Machu Picchu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Machu Picchu (du quechua machu : vieille, et pikchu : montagne, sommet)[note 1] est une ancienne cité inca du XVe siècle au Pérou, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales. Son nom aurait été Pikchu ou Picho[1]. Selon des documents du XVIe siècle, trouvés par l'archéologue italien Lucas Pittavino, Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacútec. Abandonnée lors de l’effondrement de l'empire inca, Machu Picchu, la ville sacrée oubliée durant des siècles, est considérée comme une œuvre maîtresse de l’architecture inca. Localisation[modifier | modifier le code] Situation des ruines de Machu Picchu, dans le Cañón del Urubamba Le site se trouve à l’est de la Cordillère des Andes, aux limites de la forêt amazonienne[note 2] situé au Pérou (province d'Urubamba), à cent trente kilomètres de Cuzco[note 3]. Accès[modifier | modifier le code]
Île Pitcairn Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'île Pitcairn, en anglais Pitcairn Island (ou « les îles Pitcairn ») , est une île de l'océan Pacifique, île principale du territoire britannique des îles Pitcairn et abritant la capitale Adamstown. Pitcairn se situe à environ 5 000 km des côtes de la Nouvelle-Zélande et autour de 5 700 km de celles de l'Amérique du Sud et n'est accessible que par bateau depuis l'archipel des Gambier (possédant la piste d'atterrissage la plus proche (environ 540km au W-NW). Géographie[modifier | modifier le code] En tant que « Pays dépendant du Royaume-Uni », l'économie et certains travaux insulaires peut bénéficier d'aides européennes[4] En créole, Pitcairn se prononce Pitkern. Géologie[modifier | modifier le code] A la différence des autres îles de la région qui sont des atolls coralliens (sauf Mangareva), l'île est ici entièrement d'origine volcanique. La Pétrologie de l'île et plus largement du socle océanien a notamment été étudiée par Alfred Lacroix[6].
home | Chile Travel Religion en Océanie L'Océanie est un continent dont les traditions religieuses ont été modifiées et se modifient encore. Si les religions traditionnelles ont été largement supplantées pendant la colonisation occidentale, elles survivent sous la forme de la superstition dans de nombreuses régions reculées. Le christianisme se taille la part du lion par le travail intensif des missionnaires catholiques et protestants tout au long des XIXe et XXe siècles. Toutefois, rien n'est fixé : en effet, par l'immigration les religions musulmanes et juives ont pu s'implanter dans le courant des XXe et XXIe siècles. Il faut ajouter à cela l'avancée du christianisme évangélique avec une pullulation d'Églises locales et l'existence de nombreuses traditions syncrétiques dont la plus connues est sûrement le culte du cargo. Religions traditionnelles[modifier | modifier le code] Une fois ces préambules posés, il faut distinguer quatre aires spirituelles principales. La spiritualité polynésienne[modifier | modifier le code]
Chutes Niagara Les chutes du Niagara depuis le Canada. Géolocalisation sur la carte : Canada Bien qu’elles ne soient pas particulièrement hautes (57 m), les chutes du Niagara sont très larges. Avec un débit[4] de plus de 2 800 m3/s, elles sont les chutes les plus puissantes d’Amérique du Nord[N 1] et parmi les plus connues[5] à travers le monde. Formation[modifier | modifier le code] La rivière nouvellement établie rencontra d'abord la résistante formation du Lockport, dont l’érosion se fit beaucoup plus lentement que celle des roches plus tendres situées en dessous. Submergée sous la rivière, dans la vallée inférieure, à l’abri des regards, se situe la formation de Queenston (Ordovicien supérieur), composée de schistes et de grès fins. À l’origine, les chutes du Niagara étaient proches du site actuel de Lewiston dans l'État de New York et de Queenston en Ontario, mais l’érosion de ces crêtes a causé le recul des chutes d’eau de quelques kilomètres. Vue de Skylon Tower à Niagara Falls
Tokelau Les Tokelau[3] ou les Tokélaou[4], appelées Îles de l'Union de 1916 à 1946[5],[6], sont un archipel d'atolls polynésiens du Nord-Ouest de l'océan Pacifique Sud. Il s'agit d'un territoire dépendant du Royaume de Nouvelle-Zélande. Le territoire n'a aucune frontière terrestre avec un autre pays souverain ou territoire ; les pays et territoires les plus proches des atolls sont les Samoa, les Samoa américaines, Wallis-et-Futuna, les Tuvalu, Niue, Fidji et les îles Cook. L'archipel étant isolé dans l'océan Pacifique et ne partageant aucune frontière terrestre, le territoire a une zone économique exclusive plus vaste que celles de l'Algérie, du Sénégal, du Danemark continental ou de la Pologne. En 1948[K 1], les atolls sont déclarés faisant partie de la Nouvelle-Zélande mais ces derniers gardent une autonomie par rapport au reste du pays. Géographie[modifier | modifier le code] Localisation, frontières et superficie[modifier | modifier le code] Revendication[modifier | modifier le code]
Chili - Actualités, vidéos et infos en direct Chamanisme coréen Cérémonie de kut en octobre 2007. Appelé localement le Shinisme or Sinisme (en coréen: 신교, Hanja 神敎; Shingyo or Shinkyo, qu'on peut traduire "religion des esprits/dieux") or Shindo (en coréen: 신도; Hanja: 神道, "la voie des esprits/dieux"), est une forme de croyance polythéiste et animiste très ancienne de la péninsule coréenne. Il consiste en un culte s'adressant à des dieux (신 shin), aux ancêtres (조상 josang) ainsi qu'à des esprits de la nature. Pour parler de sa dimensions proprement chamanique, (Korean: 무속, Hanja: 巫俗; musog or musok), le terme Muisme est privilégié (Hangul:무교, Hanja: 巫敎; Mugyo or Mukyo, "religion des mu (chamanes)"). Le chamanisme coréen demeure une pratique très vivante en Corée. Le chamanisme en Corée a été persécuté durant la période moderne à l'occasion des vagues de répression du mouvement Misin tapa (« mouvement pour renverser la superstition »). Histoire[modifier | modifier le code] Cairn et totems chamaniques coréens. Terminologie[modifier | modifier le code]
