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Sureté nucléaire

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Moruroa Files. Sécurité nucléaire : le grand mensonge. CENTRALES NUCLEAIRES : LE GRAND CHANTIER - Fissures, fuites, manque d’investissements, risque de blackout : la situation inquiétante du parc nucléaire belge. 50% de la consommation électrique en Belgique est alimentée par le nucléaire.

Fissures, fuites, manque d’investissements, risque de blackout : la situation inquiétante du parc nucléaire belge

Du moins en temps normal, quand les centrales belges fonctionnent... Ce qui devient exceptionnel ! La Belgique a entamé ce mois de novembre avec un seul réacteur nucléaire opérationnel, sur les sept que comptent le pays. En cause : des problèmes de fuites, de fissures, de « dégradation des bétons ». Un seul des six réacteurs belges à l’arrêt début novembre, Tihange 1, l’était pour des raisons d’entretien et de maintenance programmés. Les sept réacteurs nucléaires belges sont répartis sur deux centrales : Doel, à la frontière avec les Pays-Bas, abrite quatre réacteurs, et Tihange, dans la région de Liège, trois. Des centrales électriques sur des bateaux pour suppléer aux réacteurs défaillants ? Sur Doel 1, une fuite a été constatée en avril dernier. Bernard Laponche : “Il y a une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe

Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel : la France est dans l'erreur.

Bernard Laponche : “Il y a une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe”

Avec le nucléaire, elle s'obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète. Alors que d'autres solutions existent, grâce auxquelles les Allemands ont déjà commencé leur transition énergétique. Il est des leurs. Nucleaire La fin d un mythe. Envoyé spécial. Barrage de Vouglans : le scénario catastrophe - 13 septembre 2018 (France 2) Energie : une nouvelle centrale pointée du doigt par le gendarme du nucléaire. L'Autorité de sûreté nucléaire a rendu un rapport sévère sur l'état de la centrale de Belleville-sur-Loire (Cher).

Energie : une nouvelle centrale pointée du doigt par le gendarme du nucléaire

Résultat : le site a été mis sous surveillance. Des travaux abandonnés et pourtant obligatoires, des canalisations rouillées qui fuient, des vannes laissant échapper de la vapeur avec un risque de contamination radioactive, des systèmes d'alimentation électrique de secours dont le fonctionnement peut faire défaut en cas d'accident... Ce ne sont que quelques-uns des nombreux exemples de dysfonctionnements constatés par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) lors d'une «inspection renforcée» menée les 4 et 5 avril à la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire (Cher).

LIRE AUSSI> La centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire placée sous «surveillance renforcée» Cette inspection a donné lieu à un rapport au vitriol, que nous nous sommes procuré. Un rapport publié par Greenpeace alerte sur la sécurité des centrales nucléaires. Ces sept experts (France, Allemagne, Royaume-Uni et États-Unis), spécialistes en sûreté nucléaire, sécurité, radioprotection et économie, se sont particulièrement intéressés à la capacité de résistance des piscines d'entreposage des combustibles nucléaires usés.

Un rapport publié par Greenpeace alerte sur la sécurité des centrales nucléaires

Des constats similaires ont été réalisés pour les centrales belges de Doel et Tihange. Sécurité des centrales : «EDF va investir 700 millions d'euros supplémentaires» - Le Parisien. Durant dix-huit mois, Greenpeace a fait travailler des experts internationaux sur la protection de notre parc nucléaire face au risque terroriste.

Sécurité des centrales : «EDF va investir 700 millions d'euros supplémentaires» - Le Parisien

Que nous apprend-il ? « Que nous connaissons un déficit historique de la protection de nos installations», s'alarme Yves Marignac, l'un des contributeurs du rapport. LIRE AUSSI >Que dit le rapport publié par Greenpeace ? Face à ces conclusions, quels moyens apporter aux installations nucléaires ? La réponse du directeur du parc nucléaire d'EDF, Philippe Sasseigne. Face aux nouvelles formes de menaces, la sécurité des 19 centrales est-elle suffisamment assurée ? Philippe Sasseigne.Tous les moyens sont mis en oeuvre, et de manière coordonnée, entre EDF et l'Etat, pour l'assurer. Mais le fait que la plupart des centrales aient été construites à une époque où le risque terroriste n'existait pratiquement pas ne constitue-t-il pas une faiblesse ?

