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Impacts: humain & environnemental

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Viande : impact sur l'environnement, la santé et les animaux. Comment marchés financiers et multinationales accaparent aussi les mers et les océans. Mais comment donc des intérêts privés peuvent-ils accaparer les océans ?

Comment marchés financiers et multinationales accaparent aussi les mers et les océans

Il ne s’agit pas – encore – de ses fonds marins, mais de ses ressources dont dépendent 800 millions de personnes, habitant les littoraux et vivant de la pêche. Rivages côtiers et eaux continentales, estuaires, lagunes, deltas, zones humides, mangroves, ou encore récifs coralliens, sont concernés. Comment se traduit cette appropriation d’un bien commun ? Un rapport, intitulé « l’accaparement global des océans », vient d’être publié par des organisations internationales, en collaboration avec le Forum mondial des peuples de pêcheurs. [1] Il pointe les nouveaux maux qui menacent la vie des communautés des bords de mer, du Chili à la Thaïlande en passant par l’Europe du Nord ou les côtes africaines. Ces maux ont pour nom quotas de pêche, conservation du littoral ou aquaculture. 5 faits terrifiants sur l'état alarmant de l'industrie alimentaire mon.

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5 faits terrifiants sur l'état alarmant de l'industrie alimentaire mon

Nous consommons moins d'un tiers de la nourriture que nous produisons. Le monde produit actuellement de quoi fournir environ 2.700 calories à chaque être humain, et pourtant, la planète est sous-alimentée dans son ensemble. Un tiers de la nourriture produite est utilisée comme aliment pour le bétail et le troisième tiers est gaspillé. En outre, 5% des aliments produits sont utilisés pour produire des biocarburants. 2. 3. Sécurité alimentaire : de la viande avariée dans les produits «premier prix»

«Viandes gris verdâtre impropres à la consommation humaine dans des charcuteries, moisissures, souris vivantes ou mortes, excréments de souris dans des étuves à chorizo, fromage ramassé à la raclette sur le sol pour en faire du fromage fondu» : c'est ce qu'ont découvert les enquêteurs de Cour des comptes en passant au crible les produits «premiers prix», selon le dernier volet de son rapport annuel, consacré à la sécurité alimentaire et relayé par Le Télégramme ce jeudi.

Sécurité alimentaire : de la viande avariée dans les produits «premier prix»

Les enquêteurs de la Brigade nationale d'enquêtes vétérinaires et phytosanitaires (BNEVP), rattachée au ministère de l'Agriculture, ministère de l'Agriculture, constatant des « manquements graves aux conditions d'hygiène » et des « failles de traçabilité », tirent la sonnette d'alarme : «L'offre des produits premiers prix peut paraître attractive, mais leur consommation systématique, par une population croissante, pourrait avoir, à terme, des répercussions sur la santé publique», rapporte le quotidien breton. OGM dans quels pays sont-ils autorisés. Réagissez : Partagez : A votre avis, dans combien de pays du monde les OGM sont-ils interdits ?

OGM dans quels pays sont-ils autorisés

10, 20 ? Très loin de là ! Seuls 3 pays au monde interdisent toute culture ou importation d’aliments génétiquement modifiés… Le Center for Food Safety, une ONG américaine dénonçant les risques pour la santé et l’environnement en matière d’alimentation, a réalisé une carte dynamique de la législation mondiale sur les OGM. Sur cette carte, on peut se rendre compte de la position de chaque pays du monde concernant les OGM : en vert, couleur la plus présente en Europe, sont représentés les pays qui imposent un étiquetage de tous (ou presque) les aliments génétiquement modifiés.

La nuance de vert la plus foncée désigne les pays qui imposent un étiquetage pour les produits contenant plus d’1% d’OGM dans leur composition. La nuance moyenne de vert indique les pays ayant choisi d’indiquer les produits contenant plus d’1% d’OGM ou qui n’ont pas défini de seuil, comme au Brésil ou en Chine.

Après le retrait de son étude, le Pr. Séralini a enfin accès à un droit de réponse. L’éditeur de Food and chemical toxicology applique deux poids deux mesures en matière de publication en faveur de l’industrie.

Après le retrait de son étude, le Pr. Séralini a enfin accès à un droit de réponse

Face à cette partialité flagrante, la revue a enfin publié un droit de réponse de l’équipe Séralini. Plus d’un an après publication [1], le rédacteur en chef de Food and chemical toxicology (Fct), Dr A. Wallace Hayes, retirait l’étude de toxicologie de long terme sur deux produits de monsanto, le maïs ogm (NK603) et son herbicide associé (Roundup) de l’équipe Séralini & al, tout en reconnaissant [2] ni fraude ni mauvaise interprétation intentionnelle.

L’éditeur en chef de Fct avait justifié le retrait [3] de la publication sur le fait qu’il n’était pas possible de conclure sur un lien entre OGM et cancer, alors qu’à aucun moment le mot cancer n’y a été employé. Toutes les tumeurs ne sont pas des cancers, mais elles induisent en général la mort à cause d’hémorragies internes et de compressions d’organes vitaux. La stratégie diabolique des futures plantes OGM. [DOC] : Bientôt dans votre assiette (de gré ou de force) [DOC] : Germes tueurs (Arte) [DOC] : Solutions locales pour un désordre global de Coline Serreau. [DOC] : TOUS COBAYES de Jean-Paul Jaud. [DOC] : "Le Jugement" de Maxime Ginolin.