Aurore polaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Aurore. Aurore boréale en Alaska. Aurore australe en Antarctique. Aurore australe depuis la navette Discovery. Aurore photographiée par le satellite DMSP au-dessus du nord de l'Europe. Aurore « polaire » près de Belfort, France (novembre 2003). Aurore boréale dans la région de l'Abitibi, 48e parallèle Nord, Canada) Une aurore polaire (également appelée aurore boréale dans l'hémisphère nord et aurore australe dans l'hémisphère sud) est un phénomène lumineux caractérisé par des voiles extrêmement colorés dans le ciel nocturne, le vert étant prédominant. Provoquées par l'interaction entre les particules chargées du vent solaire et la haute atmosphère, les aurores se produisent principalement dans les régions proches des pôles magnétiques, dans une zone annulaire justement appelée « zone aurorale » (entre 65 et 75° de latitude). Histoire et légendes[modifier | modifier le code] Couleurs[modifier | modifier le code]
Îles Chatham Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Géographie[modifier | modifier le code] L'archipel océanien des îles Chatham, baigné par les eaux de l'océan Pacifique Sud, est situé à environ 800 kilomètres à l'est de Christchurch, la principale ville de l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande. Seules l'île Pitt et l'île Chatham comportent des terres cultivées et des infrastructures (routes, aéroport, etc). Les îles de l'archipel sont : L'intérieur des îles est vallonné, le plus haut sommet de l'archipel culminant à 299 mètres d'altitude sur l'île Chatham[1] qui, bien qu'étant la plus grande des îles de l'archipel, est relativement plate et comporte quelques cours d'eau (Te Awainanga, Tuku, etc) et de nombreux lacs comme Huro et Rangitahi ainsi que la lagune Te Whanga dans sa partie centrale, le plus grand plan d'eau de l'archipel. Les Îles Chatham se situent aux antipodes des Cévennes en France (voir Alzon). Histoire[modifier | modifier le code] Premier peuplement[modifier | modifier le code]
Chili 1 Situation générale Le Chili possède aussi les îles Juan Fernández, l'île de Pâques et l'île Sala et Gómez, toutes situées dans le Pacifique-Sud, mais l'île de Pâques est la plus éloignée des côtes chiliennes, soit à 3700 km, alors qu'elle fait partie géographiquement de la Polynésie. Le Chili s’étire démesurément du nord au sud entre sa frontière avec le Pérou et la Terre de Feu; d’une longueur de 4300 km entre Arica et le Cap Horn, le Chili n’est large que de 175 km en moyenne (avec des variantes de 350 km et de 15 km dans l’extrême sud). Bref, le Chili est séparé du reste de l'Amérique du Sud (surtout l'Argentine) par la cordillère des Andes. 2 Données démolinguistiques 3 Données historiques Les côtes du Chili actuel reçurent leurs premiers habitants vers 10 000 ans avant notre ère. Avant que les Européens n'envahissent la région, des populations amérindiennes y habitaient, notamment les Mapuches et un certain nombre d’Aymaras. 3.1 La colonisation espagnole - L'influence britannique
Religion des Celtes La religion des Celtes constitue un système de pratiques et de croyances basé sur un panthéon mythologique, civique et philosophique des Celtes[1]. Sources et documentation[modifier | modifier le code] Les druides ayant systématiquement privilégié l’oralité, les Celtes n’ont pas laissé de témoignages directs sur leurs croyances, leurs dieux et leurs rites. Les trois sources d'informations dont disposent les celtologues sont indirectes : les vestiges archéologiques, les témoignages de leurs voisins grecs et romains, les littératures médiévales galloise et irlandaise, et l'hagiographie ancienne et la matière de Bretagne en France. Les témoignages contemporains[modifier | modifier le code] On peut aussi parler des témoignages quasi contemporains écrits par des historiens ou géographes qui décrivent des scènes celtes auxquelles ils ont assisté, mais à une époque plus récente. L’archéologie[modifier | modifier le code] Les littératures médiévales[modifier | modifier le code]
Burning Man Wallis-et-Futuna Wallis-et-Futuna[Note 1] (en wallisien et en futunien ʻUvea mo Futuna) ou les îles Wallis et Futuna[2], en forme longue le territoire des îles Wallis et Futuna[3], est une collectivité d'outre-mer[4] française de l’hémisphère sud, formée de trois royaumes coutumiers polynésiens. Son chef-lieu est Mata-Utu. Ses codes postaux et Insee commencent par 986. Wallis-et-Futuna est situé dans l'océan Pacifique, en Océanie lointaine. Toutes ces îles, au relief volcanique et aux côtes très découpées, protégées par une ceinture de récifs coralliens, sont difficiles d’accès par la mer. Wallis-et-Futuna est situé dans l'océan Pacifique, en Océanie, dans l'aire culturelle de la Polynésie. Ces îles au relief volcanique et aux côtes très découpées, protégées par une ceinture de récifs coralliens, sont difficiles d’accès sauf pour l'anse de Sigave. L’île de Wallis est apparue au Cénozoïque par l’émergence d’un volcan sous-marin issu du point chaud des Samoa. Un parc à cochons à Falaleu (Wallis).