QUESTION DU JOUR. C'est faux. Bruno Comby : "Ces drones sont en train de cartographier les centrales" « C’est incroyable qu’on n’ait pas encore fondu un cœur de réacteur » : des techniciens EDF s’inquiètent. Salle de commande d’une centrale nucléaire française, un jour d’automne 2017. L’arrêt de tranche – le réacteur et ses équipements –, nécessaire pour remplacer le combustible nucléaire et assurer l’entretien de l’installation, est terminé. Le moment est venu de remettre le réacteur en route. « Pour s’assurer que la réaction nucléaire reste sous contrôle, au franchissement de chaque pallier, les opérateurs doivent verrouiller manuellement un système de protection automatique du réacteur depuis le pupitre de commande », explique Louis, qui a travaillé pendant 20 ans en salle de conduite – le poste de contrôle des réacteurs [1].

Mais ce jour là, les deux opérateurs et les deux ingénieurs présents dans la salle de commande n’arrivent pas à activer le système de verrouillage manuel. En vingt ans, une profonde évolution des méthodes de travail « La salle de commande, c’est un lieu de pouvoir, c’est clair. Au nom de la performance économique, la maintenance amputée. Réacteurs: reprise progressive de la production chez Areva au Creusot.

La production de l'usine Areva du Creusot, interrompue en 2016 à la suite d'irrégularités, a repris avec la coulée d'un élément destiné à la future centrale nucléaire d'Hinkley Point en Angleterre, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.

Réacteurs: reprise progressive de la production chez Areva au Creusot

"Des opérations de forgeage d'un composant destiné à un client nucléaire ont démarré cette semaine à l'usine de Creusot Forge. Cinq nouveaux réacteurs nucléaires mis à l’arrêt suite aux anomalies du Creusot - L'Usine de l'Energie. Mardi 18 octobre, le ministère de l’Environnement a confirmé la mise à l’arrêt de cinq nouveaux réacteurs nucléaires du parc français qui en compte 58.

Cinq nouveaux réacteurs nucléaires mis à l’arrêt suite aux anomalies du Creusot - L'Usine de l'Energie

"Ségolène Royal, ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer, prend acte de la décision de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) de demander à EDF l’arrêt de 5 réacteurs nucléaires sous 3 mois et de renforcer les contrôles sur 6 réacteurs déjà arrêtés", indique ces communiqués. Les cinq tranches concernées sont Fessenheim 1, Tricastin 2 et 4, Gravelines 4 et Civaux 1. Le réacteur numéro 2 de Fessenheim maintenu à l’arrêt à cause d’une anomalie. Le réacteur numéro 2 de Fessenheim (Haut-Rhin), arrêté par EDF le 13 juin, est maintenu à l’arrêt en raison d’une anomalie détectée sur un générateur de vapeur de la centrale nucléaire présentant une irrégularité de fabrication, selon l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).

Le réacteur numéro 2 de Fessenheim maintenu à l’arrêt à cause d’une anomalie

Les générateurs de vapeur sont des échangeurs de chaleur qui transforment l’eau du circuit secondaire du réacteur en vapeur pour alimenter les turbines générant l’électricité. « L’ASN a suspendu le certificat d’épreuve [nécessaire à la mise en service] qu’elle avait délivré à Areva en 2012 », a annoncé l’ASN. Areva a annoncé mardi poursuivre ses analyses, qui ont conclu, jusqu’ici, « que l’anomalie n’était pas préjudiciable à la sûreté de l’exploitation ». Soupçons sur la sûreté de 18 réacteurs nucléaires français. Selon une note publiée jeudi par l’Autorité de sûreté nucléaire, certains générateurs de vapeur présentent des fragilités similaires à celles de la cuve de l’EPR de Flamanville.

