SIDERURGIEL'Europe s'empare des " minimills " et les plie à son modèleCette révolution technologique, doublée d'un " business model ", a redistribué les cartes de la production d'acier plat aux Etats-Unis. En Europe, les barons de l'acier s'y préparent en Aux Etats-Unis, leur apparition a provoqué un raz-de-marée. Ce fut une véritable gifle pour les sidérurgistes traditionnels et leurs gigantesques usines intégrées à hauts-fourneaux. Parti de rien en 1989, Nucor, le premier à miser sur les " minimills " pour la production de bobines d'acier plat, pointe désormais au deuxième rang des producteurs d'acier américains ! Aujourd'hui, c'est en Europe que cette technologie - qui raccourcit et simplifie le cycle de production des coils - fait, depuis peu, l'objet de toutes les attentions. Tous y viennent. En prenant le contrôle l'an dernier d'Arvedi, Usinor a surtout mis la main sur son usine de Crémone, où le petit groupe italien a développé sa propre technologie minimill. On est loin du modèle américain Une capacité de réponse rapide La stratégie offensive des minimills Pas question en effet que les minimills se développent au détriment des hauts-fourneaux installés, pour la plupart bien rodés et surtout amortis. Une équation économique complexe
Continuum | The future. Made real. Disruptive technology Sustaining innovations are typically innovations in technology, whereas disruptive innovations cause changes to markets. For example, the automobile was a revolutionary technological innovation, but it was not a disruptive innovation, because early automobiles were expensive luxury items that did not disrupt the market for horse-drawn vehicles. The market for transportation essentially remained intact until the debut of the lower priced Ford Model T in 1908. The mass-produced automobile was a disruptive innovation, because it changed the transportation market. The automobile, by itself, was not. The current theoretical understanding of disruptive innovation is different from what might be expected by default, an idea that Clayton M. The work of Christensen and others during the 2000s has addressed the question of what firms can do to avoid displacement brought on by technological disruption. History and usage of the term[edit] The term disruptive technologies was coined by Clayton M.
Global Innovation: A Research Project of TIM @ TUHH Technologie de rupture Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une technologie de rupture, également connue comme « rupture technologique », est une innovation technologique qui porte sur un produit ou un service et qui finit par remplacer une technologie dominante sur un marché. Cette disparition de la technologie existante se fera bien que la technologie de rupture soit radicalement différente et qu’elle soit souvent moins performante à l’origine selon les critères traditionnels de mesure. Par opposition aux technologies de rupture, les technologies de continuité ou d’amélioration continue ne créent pas de nouveaux marchés : elle procèdent par améliorations et incréments graduels successifs des performances de la technologie actuelle. Le terme de « technologie de rupture » (Disruptive technology en anglais) fut introduit et argumenté par Clayton M. La théorie[modifier | modifier le code] Toutes les technologies de rupture n'ont pas des performances moindres. Sources[modifier | modifier le code]
d.school: Institute of Design at Stanford La source du dilemme de l’innovateur ou la tragédie du modèle d’affaire: 5 – Le raisonnement économique Ce billet est le cinquième d’une série sur l’innovation de rupture et le modèle d’affaire. Nous avons vu dans les deux premières parties de cette série consacrée à l’innovation de rupture que le modèle d’affaire d’une entreprise détermine quelles opportunités elle trouve attractive ou pas. Cela explique le ‘dilemme de l’innovateur’ mis en lumière par le chercheur Clayton Christensen, selon lequel une entreprise peut rester inactive face à une rupture qu’elle a pourtant parfaitement identifiée, que cette rupture soit de nouveau marché ou qu’elle soit ‘par le bas’. Regardons maintenant l’importance du rôle du raisonnement économique et comptable dans ce dilemme aux travers de deux concepts, l’impératif d’utilisation de la capacité existante, et la valeur actuelle nette (VAN). Commençons par l’impératif d’utilisation de la capacité existante en partant d’un exemple simple. Mais là intervient la logique économique et comptable. Like this: J'aime chargement…
IDEO | A Design and Innovation Consulting Firm La source du dilemme de l’innovateur ou la tragédie du modèle d’affaire: 1 – La rupture de nouveaux marché Ce billet est le premier d’une série sur l’innovation de rupture et le modèle d’affaire. L’incapacité des entreprises existantes à tirer parti des ruptures de leur environnement continue de susciter la surprise. Pourtant, le chercheur Clayton Christensen a depuis longtemps montré en quoi cet échec n’était du ni à un manque de ressources, ni à la vitesse du changement, ni à une incapacité du management des entreprises. Au contraire, cette incapacité est due au modèle d’affaire et, au-delà, à l’identité de l’entreprise elle-même. Regardons pourquoi au travers d’un exemple simple. Vous êtes un fabricant d’imprimantes en 1990. Premier problème: Vos clients actuels ne sont pas intéressés par le nouveau produit. En synthèse, votre modèle économique rend le lancement du nouveau produit "de rupture" inintéressant. Seconde partie de la série: La rupture par le bas. Pour aller plus loin: mon billet sur le modèle RPV, et mon billet sur l’innovation de rupture. Like this: J'aime chargement…
?What If! La source du dilemme de l’innovateur ou la tragédie du modèle d’affaire: 2 – La rupture par le bas Ce billet est le second d’une série sur l’innovation de rupture et le modèle d’affaire. Nous avons vu dans le premier article de cette série comment le modèle d’affaire d’une entreprise lui rend certaines opportunités inattractives. Revenons sur ce point en reprenant notre exemple d’un fabricant d’imprimante. On se rappelle que ce fabricant, qui offrait un modèle à 10.000 Euros avec un coût d’impression de 3 centimes par page, ne réussissait pas à introduire un modèle basé sur une technologie jet d’encre offrant un prix d’achat fois inférieur. Cet exemple met le doigt sur un phénomène beaucoup plus général de l’innovation qui est celui de la difficulté pour une entreprise de pénétrer des segments d’entrée de gamme avec succès. Cette dissymétrie explique pourquoi les entreprises ont tendance à monter en gamme et à progressivement délaisser l’entrée de gamme, par une sorte de mécanisme infernal d’attraction vers le haut. Like this: J'aime chargement…