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Sociologie de l'homme social par Eddie Soulier. Pratiques informationnelles et analyse des traces numériques : de la représentation à l’intervention. 1Quand Gabriel Tarde écrivait en 1890 qu’il « pourra venir un moment où, de chaque fait social en train de s’accomplir, il s’échappera pour ainsi dire automatiquement un chiffre, lequel ira immédiatement prendre son rang sur les registres de la statistique » (Tarde, 1890, 192), le sociologue iconoclaste imaginait une situation qui paraît, cent vingt ans après, en train de se réaliser.

Pratiques informationnelles et analyse des traces numériques : de la représentation à l’intervention

Dans les espaces numériques, qui ne cessent de se multiplier, chaque opération d’un utilisateur peut potentiellement déclencher la production d’une trace. Url. Le tout-gratuit est-il vraiment une fatalité à l’ère du numérique ? - Pour beaucoup, le Net est vécu comme un espace de liberté, d'universalité et de... gratuité. « Les mômes veulent l’instantanéité et on leur a mis dans la tête que ça devait être gratuit » lançait le 21 août dernier au micro de RMC Pierre Lescure, chargé par le Gouvernement d’une mission de concertation sur l’adaptation de l’économie de la culture au monde connecté.

Le tout-gratuit est-il vraiment une fatalité à l’ère du numérique ? -

Que « les mômes » souhaitent désormais avoir accès à tout, immédiatement et sans contraintes est un fait. Quoi de plus naturel à l’ère du numérique, avec la baisse considérable des coûts et l’accessibilité accrue des œuvres dématérialisées. Qu’ils soient jeunes ou moins jeunes d’ailleurs. Et certes, la génération élevée au lait d’Internet est habituée à se servir dans les supermarchés du Net. Mais cela ne veut pas forcément dire que le tout-gratuit soit une fatalité. Qu’on se le dise, les pirates d’aujourd’hui sont les clients de demain. Alors le gratuit est-il vraiment une question de génération ?

00329899, version 1] Entre marché et communauté : une discussion de la culture participative à l'exemple de Google Maps. 00379526, v1] Étudier les réseaux comme phénomènes hétérogènes : quelle place pour la « nouvelle science des réseaux » en sciences humaines et sociales ? La societe des individus, Norbert Elias. Le besoin d'autonomie va de pair avec celui d'appartenance au groupe social. 202 On ne change pas d'identité collective comme on change de chemise. 291 - La question de l'individu L'individu n'a pas toujours existé comme tel, c'est une apparition récente dans l'histoire dont on peut suivre le processus de formation.

La societe des individus, Norbert Elias

La notion d'individu est au coeur de l'écologie et Norbert Elias donne des formulations exemplaires des rapports de l'individu et de la société, en montrant comment l'individu est un produit de la société. Ce pourquoi il réfute même le terme d'environnement pour ce qui constitue un tissu de relations et d'interdépendances, l'individu n'étant lui-même, comme pour Bateson, qu'un noeud de relations. L'individu est aussi au coeur de la question du libéralisme et de la refondation sociale. . - Civilisation, répression, monopole, empire On peut passer à côté d'Elias comme son temps l'a ignoré jusqu'en 1969 alors que son oeuvre commence en 1939. . - Autonomie et précarité.

PPH-individualisme. Société individualiste de masse - Dominique WOLTON. J’ai construit ce mot pour rendre compte de l’originalité de la société contemporaine où cohabitent deux données structurelles, toutes deux normatives mais contradictoires : la valorisation de l’individu, au nom des valeurs de la philosophie libérale et de la modernité ; la valorisation du grand nombre, au nom de la lutte politique en faveur de l’égalité.

Société individualiste de masse - Dominique WOLTON

L’économie de marché ayant assuré le passage de l’un à l’autre, en élargissant sans cesse les marchés, jusqu’à l’instauration de la société de consommation de masse où nous retrouvons les deux dimensions, du choix individuel et de la production en grand nombre. La société individualiste de masse est en permanence obligée de gérer ces deux dimensions antinomiques : l’individu et la masse, toutes les deux liées aux grandes traditions démocratiques européennes mais qui bousculent les équilibres socioculturels antérieurs. De la communauté à l’écume : quels concepts de sociabilité pour le « web social » ? 1Pendant longtemps, les outils et machines ont été pensés comme faisant partie d’une catégorie comprise comme essentielle, la technique, dont les qualités pourraient peut-être varier sur le plan du phénotype – les objets affichent visiblement des formes et fonctions fort différentes – mais découleraient en fin de compte d’un même génotype, la tekhnè, la façon de faire efficace.

De la communauté à l’écume : quels concepts de sociabilité pour le « web social » ?

Pour connaître le rôle que jouent les objets techniques dans et pour la société, il suffirait de comprendre la technique, de manière abstraite – ce qui dispense, fort à propos, de regarder de plus près, d’ouvrir la boîte noire. Or, depuis que Simondon a déclaré la différence entre diode et triode digne de réflexion philosophique, l’école essentialiste a perdu du terrain et les différents déterminismes reculent au profit de perspectives théoriques et méthodes empiriques qui conçoivent la technique comme hétérogène, de natures différentes. 3Premièrement, l’internet repose sur une base technique malléable.

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Peter Sloterdijk