Merci. Là je regarde toujours le beau docu' sur cette île préservée d'Indonésie. <3 Je le regarderai demain, merci ! :) – alwen
En effet et plus nous utilisons cette énergie et plus nous produisons de déchets. Rien n'est logique dans l'utilisation de cette énergie, "sauf" qu'elle permet de produire du plutonium ! Et avec des politiques toujours accro à cette vieille casserole, nous sommes aussi incapables d'entamer une transition énergétique loin du fossile et du nucléaire ! Franchement, zéro pointé ! – alwen
C'est clair que l'on joue à l'apprenti sorcier... le pb est surtout lié au stockage des déchets nucléaires... on va devoir garder ces déchets à haut risque pendant des centaines (voire milliers) d'années. Et clairement, à l'heure actuelle, on n'a pas de solution fiable et pérenne. – sansogm
Hehe côté face. Le taux de carbone ne semble pas y être vanté. Merci en tous cas ! ;-) – alwen
Et voici pour la brochure "produit" : ;-) – sansogm
Et pourquoi ces anomalies ? Cela coûte moins cher, ces cuves se fabriquent-elles plus vite ? Je vais l'ajouter, merci ! :) – alwen

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir La série noire continue pour EDF.

Soupçons sur la sûreté de 18 réacteurs nucléaires français

Et chaque nouvel épisode renforce les inquiétudes. L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a révélé, dans une note publiée jeudi 23 juin, que « certains générateurs de vapeur de réacteurs d’EDF pourraient présenter une anomalie similaire à celle de la cuve de l’EPR de Flamanville [Manche] ». Concrètement, ont été décelées des zones de concentration importante en carbone, « pouvant conduire à des propriétés mécaniques plus faibles qu’attendues ». En avril 2015, l’ASN avait révélé que l’acier des calottes (couvercle et fond) de la cuve de l’EPR en construction à Flamanville était fragilisé par une teneur excessive en carbone, dans certaines zones.

Estimation des coûts d’accidents nucléaires en France : Méthodologie appliquée par l’IRSN. En 2013, la publication par l’IRSN des premiers résultats de ses investigations relatives au coût d’un accident nucléaire entraînant des rejets radioactifs importants (lire l’actualité du 19 février 2013) avait soulevé une polémique en raison du niveau important (et inattendu pour nombre d’observateurs) des coûts médians pour deux types différents d’accidents estimés.

Estimation des coûts d’accidents nucléaires en France : Méthodologie appliquée par l’IRSN

L’IRSN publie aujourd’hui un rapport méthodologique sur ce sujet. Alors que l’attention s’est focalisée en 2013 sur le chiffrage total des conséquences d’un accident dans notre pays, l’importance de ce nouveau rapport réside surtout dans l’approche analytique qu’il propose pour les différentes composantes de ce coût, dont certaines pourraient être maîtrisées et donc réduites par la mise en œuvre précoce de mesures publiques appropriées. Royal "prête à donner le feu vert" au prolongement de 10 ans des centrales nucléaires. La ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène Royal, a indiqué dimanche être "prête à donner (le) feu vert" au prolongement de dix ans de la durée de vie des centrales nucléaires françaises, qui passerait ainsi de 40 à 50 ans.

"Oui, je suis prête à donner ce feu vert, sous réserve de l'avis de l'Autorité de sûreté nucléaire", a-t-elle déclaré sur France 3, ajoutant que ces centrales exploitées par EDF "sont déjà amorties, donc produiront une électricité meilleur marché". Les objectifs de la loi de transition énergétique maintenus. Un accident nucléaire coûterait jusqu'à 5.800 milliards d'euros. L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) va publier les résultats détaillés de ses travaux sur le coût d'un accident nucléaire, après la publication dimanche 10 mars par le "JDD" sur la base d'un rapport de 2007 d'un chiffrage maximum de 5.800 milliards d'euros, qu'il affirme être "fort peu réaliste".

Ce rapport confidentiel de l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), cité par le "Journal du dimanche" (JDD), évaluait le coût d'une catastrophe nucléaire, en incluant les pertes économiques mais aussi les coûts environnementaux et les dépenses de santé. Selon ce rapport établi en 2007, le coût d'un accident majeur pouvait aller de 760 milliards d'euros pour un "cas de base" à 5.800 milliards d'euros, soit l'é"quivalent de trois années de PIB, dans le cas d'une situation particulièrement catastrophique.

"Fort peu réaliste" Scandale de contrefaçon nucléaire en Corée du Sud. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Philippe Mesmer (Tokyo, correspondance) Corruption, problèmes techniques, manque de transparence : la filière nucléaire sud-coréenne vit une année 2012 difficile. Surtout depuis la révélation – discrète et peu relayée dans la presse – du scandale de la contrefaçon de pièces détachées du groupe français Areva.

France needs to upgrade all nuclear reactors. EDF sommé de revoir rapidement la sûreté de 30 réacteurs, Actualités. Ina.