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Le Journal Intégral

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L’argent gouverne le monde ou est à son service par Philippe Mastronardi et Peter Ulrich,* membres de Kontrapunkt** Les Etats ont libéré les marchés financiers sans leur imposer de responsabilités et maintenant le système financier domine le système politique. Sous le régime actuel des marchés financiers, les choses ne vont pas changer. On pourra empêcher les bulles financières spéculatives et stabiliser la situation seulement si l’on n’augmente la masse monétaire qu’au rythme de l’économie réelle. Il a fallu que des agences de notation rendent leur jugement sur la superpuissance américaine et sur divers pays européens surendettés pour que nous commencions à comprendre à quel point notre économie actuelle marche sur la tête. (Traduction Horizons et débats) * Les deux auteurs sont professeurs émérites de l’Université de Saint-Gall: Philippe Mastronardi enseignait le droit public et Peter Ulrich l’éthique économique.

Revue de presse : UNE ENTREPRISE EST UN SYSTÈME DE CROYANCES par Richard Thibodeau (page 1) Chaque entreprise a son propre système de croyances, c'est-à-dire des convictions, des valeurs, des attitudes, des règles et des principes qu'elle utilise comme cadre de référence dans la gestion de ses ressources humaines. Le système de croyances dans lequel opère une entreprise a une influence déterminante sur la nature des relations et des communications internes et externes. Lorsque le système de croyances de la direction de l'entreprise ne cadre pas avec le système de croyances des employés, on se retrouve alors dans une situation de divergence qui tôt ou tard va générer des irritants qui vont nuire à la qualité des relations et de la communication, avec comme conséquence une perte d'Avantage Compétitif. Les irritants générés par des croyances divergentes sont une perte pour l'entreprise. La direction d'une entreprise spécialisée dans la production de savon croit que ses employés ne travaillent que pour la paie. Jean est président d'une entreprise en haute technologie.

Retour d'expérience sur le don, la société et la notion d'argent. Après un an de travail sur don libre, voilà un petit retour d'expérience. Je ne compte plus les rencontres à la maison et en stage, je dois être à 500 personnes sur un an, donc je commence à avoir une idée claire :) Après avoir passé 4 heures en forêt à bosser sur l'énergie de la première personne que j'ai eue, vient le moment de recevoir mon premier don. Je me sens très mal a l'aise, et l'autre encore plus que moi. Pour moi, après travail à transmuter la structure : La première difficulté est le regard sur soi, les premières choses à faire sauter sont: 'qu'est ce que je vaux ?' Si on enlève le tarif, il reste le premier écueil : l'argent qu'on va me laisser est ce que je vaux. Pour celui qui donne : Ce que j'ai vu dans la structure des personnes de manière générale : beaucoup de gens essaient de me demander quelle est la somme type, je réponds : c'est comme tu veux ça fait partie du boulot sur soi ! Ce qu'on donne à l'autre c'est ce qu'on pense qu'on vaut pour la même prestation.

Le But de l'entreprise (1) La première fois que j'ai lu "Le But" de Goldratt, c'était il y a presque 20 ans... J'avais acheté la première édition publiée en français par l'AFNOR. Sur la suggestion d'un de mes jeunes lecteurs, je viens de lire (ou plutôt dévorer) "Réussir n'est pas une question de chance" du même Goldratt. Construit comme "Le But", sous la forme d'un "roman industriel", il est passionnant et bourré de leçons, surtout sur les processus mentaux. La différence d'avec la première édition n'est pas négligeable : 9 chapitres en plus avec de nombreuses explications sur les cinq étapes du processus de progrès permanent. Et au final l'interview de quelques personnes ayant appliqué avec succès (au moins pendant un certain temps... Donc, relecture passionnante. Une seule chose me contrarie, c'est que Le But ultime de toute entreprise serait le profit... Dans la première édition, le chapitre 31 et dernier chapitre se terminait par une conversation entre Alex et Jonah : - Mais alors, quel est notre but ?

