager les entreprises à optimiser leurs ressources en eau, énergie, etc. >> À lire aussi : Fiscalité : le crédit d’impôt pour la transition énergétique prorogé jusqu’au 31 décembre 2017 << Le programme Ce programme destiné aux entreprises de moins de 250 salariés de l’industrie, de la distribution, de la restauration et de l’artisanat, propose un accompagnement sur un an dans le but d’identifier les pertes énergie-matières-déchets et de proposer un plan d’actions afin de les réduire et donc, de réaliser des économies. Il y a 4 étapes dans l’accompagnement : >> À lire aussi : Total offre une aide aux PME innovantes << Le coût Pour s'inscrire :

Sécuriser sa piscine : comment faire et ce que dit la loi Selon la loi (Art. L. 128-1.A) entrée en vigueur le 1er janvier 2004, 'les piscines enterrées non closes privatives à usage individuel ou collectif doivent être pourvues d'un dispositif de sécurité normalisé visant à prévenir le risque de noyade des enfants'. "Attention, cela concerne aussi les piscines semi-enterrées, précise Joëlle Pulinx Challet, Déléguée Générale de la Fédération des Professionnels de la Piscine et du Spa. Ainsi, une piscine en bois même enterrée de seulement 10 cm est aussi soumise à la loi". >> A lire aussi >> Comment bien sécuriser sa piscine ? Protection des piscines : quelles obligations ? En tant que propriétaire, vous êtes donc tenus de protéger votre bassin en installant l'un des 4 moyens de protection retenus par le législateur : barrière, alarme, couverture ou enfin abri, pour être en conformité avec la loi, il faut impérativement opter pour un système de protection normalisé (norme française NF P90-306 à 309). Piscine : faites barrière aux accidents

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