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L'apport des sciences cognitives à l'école : quelle formation des enseignants ? - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 13 novembre 2014 09:00

L'apport des sciences cognitives à l'école : quelle formation des enseignants ? - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 13 novembre 2014 09:00

http://www.college-de-france.fr/site/stanislas-dehaene/symposium-2014-2015.htm

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Qu'est ce qu'un bon prof ? La question des méthodes pédagogiques a toujours soulevé des discours passionnés. Au Québec comme en France, le débat fait rage autour des réformes de l’enseignement. De plus en plus de travaux soulignent l’impact d’un « effet-prof » sur les performances des élèves. À partir de travaux anglo-saxons, le chercheur québécois Clermont Gauthier propose des clés pour un « enseignement efficace », s’appuyant sur une pédagogie explicite. Au passage, il renvoie dos à dos la pédagogie traditionnelle, centrée sur la transmission de savoirs, et les pédagogies « centrées sur l’élève ».

Toucher pourconnaître et apprendre - 1. Sciences cognitives et l’éducation Pour l’un des premiers historiens de cette discipline, les sciences cognitives sont « […] une tentative contemporaine, faisant appel à des méthodes empiriques pour répondre à des questions épistémologiques fort anciennes, et plus particulièrement à celles concernant la nature du savoir, ses composantes, ses sources, son développement et son essor » (Gardner, 1993, p. 18). Il est donc légitime que les sciences cognitives s’intéressent à l’école, milieu dans lequel le savoir et sa construction ont une place centrale. Les sciences cognitives sont un ensemble de disciplines : la psychologie (générale, sociale et du développement), la philosophie, la linguistique, l’anthropologie, l’informatique (et plus particulièrement l’intelligence artificielle), et enfin les neurosciences. Ces disciplines ne nous intéressent pas ici en tant que telles, mais en ce qu’elles produisent des explications, prédictions, simulations d’objets et d’événements inscrits dans un milieu particulier, l’école.

Bac 2014 : dix conseils scientifiques pour bien réviser Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laura Buratti À l'approche des examens et du baccalauréat 2015, place aux conseils avisés. Pour gagner en efficacité durant la période des révisions, les scientifiques peuvent vous aider. De bon sens ou plus inattendus, les conseils qui suivent vous aideront à diminuer votre stress, booster votre mémoire et ainsi maximiser vos chances pour le jour J.

«Les facteurs psychologiques de la réussite et de l'échec chez les étudiants : comment aider les étudiants à réussir» «Les facteurs psychologiques de la réussite et de l'échec chez les étudiants : comment aider les étudiants à réussir» Franck Amadieu (maître de conférences en psychologie cognitive, Université de Toulouse II-Le Mirail, rattaché à l'équipe de recherche « Apprentissages, Métacognitions et Motivations » (Axe B) du Laboratoire CLLE-LTC (UMR 5263) du CNRS). Pour éclairer les interrelations pédagogie université numérique, la Mission Numérique pour … (Plus d'info)l'Enseignement Supérieur (MINES) du MESR met en place un cycle annuel de conférences centrées sur la thématique « Pédagogie universitaire numérique ».Ces conférences s'adressent à un large public concerné et intéressé par les questions de pédagogie et d'usages du numérique dans l'enseignement supérieur : enseignants chercheurs, ingénieurs pédagogiques, responsables et intervenants de services universitaires de pédagogie ou de services TICE, responsables de formation ...

Au début était le sociocognitif J’enseigne dans une UE d’initiation à la psychologie cognitive. L’UE, en FOAD, rassemble des étudiants de métropole et d’outre-mer qui, a priori, ne se connaissent pas et ne se rencontreront peut-être physiquement jamais. J’ai donc mis en place un dispositif qui encourage les interactions pour combattre l’isolement et la solitude dans l’effort. Ce dispositif recourt largement aux outils technologiques d’accès à l’information numérique et aux données censées être discutées et appropriées. La première étape a été celle de faire agréger collectivement des pages web à propos du terme « sociocognitif ».

