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Le deuxième "MOOC" francophone fait fureur

Le deuxième "MOOC" francophone fait fureur
"Massive Open Online Course", "Cours de masse en ligne et gratuit", tel est le concept qui se cache derrière cet acronyme. Dans la réalité, cela représente un cours suivi par plus de 3600 étudiants en même temps, chacun depuis son PC, partout dans le monde et gratuitement. Depuis 2008, toutes les universités américaines ont pris progressivement le pli du télé-enseignement. Non seulement pour leurs étudiants régulièrement inscrits, mais aussi pour quiconque souhaite suivre un cours de haut niveau. Et cela gratuitement (d’où le mot "open") et quel que soit le nombre de participants : dans le monde anglophone, il est courant que 100 000 personnes suivent le même cours en même temps… d’où le terme de "massive". Les MOOC font désormais partie des activités courantes dans une société où apprendre n’est plus une activité réservée à une période, l’enfance et la jeunesse, mais s’exerce tout au long de la vie. Qui dit cours dit examen Retard en français mais beau démarrage Accéder n'est pas acquérir

http://www.rtbf.be/info/societe/detail_le-deuxieme-mooc-francophone-fait-fureur?id=7954141

L'éthique des Moocs Parce qu'ils sont massifs et ouverts, les Moocs accueillent un très grand nombre de participants, dont quelques-uns seulement teminent le cours dans lequel ils sont inscrits, et obtiennent le certificat qui valide le succès à l'examen final. Dans la bataille que doivent mener depuis quinze ans les professionnels de la formation en ligne pour exister, le taux d'abandon constitue un argument massue, constamment brandi par les tenants du tout présentiel. Les commentateurs n'ont par exemple pas hésité à exploiter les résultats d'une récente enquête (voir ici l'article d'Alexandre Roberge à ce sujet), qui souligne que les formations à distance distribuées par les colleges américains accusent un taux de décrochage légèrement supérieur à celui des mêmes formations en présence (9 % contre 5,5 %), pour affirmer que la FAD n'était décidément pas une voie d'avenir. Bien faire et faire le bien - Les enseignants ont effectué ce travail bénévolement, sur leur temps personnel.

Open data : le chemin vers une vraie démocratie citoyenne Dominique Cardon est sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs et chercheur associé au Centre d’études des mouvements sociaux (CEMS/EHESS). Ses travaux portent sur les relations entre les usages des nouvelles technologies et les pratiques culturelles et médiatiques. Il est notamment l’auteur de La démocratie Internet : promesses et limites (Le Seuil, 2010) et de Médiactivistes avec Fabien Granjon (Presses de Sciences Po, 2010)

bmdesignerweb : @ngev @yannick_petit à un... Open Data (1/4) : Où en est-on Claire Gallon de LiberTIC, l’association nantaise de promotion de l’ouverture des données publiques (@LiberTIC), et Charles Nepote du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) (@CharlesNepote, @la_fing), principaux coorganisateurs de la Semaine européenne de l’Open Data qui avait lieu à Nantes du 21 au 26 mai 2012, ont commencé par poser un état des lieux assez complet du mouvement de réutilisation des données publiques. Ce que l’Open Data a réalisé Le mouvement pour la réutilisation des données publiques est un mouvement mondial né début 2009 et qui a connu une forte accélération en 2010-2011, estime Charles Nepote. Image : la carte de France de l’Open Data maintenue par LiberTIC, version 4, mise à jour janvier 2012.

bmdesignerweb : @R_Bachelet @jpberthet Oui... l’open data comme mouvement A l’occasion du lancement de l’antenne française de l’Open Knowledge Foundation le 12 décembre à la Cantine Paris, je suis intervenu pour présenter 4 pistes pour un open data des biens communs. Retour sur cette intervention sous forme d’interpellation… L’open data et les biens communs, une (trop) vieille histoire ? "Open Data Commons" (photo by jwyg) Il y a une filiation entre le mouvement d’ouverture des données et la philosophie des biens communs. Créez de jolis graphiques facilement Créez de jolis graphiques facilement Si vous avez des données et que vous souhaitez les exploiter au travers d'un joli graphique, je vous invite à tester les services suivants... Mes préférés sont les 2 premiers de la liste... le service de Google est très propre et celui d'Infogr.am propose d'excellents design et permet de saisir les données, soit à la main, soit en les important via un fichier Excel pour ensuite les intégrer directement sur votre site (embed).... M'enfin, vous avez l'embarras du choix comme ça :-)

Une dataviz pour sensibiliser les Rennais à l’open data - Le Mag numérique rennais 7 oct 2012 Deux ans après avoir ouvert son portail open data, la collectivité bretonne peut s’enorgueillir d’être parvenue, avec son concours d’applications, à mobiliser une communauté de techos pour développer des services réutilisant des données. Mais Rennes Métropole vise à présent le grand public avec « une dataviz dressant le portrait de ses habitants », explique la responsable du service innovation numérique Bernadette Kessler. C’est ainsi qu’est née l’interface « Habitants de Rennes Métropole, qui sommes-nous ? », réalisée par la start-up de visualisations interactives de données Dataveyes. Une partie de son équipe, Caroline, Edouard et Nicolas, a profité de Viva-Cités pour présenter au public ce projet une semaine après son lancement.

Où habitez-vous vraiment ? OrangeLabs et OWNI pour l'opendata ! L'Etat, les collectivités locales et les entreprises de service public produisent pour leurs activités quantité de données : fréquentation des écoles, mouvements migratoires, horaires des transports, statistiques de santé… Depuis quelques années, des voix s'élèvent pour que ces données ne soient pas réservées aux seuls acteurs publics qui en sont à l'origine mais puissent être diffusées et réutilisées largement par des tiers. L'objectif est double : - augmenter la transparence sur les activités des gouvernements et des acteurs en charge des services publics d'une part et rendre ainsi ces derniers plus responsables (ex : suivre le travail parlementaire de nos élus comme le propose Regards Citoyens) ; - permettre à des tiers de créer des services qui amélioreront notre vie quotidienne en s'appuyant sur ces données (ex : une application pour aider les personnes à mobilité réduite à circuler dans la ville comme le propose Handimap). Quelles données seront rendues disponibles ?

Numérique et mutualisation : de l’ombre… à la lumière ? [Opinion] TIC Publié le 03/04/2013 • Par Auteur associé • dans : France, Opinions Frédéric Mandis, ,Président de l’association DECLIC Chiffres-clés La DRH à l'heure du numérique 01Business le 29/03/13 à 10h00 sommaire En 2015, 40 % des actifs français seront issus de la génération Y. Réalité virtuelle, réseaux sociaux, travail collaboratif… Ces “ digital natives ” ont baigné depuis leur plus tendre enfance dans les nouvelles technologies.

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