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Travailler en groupe oui mais comment Dossier Professeur un atout pour les élèves en P.P.C.P. des avantages multiples et variés § pour les élèves § pour la relation enseignant - élèves § pour les enseignants § engagement - détermination § exploration - tâtonnements § transformation - traitement § présentation - appropriation § prise de recul - intégration § d’un groupe efficace § d’un groupe inefficace Le travail en groupes : un atout pour les élèves en P.P.C.P. Avec la pluridisciplinarité, le travail de groupe est l’une des dimensions particulières des P.P.C.P. Il s’inscrit dans les principes constructivistes et cognitivistes de l’apprentissage lesquels impliquent une démarche de construction des savoirs à partir de ceux déjà intégrés jusqu’à l’acquisition de ceux qui sont visés. Il rejoint une conception de l’apprentissage s’appuyant sur une activité de recherche et d’exploration après une phase de lancement et d’engagement personnel, laquelle débouche sur une phase d’expression de l’information traitée. · comment répartir les activités ?

www.marierivoire.fr/index.php/fr/pédaggogie-îlots-bonifiés-travail-de-groupe-quelle-différence.html La question est d’importance, car il y a un monde entre les deux ! Le travail de groupe a toujours existé. Des générations de professeurs et d’instituteurs en ont, depuis la nuit des temps, exploité les bienfaits pédagogiques. Je ne revendiquerai donc aucune innovation quant au travail de groupe que nous connaissons, et avec lequel j’ai commencé ma carrière. En effet, dès la première année, j’avais, moi aussi, préféré mettre mes élèves par quatre autour d’une table, afin qu’ils travaillent en groupes, pour chaque heure de cours. Pourtant, j’aimais l’idée que les élèves puissent échanger, s’aider, s’écouter…mais comment faire pour que la classe ne devienne pas un champ de bataille, ou que ce soit toujours les mêmes individus qui effectuent le travail à la table ? Je laissai tomber l’idée pendant de longues années, ne mettant mes élèves à travailler en groupes qu’épisodiquement. Il permet donc : Ceci n’est qu’un aperçu : le livre vous en révèlera encore davantage.

Travailler en îlots Nous profitons de la sortie du livre de Marie Rivoire sur le travail en îlots pour lancer une discussion sur les conditions d’un travail de groupes réussi. Deux réactions à ce livre sont à découvrir : une recension élogieuse, par Raoul Pantanella. Et le document à charge contre ce mode de travail, d’un groupe de chercheurs, Christian Puren, Maria-Alice Médioni, Eddy Sebahi. Et vous, qu’en pensez-vous ? Nous souhaitons que ce soit l’occasion de nous poser cette question : à quelles conditions le travail par groupes peut-il être efficace et faire progresser tous les élèves ? Travailler en îlots bonifiés pour la réussite de tous Marie Rivoire, Génération 5, Chambéry, 2012 Recension par Raoul Pantanella Elle prend en compte dans sa méthode, deux tendances profondes que l’on peut observer chez les élèves. Les notes et le jeu Une pédagogie de groupe bien organisée L’ambiance de la classe en est tout de suite changée, ainsi que les relations prof-élèves et celles des élèves entre eux.

Trouver la bonne organisation De nombreux pédagogues soulignent les bénéfices apportés par le travail de groupe au sein de la classe. Chacun d’eux en préconise une organisation précise. Or, certaines organisations testées en classe ne sont pas toujours satisfaisantes. Dans un enseignement basé sur le travail de groupe, c’est la mise en activité des élèves qui est recherchée avant tout. Renverser les rôlesLe travail a été mené en s’appuyant sur un ensemble de références bibliographiques : chaque groupe comporte quatre élèves regroupés par affinité ; un rôle précis est attribué à chacun : leader, secrétaire, critique, rapporteur. Supprimer les rôlesUne étape de formation initiale de chaque élève est mise en place, s’inspirant des données de MEIRIEU. Proposition d’une démarche Un travail individuel préalable au travail de groupe est nécessaire. Au terme de cette démarche, la classe s’organise en groupe de trois ou quatre élèves avec, au sein de chaque groupe, des élèves de niveau scolaire sensiblement égal. REID, J.