Les fonctions cognitives de l'enfant et leurs dysfonctionnements L’INSERM a organisé et mis en ligne en 2013 un séminaire de formation qui explique, pour les parents et les enseignants, le cerveau de l’enfant, ses principales fonctions cognitives, et la manière dont elles peuvent dysfonctionner chez certains enfants “dys”. Destiné aux associations de parents concernées par les troubles de la cognition chez l’enfant, ce séminaire de formation est organisé à l’initiative de la Mission Inserm Associations. Il a été conçu et animé par Michèle Mazeau, médecin en rééducation, spécialisée en neuropsychologie infantile et Pierre Laporte, psychologue clinicien spécialisé en neuropsychologie, docteur en psychologie. seminaires-de-formation-ketty-schwartz Le Cerveau, organe d’apprentissage, avec Michèle Mazeau & Pierre Laporte

Kant a-t-il inventé les sciences cognitives ? La référence à Emmanuel Kant revient régulièrement dans les sciences cognitives contemporaines. Filiation réelle ou coquetterie rhétorique ? Les sciences cognitives sont-elles kantiennes ? Voici une question qui ne devrait pas préoccuper outre mesure le citoyen ordinaire. Cognition, cerveau, éducation. Une sélection de contributions et d'idées entre recherche et application Sciences cognitives et éducation. Journées organisées par le Ministère de l'EducationNationale avec la Chaire de Psyshcologie Expérimentale du Collège de France La recherche accorde une place de plus en plus importante à l'appréhension des mécanismes cognitifs appliqués à l'éducation et il paraît essentiel de confronter les résultats majeurs de ces études scientifiques aux pratiques d'enseignement en classe. En effet, connaître le fonctionnement psychique et cognitif de l'élève est fondamental pour l'enseignant en ce que cela lui permet d'adapter son enseignement et de créer des conditions optimales d'apprentissage.

Plasticité – pour le meilleur ou pour le pire. Dans notre dernier article, nous avons évoqué les effets dramatiques d’une privation d’interactions sociales sur le cerveau du bébé : réduction de l’activité électrique cérébrale, capacités cognitives et sociales perturbées, baisse de QI, allant même jusqu’à une diminution du volume global du cerveau… Mais la question que nous souhaitons aborder aujourd’hui est pourquoi ce manque d’interactions précoces lèse si gravement le cerveau de l’enfant ? Voyons comment le cerveau se développe. L’être humain qui vient de naître commence par emmagasiner les informations du monde extérieur par le canal des sens. Chaque image, chaque interaction, chaque évènement – aussi quotidien soit-il – se fixe dans les fibres de son cerveau en connectant des neurones. Ces connexions de neurones commencent dans le ventre de la mère puis augmentent de façon extrêmement rapide dès la naissance : 700 à 1000 nouvelles connexions par seconde se créent pendant les cinq premières années de la vie.

Neurosciences et pédagogie, une interview de Jean-Luc Berthier Plaidoyer pour tenir compte de l’apport des neurosciences en pédagogie L’évolution récente des neurosciences oblige à faire le point et à nous débarrasser de nombreuses idées fausses. Qu’apportent les sciences cognitives au domaine de la pédagogie aujourd’hui en 2014 ? Que sait-on ? Que peuvent en tirer les enseignants dans leurs pratiques professionnelles ? Dire que l’on a une bonne ou une mauvaise mémoire, prétendre que tout se joue avant six ans, parler de profil auditif ou visuel, font partie des rumeurs communes qui entravent les représentations correctes que tout un chacun élabore sur le fonctionnement du cerveau. ANAE N° 139 - Apprentissages, cognition et émotion Vol 27, tome VI, décembre 2015 Parution 10 janvier 2016 Apprentissages, cognition et émotion De la théorie à la pratique Dossier coordonné par Édouard Gentaz Professeur à l’Université de Genève et Directeur de Recherche au CNRS Éditorial J.

Notre cerveau à l’heure des nouvelles lectures Maryanne Wolf, directrice du Centre de recherche sur la lecture et le langage de l’université Tufts est l’auteur de Proust et le Calmar (en référence à la façon dont ces animaux développent leurs réseaux de neurones, que nous avions déjà évoqué en 2009). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel au Centre Pompidou, la spécialiste dans le développement de l’enfant est venue évoquer « la modification de notre cerveau-lecteur au 21e siècle » (voir et écouter la vidéo de son intervention)… Image : Maryanne Wolf face au public sur la scène du Centre Pompidou, photographiée par Victor Feuillat. Comment lisons-nous ? « Le cerveau humain n’était pas programmé pour être capable de lire. Il était fait pour sentir, parler, entendre, regarder… Mais nous n’étions pas programmés génétiquement pour apprendre à lire ».

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