UserPageAJH André-Jacques Holbecq * Réflexion économique initiale sur " YHAD-ECO" * En 2002 , un premier livre: "Un regard citoyen sur l'économie", aux éditions Yves Michel (ISBN : 2 913492 11 8 / 260 pages /17 €) * En 2005, "Une alternative de société: l'écosociétalisme" Ce livre est une approche globale sous forme d'un "modèle" monétaire et économique développé avec mes amis du GRESSO (Groupe de Recherche Économique pour un Système Sociétal) pendant la période 2004/2005,.. ISBN : 2 913492 34 7 (170 pages / 14,50 €) Chez votre libraire ou aux éditions Yves Michel, par le site internet: (voir dans "boutique" et faire la recherche "écosociétalisme" ou "holbecq" ) ou directement au Service clients commandes particuliers. * En 2007, "Les 10 plus gros mensonges sur l'économie", écrit avec Philippe Derudder et paru aux éditions Dangles ISBN: 2-7033-0695-4 (265 pages / 16 €) 4° de couverture Aujourd’hui, Molière aurait sans doute pris pour cible les économistes au lieu des médecins.

La mission d'entreprise < Retour Peter Drucker observait déjà en 1973 que "la plus importante raison de frustration et d'échecs dans les entreprises provient d'une réflexion insuffisante de la raison d'être de l'entreprise, de sa mission". Cette réflexion est toujours d'actualité et beaucoup trop d'entreprises négligent le pouvoir et la portée d'une mission d'entreprise bien formulée. Qu'est-ce qu'une mission d'entreprise? Une définition possible de la mission d'entreprise est "la définition de sa raison d'être, l'aspiration suprême qu'elle tente continuellement d'atteindre". L'énoncé de cette mission est en général une phrase ou un paragraphe qui formule cette raison d'être sous une forme un peu vague mais durable et qui est donc un repère stable dans le changement quotidien. En contraste avec une mission, une "vision" sert à décrire un état futur désiré. Dans la littérature de management, on peut distinguer entre deux écoles de pensées. Exemples: Les éléments de la mission La raison d'être La formulation J.

Le gratuivorisme, pour une société sans argent, gagne l'Argentine Le gratuivorisme, pour une société sans argent, gagne l'Argentine BUENOS AIRES (Argentine) - La recherche d'une société sans consumérisme et sans argent, un mode de vie alternatif né aux Etats-Unis où il est appelé freeganisme, autrement dit gratuivorisme, gagne de nouveaux adeptes parmi les jeunes en Argentine. J'essaye de vivre sans argent, dit à l'AFP Ariel Rodriguez Bosio, 34 ans, qui se veut gratuivore ou freegano. J'essaye d'encourager une nouvelle société et de ne plus soutenir cette vieille société injuste, ajoute-t-il. Ariel, l'allure sportive et le regard perçant, fondateur de l'ONG Arco Iris universal (Arc-en-ciel universel), a renoncé au téléphone portable et à la télévision, porte des vêtements sans marque et préfère le citron au déodorant. Nous tâchons de dépenser le moins possible, cesser de dépendre de la société de consommation, être autosuffisants, explique-t-il. Ce mouvement naît en 1999 aux États-Unis lorsque Warren Oaks, ex-batteur du groupe punk Against Me!

AFK – Acheter – Spintank Transports en commun gratuits : une riche idée ! La gratuité est chère au coeur des Aubagnais. Par « chère », comprenez « précieuse ». Car depuis le 15 mai 2009, les 103 000 habitants de l’agglomération du pays d’Aubagne et de l’Etoile, dans les Bouches-du-Rhône, n’ont plus à débourser un centime pour effectuer leurs trajets en bus. Un livre nous y aide. Car la capitale des santons n’est pas la seule à ne plus faire payer l’accès à ses transports en commun. Lutter contre l’idée que gratuité = vandalisme assuré Dans les douze communes du pays de Pagnol, l’idée de ne plus avoir ni ticket de bus à payer ni contrôleur pour traquer les fraudeurs a émergé après l’élection de Nicolas Sarkozy. « L’argent prenait le pas sur tout », tempête encore la communiste Magali Giovannangeli. La gratuité entraîne, c’est évident, une modification de la structure de financement des transports en commun. « Une subversion jubilatoire du système capitaliste » C’est à l’usage que les plus réticents ont été convertis à ce système. Un système menacé

