Bestiaire du Moyen Âge. Notre dame de Paris Alchimique. SYMBOLIQUE DE LA CATHÉDRALE GOTHIQUE DE CHARTRES (Partie 1) Traditionnellement, on appelle «.Siècle des Cathédrales.» la période allant de 1130 à 1280. Mais en 1130, la plus royale des Églises n’est pas une cathédrale, mais un monastère.: Saint-Denis en France. Et c’est à Saint-Denis, sous l’impulsion de l’abbé Suger, conseiller du Roi Louis VII, que naîtra cet art nouveau qui sera plus tard surnommé «.gothique.». Suger apporta, en effet, une conception nouvelle du sanctuaire. Au lieu de délimiter un espace soigneusement clos, le sanctuaire dut accueillir la lumière que Suger considérait comme le lien parfait entre l’Homme et Dieu. Il ne devait plus être replié sur lui-même, mais au contraire, largement ouvert sur le monde profane.
Le gothique est un système de construction reposant sur ce que l’on nomme.: la croisée d’ogives qui est apparue partout dans l’Occident chrétien.; et toujours dans des abbayes bénédictines ou cisterciennes surtout. Il ne faut pas le confondre avec l’Enfer. L’endroit le moins éclairé de la cathédrale est au Nord. Le mystère des cathédrales et l'interprétation ésotérique des symboles hermétiques du grand œuvre. La plus forte impression de notre prime jeunesse, - nous avions sept ans, - celle dont nous gardons encore un souvenir vivace, fut l’émotion que provoqua, en notre âme d’enfant, la vue d’une cathédrale gothique.
Nous en fûmes, sur-le-champ, transporté, extasié, frappé d’admiration, incapable de nous arracher à l’attrait du merveilleux, à la magie du splendide, de l’immense, du vertigineux que dégageait cette œuvre plus divine qu’humaine. Depuis, la vision s’est transformée, mais l’impression demeure. Et si l’accoutumance a modifié le caractère primesautier et pathétique du premier contact, nous n’avons jamais pu nous défendre d’une sorte de ravissement devant ces beaux livres d’images dressés sur nos parvis, et qui développent jusqu’au ciel leurs feuillets de pierre sculptés. La cathédrale est le refuge hospitalier de toutes les infortunes. Le symbolisme des cathédrales gothiques · La Voûte Etoilée. Posté par hiram3330 dans : Chaine d'union,Recherches & Reflexions , trackback Le symbolisme des cathédrales gothiques A la suite des invasions barbares surgies en Occident du Ve au lXe siècles, les derniers constructeurs qui appartenaient aux Collégiales romaines et détenaient tous les secrets de métiers, durent s’intégrer aux congrégations monastiques, car, après l’effondrement de l’Empire romain, il n’existait plus de statut légal leur permettant d’exister.
A partir du VIe siècle, au droit romain avaient succédé les coutumes féodales qui définissaient les protections garanties aux diverses catégories de la société du bas Moyen Âge. Tout d’abord, il y avait les gens de la terre, divisés en : - vilains, qui avaient conservé leurs propriétés gallo-romaines ou à qui, en tant que population germanique nouvellement implantée, l’on avait donné les terres des anciens propriétaires romains. . - serfs, ouvriers agricoles qui cultivaient les terres appartenant au seigneur féodal. Grenouille : Symbolique & Contes. Le symbole des batraciens. Du fait de ses métamorphoses, la grenouille est avant tout un symbole de résurrection car elle est au bout de la chaîne (œufs, têtards…) représentant l’aboutissement d’un long processus de développement et d’évolution.
Elle est aussi symbole de chance. Elle peut aussi vous aider à trouver le courage nécessaire pour accepter de nouvelles idées, la force de prendre soin de vous-même et la capacité de trouver les liens entre les idées. Grande communicatrice, la grenouille représente la voix du peuple. On croit que les chants de la grenouille ont des pouvoirs magiques, voire divins. Ainsi chez les grecs, la grenouille est investie d’un important pouvoir symbolique : elle est le symbole de la vie, de la fécondité et de la création. En Egypte ancienne, dans la vieille Europe, en Chine, chez les Aztèques et les Incas, la grenouille s’impose comme un noble batracien. Pour les celtes : elle symbolise la sensibilité, la beauté, également messagère du bonheur.
Symbolisme de la grenouille vu par d’autres cultures - Cours de Yoga à Haguenau. Elle est un symbole de résurrection et de métamorphoses. Elle est au bout de la chaîne et l'aboutissement d'un long processus de développement et d'évolution. Elle devient alors le symbole de l'homme en perpétuelle mutation. Elle est aussi symbole de chance. Elle peut aussi vous aider à trouver le courage nécessaire pour accepter de nouvelles idées, la force de prendre soin de vous-même et la capacité de trouver les liens entre les idées.
Grande communicatrice, la grenouille représente la voix du peuple. En Egypte ancienne , dans la vieille Europe, en Chine, chez les Aztèques et les Incas, la grenouille s'impose comme un noble batracien. Ainsi chez les grecs , la grenouille est investie d'un important pouvoir symbolique : elle est le symbole de la vie, de la fécondité et de la création. Pour les celtes : elle symbolise la sensibilité, la beauté, également messagère du bonheur. En Inde : La "Grande Grenouille" est le nom donné au Mandala à soixante quatre cases. Les ANIMAUX et leurs MESSAGES - Mythes orientaux de la grenouille. A Java, la grenouille est présente partout. Sa large bouche en bronze est un éteignoir à encens dans un temple. Dans un autre temple, elle est en bois noble et porte une chandelle sur son dos.
Le gamelan, l’orchestre de percussions traditionnel de Java, comporte toujours un xylophone et une cloche pour évoquer le chant des grenouilles. Au dix neuvième siècle, des figurines satiriques apparaissent pour se moquer à mots couverts des colons européens. Ces statuettes, qui ont d’ailleurs eu beaucoup de succès parmi les caricaturés, montrent les colons dans leurs activités mondaines, comme le tennis ou le pique-nique, qui semblaient si absurdes aux indigènes. A Bali, le chant des grenouilles fait partie des sons de la nuit sacrée. Les portes des maisons à Bali portent un heurtoir en bois pour annoncer les visiteurs; certains ont la forme d’une grenouille à la gueule grande ouverte, au faciès inquiétant, dont la langue, mobile, est le battant.