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Fiscalité du numérique: pourquoi taxer l’exploitation des données personnelles. Une mission gouvernementale a rendu un rapport envisageant de taxer Google, Facebook et consort, selon le volume de données personnelles qu'ils collectent et exploitent.

Fiscalité du numérique: pourquoi taxer l’exploitation des données personnelles

Et le projet apparaît d'autant plus juste, que par le simple fait d’être présent en ligne, on travaille et crée de la valeur pour ces entreprises, c’est le Digital Labor. Explications. A l’origine de ce rapport rendu ce vendredi, le gouvernement qui a confié à Pierre Collin, conseiller d'Etat, et à Nicolas Colin, inspecteur des Finances, le soin de trouver des idées pour taxer les groupes internationaux qui "éludent ou minorent" leur imposition en France, tels Google, Apple, Facebook et Amazon.

Le rapport prend un biais. Il propose de taxer ces entreprises selon le volume des données personnelles des Français qu’elles exploitent, en tant que ces données seraient représentatives d’un volume d’activité économique échappant à l'impôt sur le territoire. Notre participation en ligne est en fait une forme de travail. Exploitation des données personnelles : jusqu'où peut-on aller ? La numérisation des relations entre les individus et les entreprises pose semaine après semaine des questions épineuses concernant l'exploitation des données personnelles des premiers par les secondes.

Exploitation des données personnelles : jusqu'où peut-on aller ?

Le constat est particulièrement vrai pour le e-commerce ou les médias numériques, comme le montrent les récentes polémiques qui ont entouré Facebook. La géolocalisation qu'ont amené les smartphones ne fait que renforcer la problématique. Pour le directeur de l'organisation et des systèmes d'information du Groupement des Mousquetaires, les entreprises doivent faire évoluer leurs comportements pour ne pas susciter une réaction de rejet des consommateurs. Vers un juste équilibre des relations numériques entre clients et marques ?

Chaque jour davantage, le numérique bouscule notre vie privée et nos modes de consommation. Certes, l'internaute y retrouve son compte. Pub géolocalisée : les consommateurs réticents Redéfinir le rôle du numérique. L'application WhatsApp accusée de violer la vie privée. Les autorités canadiennes et néerlandaises chargées de la protection de renseignements privés ont accusé lundi la populaire application pour téléphones intelligents WhatsApp de transgresser plusieurs lois dans ce domaine.

L'application WhatsApp accusée de violer la vie privée

Le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada et l'autorité néerlandaise de protection des données, le CBP, ont mené une enquête conjointe sur WhatsApp, un système de messagerie instantanée pour téléphones intelligents. Afin d'utiliser les services de WhatsApp, les utilisateurs doivent consentir à donner accès à l'application à tout leur carnet d'adresses. Tous les numéros de téléphone enregistrés dans leur appareil mobile sont transmis à WhatsApp pour faciliter l'identification d'autres utilisateurs de l'application. Enquête sur des «applis» pour enfants.

Le gendarme américain du commerce (FTC), chargé de la protection des consommateurs, a annoncé lundi avoir lancé une enquête sur des applications pour appareils portables destinées aux enfants et qui collectent des données personnelles sans avertir les parents.

Enquête sur des «applis» pour enfants

La dernière étude du régulateur américain du commerce (Federal Trade Commission, FTC), portant sur des applications disponibles dans les boutiques en ligne d'Apple et Google, a ainsi conclu qu'un grand nombre de ces programmes collectaient des informations privées et les partageaient souvent avec des développeurs ou des commerciaux. «Notre étude montre que les applis pour enfants siphonnent un nombre alarmant d'informations depuis les appareils portables sans le dire aux parents», souligne Jon Leibowitz, président de la FTC. «Nous ne nommons pas les applications (visées par ces révélations), parce que nous pensons qu'il s'agit d'un problème général.

Ethique de l'Internet: désirs, normes, pratiques. Ce texte a été présenté, une première fois, lors d'un colloque organisé à Venise par Yannick Maignien.

Ethique de l'Internet: désirs, normes, pratiques

Voyez ici les informations sur cette manifestation. Je l'ai remanié dans la perspective des travaux du comité InfoEthique du CNRS, piloté par Jean Gabriel Ganascia. Ethiques sans éthique Il y a prolifération d'éthiques particulières sur le net, comme autant de micro-formes de politesse, de civilité (la " netiquette "), de pseudo et de quasi contrat. Simultanément, grande floraison aussi de déontologies, chartes, déclarations, forums, professionnels, associatifs, administratifs ou commerciaux qui, implicitement ou explicitement, se présentent comme autant de manifestations d'une démarche éthique.

Il est intéressant de considérer d'abord ces initiatives en rappelant la vieille notion de " science pratique ", construite par Aristote, et son triptyque : politique, éthique, économique. Une réflexion contemporaine sur l'éthique n'impose pas d'opter pour telle ou telle conception philosophique. D’ici 2016, 30% des organisations vont monétiser leur patrimoine informationnel. Les entreprises commencent à prendre conscience de la valeur des informations qu’elles ont collectées dans le cadre de leur activité.

D’ici 2016, 30% des organisations vont monétiser leur patrimoine informationnel

Ainsi, d’après les estimations du cabinet Gartner, 30% des entreprises vont monétiser leurs données directement ou indirectement, à travers la vente ou l’échange d’informations. Doug Laney, Vice-président de Gartner, explique ce phénomène par « le besoin de justifier les dépenses liées au stockage et à la gestion de gros volumes de données ». Certaines entreprises commercialisent déjà une partie de leur patrimoine informationnel ou exploitent des données diffusées par les organismes publics pour concevoir de nouveaux produits. Cette tendance va progressivement mener à la formation d’un nouvel écosystème qui se développera pour structurer la commercialisation de l’information. Sitter Québec - Éthique et Confidentialité. Protection de la confidentialité des membres de notre réseau Charte relative à la protection des données personnelles disponible sur SitterQuébec.com et SitterCanada.com 9220-5731 Québec Inc. (ci-après : « le site ») Charte relative à la protection des données personnelles de SitterQuébec.com Le Site s’engage à préserver la vie privée de tous les visiteurs du site Internet SitterQuébec.com.

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