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Innovation Consulting Firm

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SIDERURGIEL'Europe s'empare des " minimills " et les plie à son modèleCette révolution technologique, doublée d'un " business model ", a redistribué les cartes de la production d'acier plat aux Etats-Unis. En Europe, les barons de l'acier s'y préparent en Aux Etats-Unis, leur apparition a provoqué un raz-de-marée. Ce fut une véritable gifle pour les sidérurgistes traditionnels et leurs gigantesques usines intégrées à hauts-fourneaux. Parti de rien en 1989, Nucor, le premier à miser sur les " minimills " pour la production de bobines d'acier plat, pointe désormais au deuxième rang des producteurs d'acier américains ! Aujourd'hui, c'est en Europe que cette technologie - qui raccourcit et simplifie le cycle de production des coils - fait, depuis peu, l'objet de toutes les attentions. Tous y viennent.

Technologie de rupture Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une technologie de rupture, également connue comme « rupture technologique », est une innovation technologique qui porte sur un produit ou un service et qui finit par remplacer une technologie dominante sur un marché. Cette disparition de la technologie existante se fera bien que la technologie de rupture soit radicalement différente et qu’elle soit souvent moins performante à l’origine selon les critères traditionnels de mesure. Par opposition aux technologies de rupture, les technologies de continuité ou d’amélioration continue ne créent pas de nouveaux marchés : elle procèdent par améliorations et incréments graduels successifs des performances de la technologie actuelle. Les tenants du marché sont donc en concurrence permanente pour l'amélioration de leurs produits. Les technologies de continuité peuvent être « discontinues »[1] (transformationnelles) ou « continues » (évolutives).

Vision « The smartest people always work for someone else », Bill Joy, co-fondateur de Sun Microsystems, 1990 Une stratégie d’Open Innovation repose sur la vision qu’il est aujourd’hui plus facile de détecter et d’impliquer dans son processus d’innovation l’ensemble de l’intelligence collective de son écosystème d’acteurs externes – les autres grands groupes d’autres secteurs que le sien, les startups et PMEs, les laboratoires de recherche publics et privés, les experts et développeurs indépendants, les Universités, mais aussi ses clients et ses fournisseurs – et l’ensemble de ses collaborateurs au delà du périmètre du département R&D. Lorsqu’il s’agit de savoir comment mettre en œuvre concrètement une stratégie d’innovation ouverte et collaborative la plupart des publications, articles ou livres portent plutôt sur l’analyse de meilleures pratiques et de cas réels.

La source du dilemme de l’innovateur ou la tragédie du modèle d’affaire: 5 – Le raisonnement économique Ce billet est le cinquième d’une série sur l’innovation de rupture et le modèle d’affaire. Nous avons vu dans les deux premières parties de cette série consacrée à l’innovation de rupture que le modèle d’affaire d’une entreprise détermine quelles opportunités elle trouve attractive ou pas. Cela explique le ‘dilemme de l’innovateur’ mis en lumière par le chercheur Clayton Christensen, selon lequel une entreprise peut rester inactive face à une rupture qu’elle a pourtant parfaitement identifiée, que cette rupture soit de nouveau marché ou qu’elle soit ‘par le bas’. Regardons maintenant l’importance du rôle du raisonnement économique et comptable dans ce dilemme aux travers de deux concepts, l’impératif d’utilisation de la capacité existante, et la valeur actuelle nette (VAN).

La source du dilemme de l’innovateur ou la tragédie du modèle d’affaire: 1 – La rupture de nouveaux marché Ce billet est le premier d’une série sur l’innovation de rupture et le modèle d’affaire. L’incapacité des entreprises existantes à tirer parti des ruptures de leur environnement continue de susciter la surprise. Pourtant, le chercheur Clayton Christensen a depuis longtemps montré en quoi cet échec n’était du ni à un manque de ressources, ni à la vitesse du changement, ni à une incapacité du management des entreprises. Au contraire, cette incapacité est due au modèle d’affaire et, au-delà, à l’identité de l’entreprise elle-même. Regardons pourquoi au travers d’un exemple simple.

