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Nucléaire : vers des réacteurs plus petits ? Une centrale nucléaire flottante en route pour la Tchoukotka. Port de Mourmansk, ancien cimetière de sous-marins nucléaires, dans le nord-ouest de la Russie.

Une centrale nucléaire flottante en route pour la Tchoukotka

C'est de là que la première centrale nucléaire flottante conçue comme telle est partie le 23 août 2019 pour rejoindre le 14 septembre le port de Pevek, dans la péninsule de Tchoukotka, au-delà du cercle polaire arctique. Baptisée Akademik Lomonosov et construite dans les chantiers de la Baltique à Saint-Pétersbourg, elle a fait une halte à Mourmansk pour charger en combustible ses deux réacteurs à eau pressurisée KLT-40S, similaires à ceux utilisés pour propulser les brise-glaces russes.

Nucléaire : le programme de futurs EPR pourrait coûter au moins 46 milliards d’euros. Article réservé aux abonnés La France n’a pas encore tranché si elle allait ou non construire de nouveaux réacteurs EPR, mais EDF se prépare à ce que le gouvernement prenne une décision en ce sens.

Nucléaire : le programme de futurs EPR pourrait coûter au moins 46 milliards d’euros

Dans un document confidentiel présenté au conseil d’administration le 25 juillet, que Le Monde a pu consulter, le groupe détaille une première version de son projet « Nouveau nucléaire de France ». Dans cette présentation, EDF calcule que six réacteurs EPR construits par paires, financés sur une durée d’environ vingt ans, coûteraient au moins 46 milliards d’euros.

Soit entre 7,5 et 7,8 milliards d’euros par réacteur, selon ses estimations. Un montant nettement moins élevé que l’EPR de Flamanville (Manche), chiffré aujourd’hui à 12,4 milliards d’euros, mais beaucoup plus important que le coût d’origine de l’EPR (3,3 milliards d’euros). Officiellement, le gouvernement en est encore au stade de la réflexion sur l’éventualité d’un tel programme. Réacteurs à eau sous pression de conception russe : les VVER : Dossier complet. Les premiers réacteurs prototypes utilisant l'énergie nucléaire ont vu le jour en Union soviétique dans les années 1950 ; le 27 juin 1954, un réacteur uranium-graphite de 5 MW est entré en production à Obninsk près de Moscou.

Réacteurs à eau sous pression de conception russe : les VVER : Dossier complet

Le premier réacteur à eau sous pression prototype (210 MW électrique) de type soviétique (VVER ) est entré en production en 1964 à Novovoronezh, à un peu plus de 500 km au sud de Moscou. Cet article présente chronologiquement les différents modèles industriels VVER. La première section propose une description rapide du principe et des principales différences entre les VVER et les réacteurs à eau sous pression occidentaux (REP) ainsi que les raisons qui ont conduit aux différents choix technologiques. Les principales séries de VVER sont ensuite détaillées dans les sections suivantes. L'article se limite à un descriptif technique sans aborder les aspects économiques, la fiabilité et les considérations de sûreté et de fonctionnement.

CEA - site de Cadarache. L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a été informée par le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), le 17 juillet 2018, de la chute d’un colis de déchets dits « moyennement irradiants » de 500 litres, d’une hauteur d’environ 5 mètres, dans un puits d’entreposage.

CEA - site de Cadarache

Cette chute est survenue le 25 octobre 2017 dans la station de traitement des déchets (STD) du centre de Cadarache (INB 37-A). Les colis de déchets élaborés dans la STD sont déplacés au moyen d’un « château de transport », équipé d’un système de préhension par ventouse. Il s’agit d’un équipement massif, blindé, destiné à assurer la protection des opérateurs contre les rayonnements émanant des colis de déchets. Une anomalie technique a conduit, le 25 octobre 2017, à une interprétation erronée, par les opérateurs, de la bonne préhension du colis par la ventouse.

Cet événement n’a eu aucune conséquence sur la sécurité des personnes et sur l’environnement. Publié le 19/03/2019. Avis IRSN 2018 00013. Démantèlement des réacteurs UNGG. Les réacteurs nucléaires de « première génération » d’EDF de type « uranium naturel-graphite gaz [1] » (UNGG) ont été arrêtés entre 1973 et 1994.

Démantèlement des réacteurs UNGG

Le combustible, qui représentait la quasi-totalité du risque, a été évacué. Les installations n’ont été que partiellement démantelées. Les réacteurs de Chinon A1 et A2 ne disposent pas à ce jour des autorisations nécessaires pour réaliser la suite du démantèlement. La réglementation prévoit[2] que l’ASN fixe à EDF le délai de dépôt de leur dossier de démantèlement. Les autres réacteurs UNGG (Bugey 1, Chinon A3, Saint-Laurent A1 et A2) disposent d’une autorisation de démantèlement suivant un scénario prévu par EDF au début des années 2000. EDF a annoncé en 2016 que le scénario de démantèlement en eau posait des difficultés techniques majeures et qu’elle retenait finalement un scénario de démantèlement en air.

Par ailleurs, les filières de gestion des déchets, nécessitant potentiellement des entreposages, doivent être précisées dans ce cadre. Fonctionnement des réacteurs nucléaires en période de canicule. Le fonctionnement des réacteurs nucléaires pendant les périodes de canicule est pris en compte dans leur démonstration de sûreté.

Fonctionnement des réacteurs nucléaires en période de canicule

Les températures considérées sont régulièrement réévaluées, notamment à l’occasion des réexamens périodiques, pour prendre en compte les évolutions climatiques. Service Central d'Authentification.