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12 idées concrètes pour remplacer "Dépêche-toi"

12 idées concrètes pour remplacer "Dépêche-toi"
Tandis que nous sommes préoccupés par nos plannings et nos objectifs, le petit enfant est bel et bien ancré dans le présent. Tandis que nous agissons avec des buts à atteindre à plus ou moins long terme, l’enfant expérimente à son rythme ici et maintenant. Essayons de préserver l’insouciance de notre enfant en respectant le plus souvent possible son rythme et sa notion du temps présent. – Emmanuelle Opezzo Chanter Je l’avais testé avec une de mes petites élèves de moyenne section. Elle aimait bien prendre son temps et se faisait régulièrement « enguirlander » par les ATSEM : « Mais tu es encore la dernière, dépêche-toi donc, c’est pas possible d’être aussi lente ! J’étais en remplacement et cela m’a brisé le cœur. Et, en tant qu’adultes, quand on chante, on ne s’énerve pas :-). Faire la course Classique mais efficace :-). J’aime bien en rajouter. Poser la question : De quoi as-tu besoin avant d’y aller ? Je recours aussi souvent à cette phrase. Mettre le minuteur/ prévenir à l’avance Jouer

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Analyse d’une photographie : “Downtown New York” de Henri Cartier-Bresson (1947) Un homme est assis à même le sol dans une ruelle sombre, seul face à un chat. Henri Cartier-Bresson a intitulé cette photographie « Downtown New York » (centre de New York). Il aurait pu la titrer « une ruelle sombre de New York » ou « une âme perdue dans New-York ». Or, il a choisi une autre légende qui nous oblige à voir dans cette scène une évocation de la ville et un symbole. Et c’est ainsi qu’il faut lire ce portrait.

30 propositions pour encourager les enfants efficacement Complimenter consiste à dire une formule d’appréciation positive sur un fait, une action accomplie, passée ou sur un état, sur la personne. Par exemple, affirmer qu’un dessin est joli,qu’un enfant est un bon garçon/ une bonne fille car il/ elle a fini son assiette,qu’un enfant est beau. On peut féliciter gratuitement, énoncer un compliment à la va-vite, à l’envolée, en jetant un coup d’œil rapide au dessin que l’enfant nous tend fièrement, parfois même sans le penser. Le compliment n’engage pas la discussion, peut avoir un côté enfermant, l’enfant se voit coller une étiquette. Certains psychologues mettent même en garde contre les compliments contre-productifs.

Parentalité positive : 11 astuces pour que les enfants coopèrent Je vous invite à découvrir 11 conseils efficaces pour que les enfants collaborent avec nous. 1° Un enfant n’écoutera pas tant qu’il n’aura pas été écouté Si nous écoutons et reconnaissons sans juger ce que l’enfant ressent, ce dont il a besoin et ce qu’il essaye de faire, nous l’apaisons. Il est alors prêt à nous accorder son attention, à écouter et à appendre. La boite à outils de la discipline non punitive Chercher à mettre en oeuvre une discipline qui enseigne : qu’est-ce que l’enfant peut apprendre dans cette situation ?comment enseigner des compétences utiles ?comment amener l’enfant à réparer et prendre ses responsabilités ? Anticiper et aider les enfants grâce aux questions de curiosité à explorer certaines situations que l’on se prépare à vivre et poser un cadre avec eux en amont : explorer ce qui est attendu (ex : quel genre de comportement est respectueux au restaurant ?)

Analyser une affiche : « We can Do It ! » (1943) We Can Do It! (1943) de J. Howard Miller (USA – 43 x 56 cm – couleurs) [domaine public] Cette affiche a acquis au fil des ans un véritable statut d’icône de la pop-culture. Elle ne fut pourtant diffusée que très brièvement en 1943, essentiellement sur les murs des usines d’armement où travaillaient de nombreuses femmes durant la Seconde Guerre mondiale pendant que les hommes se battaient sur le front. Elle ne fut en fait redécouverte que tardivement, dans les années 80, et très largement reproduite depuis sous diverses formes. 13 trucs de gestion de classe qui instaurent le respect. Quand vient le temps de gérer sa classe, on a souvent l’habitude d’instaurer un système d’émulation ou des règles et de supporter toutes ces règles par des punitions. Très vite, on apprend que ça fonctionne (du moins partiellement !), mais ça a le vicieux défaut de devoir demander une vigilance constante de la part de l’adulte en plus de miner considérablement l’apprentissage de l’autonomie de la part des élèves. De plus, ça réduit les comportements qu’on veut voir disparaître, sans toutefois les enrayer définitivement. Résultat : On s’épuise et on s’endort en réfléchissant sur comment on pourra mieux contrôler le lendemain… Il y a d’autres voies ( ?)