La source du dilemme de l’innovateur ou la tragédie du modèle d’affaire: 2 – La rupture par le bas Ce billet est le second d’une série sur l’innovation de rupture et le modèle d’affaire. Nous avons vu dans le premier article de cette série comment le modèle d’affaire d’une entreprise lui rend certaines opportunités inattractives. Revenons sur ce point en reprenant notre exemple d’un fabricant d’imprimante. On se rappelle que ce fabricant, qui offrait un modèle à 10.000 Euros avec un coût d’impression de 3 centimes par page, ne réussissait pas à introduire un modèle basé sur une technologie jet d’encre offrant un prix d’achat fois inférieur. Cet exemple met le doigt sur un phénomène beaucoup plus général de l’innovation qui est celui de la difficulté pour une entreprise de pénétrer des segments d’entrée de gamme avec succès.

La disparition de la capacité créative comme cause du déclin des organisations La disparition de la capacité créative permet d’expliquer le déclin de certaines entreprises. Par Philippe Silberzahn. La question toujours d’actualité de la dynamique d’innovation des entreprises se prête assez bien à un exercice auquel je souhaitais me livrer depuis pas mal de temps, celui d’essayer d’appliquer les théories de l’historien des civilisations Arnold Toynbee au monde de l’entreprise.

Pourquoi Nokia a perdu Je ne devrais jamais faire de prédictions, c’est un jeu dangereux auquel quelqu’un de raisonnable ne se livre jamais. Ou alors, il ne faudrait le faire qu’en se couvrant au maximum pour que quelque soit le résultat, on puisse prétendre l’avoir annoncé. Mais bon, je me lance quand même: il y a de bonne raisons de penser que Nokia a perdu la partie.

Repenser la gestion : le point sur une analyse d’Arman Hatchuel A l’évolution du capitalisme, s’est bien évidemment adjointe celle des organisations et du management des firmes, soit, de la gestion. Armand Hatchuel revient donc dans ce papier sur les révolutions majeures qui ont marqué l’histoire de la gestion des firmes et s’interroge sur le modèle de gestion contemporain : quel modèle les entreprises ont-elles aujourd’hui adopté ? Pour quelles raisons ? Innovation de rupture: comment rechercher l’inimaginable Au milieu des années 80, Garry Hamel, un des grands gourous californiens du management, avait jeté un pavé dans la mare : l’ère du progrès conventionnel et linéaire était révolue. Le changement n’était plus ni additif, ni linéaire. Il était discontinu. Pour chevaucher ce progrès-là, les entreprises devaient inventer un système créatif non linéaire. Trente ans plus tard, le postulat est passé dans les mœurs « corporate » et chaque dirigeant sait que l’innovation incrémentale, ce changement graduel, modeste et continu de l’existant, ne suffit plus.

Des innovations qu'il faudra bien digérer Le cabinet américain McKinsey a récemment publié une étude prospective visant à identifier les secteurs technologiques qui grâce à leurs innovations pourraient, sinon transformer le monde, mais en tout cas créer de la richesse économique dans les 10 années à venir. Les transformations induites par ces technologies seront d'ailleurs probablement plus liées à l'organisation de la société autour d'elles qu'aux nouveaux usages qu'elles permettront. En effet, les évolutions attendues dans les 12 domaines identifiées par les analystes de McKinsey, seront certes génératrices de nouvelles perspectives économiques, mais elles seront également à l'origine de la disparition d'emplois qu'elles auront rendu obsolète. En somme, rien de bien nouveau, juste la répétition de ce que l'humanité a connu depuis fort longtemps : l'évolution ... Associées les une aux autres, ces innovations auront bien entendu un impact direct sur les capacités globales de l'être humain.

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