Les clés du co-branding IDEACTIS Conseil en Créativité & Stratégie de Marque Face à un contexte économique incertain et la nécessité d’innover sans cesse, le co-branding peut être un levier de croissance qui suit l’adage « l’union fait la force ». Petit tour d’horizon d’une pratique gagnant/gagnant… Vous avez dit « co-branding » ? Le principe du co-branding est simple : deux marques associent leurs identités et leurs savoir-faire dans le cadre de la création d’un nouveau produit, d’un nouveau service ou d’une action de communication spécifique (promotion des ventes par exemple). Les exemples sont légion dans de nombreux secteurs d’activité : l’automobile (Nissan Micra /Lolita Lempicka), l’alimentaire (Mikado /saveur Daim), les services (Club Med/ Spa Cinq Mondes)… et supposent toujours une marque d’accueil et une autre « invitée ». L’intérêt est multiple : Eviter les pièges Pour réussir une action de co-branding, encore faut-il actionner certains leviers… Le co-branding accessible à tous

Gratuité : en Italie, une autre économie, par Geraldina Colotti Une petite localité suspendue dans le temps, un ancien bourg médiéval en pierre à l’aspect de château fort : Torri Superiore, située dans le Val Bevera, au pied des Alpes ligures, a conservé des traces de vie communautaire, sa grande salle collective, son four à ciel ouvert et son réseau de cent soixante pièces et passages au plafond voûté. A la fin des années 1970, le village assoupi s’était brièvement réveillé, avec une expérience d’utopie communautaire impulsée par un situationniste turinois. Puis, en 1989, il fut pris en main par un groupe de jeunes qui décida d’y fonder un écovillage. Aujourd’hui, ils sont seize habitants, enfants compris. Ils se partagent les tâches et les revenus, prennent les décisions par consensus, tout en acceptant une certaine élasticité individuelle (certains vivent dans la communauté mais travaillent à l’extérieur). Durant toute l’année, des gens de tous les coins du monde viennent au village participer aux cours de formation environnementale.

Community Management : Devenir community manager « Ce qui rend les marques influentes n'est pas leur taille mais leur communauté ». Cette phrase lancée par Chuck Byrme, dirigeant de DDB worldwide (qui fait partie du Groupe Omnicom, deuxième groupe de communication au monde) résume à elle seule la légitimité du métier de community manager. La naissance du Web participatif a été l'un des principaux facteurs de la création de ce métier. Naissance du métier de community management : le contexte Les prémices du Web 2.0 Il convient de remonter aux prémices d'Internet pour comprendre la naissance du web participatif. *1979 : Usenet est un système en réseau de forums : à l'époque, les conversations sont gérées par une personne qui se charge de la modération, modération qui reste minime car le système est principalement utilisé par des universitaires et des chercheurs. 1993 : la modération apparaît dans les premiers forums grand public, qui dans le même temps feront apparaître la notion d'identité numérique ou d' « avatars ». A voir également

Slow Money: La revanche des fermiers sur les banquiers! - L Terre – Social: Aux Etats-Unis, un mouvement visant à lutter contre le surendettement et la surconsommation prend de plus en plus d’essor : Slow Money! Comptant déjà 20.000 adhérents, ce mouvement promeut l’idée de réinvestir dans le terroir et la qualité de ce qui se trouve dans nos assiettes, plutôt que dans des choses moins essentielles. Déjà, l’organisation a permis d’injecter plus de 20 millions de dollars dans 170 petites entreprises alimentaires au cours des deux dernières années. Le projet est beau! A rejoindre et à reproduire! WordPress: J'aime chargement… Connexe Réinventez la démocratie avec les Colibris! La (R)évolution des colibris entame sa quatrième et avant-dernière étape : Réinventer la démocratie, on le fait ! Dans "Actu Sociale"

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