All countries - Climate Action Tracker The Climate Action Tracker reveals major differences between the ambition levels of countries when it comes to reducing greenhouse gas emissions. In the lead are the Maldives, who have proposed to become climate-neutral by 2020. Also at the high end of the scale are Bhutan, which proposes to stay carbon neutral and Costa Rica, which proposes to become carbon neutral by 2021 if international support is provided. They are followed by Japan, Norway, Papua New Guinea and South Korea, all of whom are proposing to reduce their emissions significantly. In the 'medium' range are developing countries such as Brazil, Chile, India, Indonesia, Mexico and South Africa. Many of them propose to reduce the growth of their emissions by the 2020’s. The EU is a special case. China is rated 'inadequate', because its recently-announced target falls short of the ambition level that was expected from the implementation of the current national policies.
Où vont les négociations climatiques internationales ? (Rapport - Novembre 2012 Depuis l’adoption de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en 1992, l’écart se creuse entre la progression des négociations destinées à parvenir à un accord international organisant la lutte contre les bouleversements climatiques et celle du phénomène lui-même . Les rapports successifs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), qui ont mis en lumière la responsabilité humaine en la matière, ont également souligné les risques de catastrophes irréversibles et la nécessité d’intervenir rapidement pour limiter la hausse de la température moyenne mondiale . Les États signataires de la Convention se sont entendus en 2010 sur l’élaboration d’un accord basé sur des engagements volontaires des pays en matière de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Mais, à l’heure actuelle, les promesses des États ne suffisent pas à éloigner la perspective d’un réchauffement global lourd de conséquences .
Le réchauffement menace un tiers des animaux et la moitié des végétaux LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Des oiseaux, des mammifères, des reptiles, des arbres, des plantes herbacées… En inventoriant les aires de répartition de 48 786 espèces animales et végétales, une équipe internationale conduite par Rachel Warren (Université d'East Anglia, Royaume-Uni) tente de chiffrer le risque d'érosion de la biodiversité dû au changement climatique en cours. Ces travaux, publiés lundi 13 mai dans la revue Nature Climate Change, permettent, pour la première fois, d'estimer les bénéfices des mesures de lutte contre le dérèglement climatique. Les résultats, obtenus grâce à une combinaison de modèles de simulation du climat, sont éloquents. Sans réduction des émissions de gaz à effet de serre, les chercheurs prévoient que, d'ici à 2080, environ 55 % des végétaux et 35 % des animaux auront perdu plus de la moitié de leur zone cli...
Drias, les futurs du climat - Accueil Le blog de l'énergie et du climat Avec le réchauffement, les espèces marines migrent vers les pôles Une vaste étude montre un déplacement des espèces marines vers des latitudes plus fraîches dix fois plus rapide que celui de la faune et de la flore terrestres. Le Monde.fr | 10.08.2013 à 08h43 • Mis à jour le 10.08.2013 à 08h47 | Par Pierre Le Hir Comment plantes et animaux réagissent-ils à la montée de la colonne de mercure ? Afin de retrouver les températures auxquelles ils sont acclimatés, certains se déplacent vers des latitudes plus hautes et plus fraiches, d'autres grimpent en altitude, quand le relief le permet. Ces migrations climatiques ont déjà été documentées par de nombreux travaux sur la faune et la flore terrestres. D'où l'intérêt de la synthèse, publiée sur le site de la revue Nature Climate Change, qui décrit " l'empreinte globale du changement climatique sur la vie marine ". Conclusion principale : poussées par le réchauffement climatique, les espèces marines remontent vers les pôles. Ce n'est pas tout.
CO2 Now Climate Change Knowledge Network | Home Between 1998 and 2004, the Climate Change Knowledge Network (CCKN) brought together expertise, experience and perspectives from research institutes in developing and developed countries active in the area of climate change. It provided a forum for rigorous research on the issues within the international climate change regime and a means for furthering dialogue between countries working to address climate change. Together, the members of the CCKN undertook research and worked collaboratively to influence the international climate change process, as well as processes within their respective countries. By sharing research, experience and knowledge among network members, the CCKN sought to advance climate change policy issues more quickly and share ideas more broadly. The Climate Change Knowledge Network undertook research and implemented projects related to the following topics while active: The CCKN and its activities were supported by:
Changement climatique La terresans atmosphère Sans atmosphère, pas d’effet de serre, la température de la terre serait de -18°C. Effet de serrenaturel Les gaz à effet de serre présents naturellement dans l’atmosphère absorbent l’énergie émise par la terre sous forme d’infrarouges, la température moyenne de la terre est de + 15 °C. Effet de serre renforcépar l'activité humaine Les activités humaines augmentent la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, les infrarouges sont absorbés en plus grande quantité, la température de la planète augmente. Sans l’effet de serre, la vie sur Terre ne serait pas possible ! La part des gaz à effet de serre naturels et additionnels Un certain nombre de gaz à l’état naturel, permettent le phénomène de l’effet de serre : vapeur d’eau (H2O), dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4)…. Sources : ADEME, Réseau Action Climat France, Météo France, GIEC, Magazine ‘Sciences et Vie’, Créa Chamonix, OCDE
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