Méditer au lieu de punir : une idée efficace pour cultiver la bienveillance et le vivre-ensemble Nous l’avons vu dans de nombreux articles, les punitions sont nocives pour les enfants. À l’image des récompenses, elles les rendent dépendants (voir cette vidéo). De plus, les punitions alimentent l’idée binaire et fausse que la vie est basée sur un rapport de force constant entre celui qui punit et celui qui est puni, un dominant omnipotent contre un dominé entravé. Autre inconvénient de taille des punitions : elles sont dirigées vers les conséquences et non vers les causes. En effet, lorsqu’un enfant commet une « erreur » ou adopte un comportement désapprouvé, il est plus interessant et constructif de chercher l’origine du comportement que de sanctionner la finalité. Car à partir des origines possibles, nous pouvons l’aider à agir différemment, ce qui signifie qu’il va créer un nouveau chemin (neuronal et réel) qui n’aboutira plus au comportement désapprouvé.

Connaître les étapes de la maturation émotionnelle des enfants Dans son livre « Vivre heureux avec mon enfant », Catherine Gueguen écrit que comprendre les étapes de la maturation émotionnelle et affective aide à comprendre l’enfant. Le cerveau des petits enfants est immature et ils ne peuvent pas réagir comme des adultes à la frustration, à la difficulté, à la peur… La partie du cerveau qui contrôle nos impulsions, nos émotions, le cortex préfrontal, et les circuits neuronaux reliant le cortex préfrontal au cerveau archaïque (=émotionnel) ne commencent à maturer qu’à partir de 5 ans.

Analyse d’une photographie : « La fille à la fleur » de Marc Riboud (1967) Marc Riboud à Arles en 1975 (photo JP Naud) [CC BY-SA 4.0] L’analyse qui suit date de 2008 et a connu un certain succès. A l’époque je l’avais postée sur mon blog et depuis elle n’a pas cessé d’être reprise sur de nombreux sites, essentiellement par des enseignants à l’intention des élèves du secondaire – le plus souvent sans que mon nom soit mentionné…

L'effet pygmalion « Tu me dis, j’oublie. Tu m’enseignes, je me souviens. Tu m’impliques, j’apprends. » Les crises de colère des enfants sont une preuve de confiance « Un mammifère ne se libère de ses tensions que face à sa figure d’attachement. » nous explique Isabelle Filliozat. Un petit enfant exprime par conséquent plus sa frustration et sa colère avec sa figure d’attachement, la personne en qui il a le plus confiance. Cet argument scientifique et psychologique est essentiel pour nous permettre à nous, parents, de mieux garder notre calme dans des situations où l’enfant « subit » une tempête émotionnelle. Il la subit en effet car elle n’est pas sous son contrôle, c’est son cerveau émotionnel qui domine son comportement. « Et là, cette crise qui se déroule devant nos yeux est la preuve que mon enfant me fait confiance. Je suis sa figure d’attachement et il se sent protégé en ma présence.

Aider l'enfant à développer sa confiance en soi Très tôt, vous pouvez aider votre enfant à développer sa confiance en lui. Un enfant qui a confiance en lui croit en ses capacités de réussir. Ce qui influence la confiance en soi Le tempérament de votre enfant peut influencer sa confiance en lui. Certains tout-petits apprennent par essais et erreurs. Pour eux, échouer fait partie des apprentissages de la vie. comment analyser une photographie Cette partie inventorie les moyens d’expressions utilisés par le photographe. Elle dévoile les preuves, trouvées par vous, qui construisent le sens découvert dans l’image. Les questions à se poser : Le sujet est-il réel ou imaginaire ?

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