Guide méthodologique du travail en équipe Publié par PedagoGeeks le 18 mai 2011 | Dans les catégories suivantes Conduite de l'innovation, Pilotage de projet La région Poitou Charentes met en ligne un guide très bien fait sur le travail en équipe. Très synthétique, il propose des fiches méthodes simples et efficaces. Quelques chapitres particulièrement intéressants : - stimuler des idées dans un groupe de travail - planifier et gérer la conduite d’un projet - animer une réunion. Bien évidemment, ce guide est loin d’être exhaustif mais constitue une première approche, pragmatique de la question. Copie en téléchargement sur ce site. Guide méthodologique du travail en commun Vous aimerez peut être également : Cette ressource est sous licence Creative Commons Attribution-Noncommercial-Share Alike 3.0 Unported

Un tableur pour suivre les scores de travaux en « îlots bonifiés » Par François Jourde, sur son blog profjourde.wordpress.com Tous ensemble ? La pratique de l’enseignement mixte ou hybride (dans l’espace de la classe et dans l’espace numérique) fait réfléchir à la spécificité des activités ne pouvant avoir lieu que dans la salle de classe. La question est : que pouvons-nous faire à plusieurs dans une salle de classe et que nous ne pourrions pas faire ailleurs ? Peut-on vraiment travailler en groupe ? Une première réponse est bien entendu le face-à-face pédagogique entre un enseignant et un groupe. Un billet mordant de Mara Goyet (et ses nombreux commentaires) rappelle cette difficulté, pour l’enseignant comme pour les élèves. « J’avais […] commencé ma carrière en mettant les élèves par îlots de quatre […]. La question est bien : « Où est-ce qu’on nous apprend à travailler en groupe ? Une méthode : le travail en « îlots bonifiés » Un tableur pour suivre les tables L’intérêt de la fiche de suivi numérique est multiple : Consulter et copier le tableur

Professeur de SMS débutant : Organisation pédagogique (Pour accéder à une version adaptée pour l'impression, cliquer ici) Gestion de la classe : un exemple La classe au quotidien en collège Les lignes qui suivent sont issues d'une expérience personnelle. L'auteur nous les livre dans le souci de montrer comment il a surmonté et continue à surmonter ses difficultés et comment il s'y prend pour construire ses propres réponses aux problèmes qu'il cerne. En écho au schéma de formation proposé par André de Peretti ce texte est un exemple concret de réflexion qui pourrait guider le travail de tous les débutants en position de réflexion sur la pratique qu'ils engagent. Ayant enseigné pendant sept ans dans un collège situé dans une zone d'éducation prioritaire, j'avais été ensuite détaché à plein temps trois ans à la MAFPEN de Lille dans le cadre de la rénovation des collèges. Je venais de redemander un mi-temps dans un autre collège en ZEP afin d'expérimenter les découvertes que j'avais pu faire en trois ans. Si on en parlait ? La présence : Le matériel

Fiches de rôles en ilots, une proposition pour la coopération Voici mes fiches de rôles pour les ilots. Je les voulais en noir et blanc et modifiable pour les adapter aux différents projets. ilots origines Mais je ne peux décemment commencer ce billet sans préciser mes sources ! Je suis venu aux ilots après avoir poussé jusqu’à sa limite mon système ancestral de travail de groupe, c’est à dire sans aucune structure, et donc, ça ne marchait pas trop. Ou plutôt, ça marchait mais je voyais bien que tout le monde n’était pas concerné. C’est donc en suivant de près les travaux de Rémi Masse (#LRM) et de Béatrice Cartron que je suis d’abord venu aux ilots. Puis c’est lors d’un entretien avec Sylvain Connac que mon approche s’est précisée. Les cartes Venons-en donc aux cartes ! Je voulais des cartes : en noir et blanc, parce que c’est la croix et la bannière pour avoir de la couleur. que je puisse modifier à loisir.qui soient simples et pas chargées visuellement. Donc ça donne ça : Les fichiers éditables en pages et word sont ici et là. Court retour d’expérience

Pédagogie différenciée : 10 conseils + 1 ! Voici un petit pense-bête, à la fois théorique et pratique, permettant de favoriser la mise en place de pratiques différenciées dans sa classe. 1/ Dans une classe, l’hétérogénéité est la règle ! L’homogénéité étant l’exception, il faut cesser d’être surpris de ne pas pouvoir faire avancer tout le monde de la même manière même si les programmes en donnent l’illusion. 2/ La différence entre élèves est normale ! 3/ Dans aucune classe, le travail est accompli en même temps avec la même efficacité. 4/ La différenciation n’est pas un problème, c’est une solution ! 5/ Tous les élèves ont besoin de différenciation ! 6/ La différenciation n’est pas le différentialisme ! 7/ L’individualisation s’équilibre avec une pédagogie coopérative. 8/ Pour différencier le travail des élèves, on doit actionner tous les leviers d’une classe : Le temps (en donner plus ou moins) La difficulté (graduer le travail autour d’une même notion avec des exercices différents) Approfondir par un autre exercice

Conférence de consensus sur la différenciation pédagogique La recherche au service de la différentiation pédagogique Le CNESCO* organisait une nouvelle conférence de consensus les 8 et 9 mars à Paris dont la thématique était la différentiation pédagogique (DP). Plusieurs chercheurs ont présenté leurs travaux à un jury d’experts qui devra proposer des préconisations au courant du mois d’avril. La DP est une tâche complexe pour les enseignants : « c’est une pédagogie des processus. Elle met en œuvre un cadre souple où les apprentissages sont suffisamment explicités et diversifiés pour que les élèves puissent travailler selon leurs propres itinéraires d’appropriation tout en restant dans une démarche collective d’enseignement des savoirs et savoir-faire communs exigés. » Cette démarche demande une prise en compte de nombreux facteurs comme le montrent les postulats de Burns**, Il n’y a pas 2 apprenants qui : 1 – progressent à la même vitesse. 2 – soient prêts à apprendre en même temps. 3 – utilisent les mêmes techniques d’étude. Co-intervention :

Différenciation - mise en contexte - Pédagogie différenciée et les TIC 1. Choisir une vidéo parmi celles présentées ci-dessous. 2. Vous devez, à partir de cette vidéo, identifier par des commentaires, les moments où c'est soit le contenu, le processus, le produit ou un mélange de l'un ou l'autre qui a permis de faire de la différenciation. De plus, vous devez préciser sur quelle base la différenciation a été faite (style d'apprentissage, forces des apprenants, etc.) 3. Vidéos de référence pour les tâches des équipeS DÉBROUILLARDS ET CURIEUX Choix de vidéos : Vidéo 1 (au primaire) Vidéo 2 (au primaire) Vidéo 3 (au secondaire) Vidéo 4 (au secondaire) Pédagogie ouverte et triangle de Houssaye J’ai cherché à voir quels liens on pouvait trouver entre la pédagogie ouverte et le triangle de Houssaye. Il me semble que l’on peut placer les sommet de l’un entre les lobes de l’autre. L’enseignant se retrouve ainsi entre transparence et la participation, l’étudiant entre la participation et la coopération et le savoir entre la coopération et la transparence. Voyons ce que cela implique sur les différents processus définis par Housaye. 1 – Enseigner Ce processus est associé à la transparence de la pédagogie ouverte. 2 – Former La relation entre l’enseignant et les apprenants est ici très axées dans une dimension ‘participative’ qui est un des axes essentiels de développement de nos sociétés : communautés de pratiques, d’apprentissage, démocratie participative, wirearchie, … autant de concepts qui se développent et auxquels il faut sensibiliser et former nos étudiants/élèves/apprenants pour qu’ils soient de véritables acteurs de la société. 3 – Apprendre 4 – Prise de recul Jacques Dubois

Qu'est-ce que la différenciation pédagogique? Qu'est-ce que la différenciation pédagogique? En contexte scolaire, toute situation pédagogique peut être représentée par le modèle suivant inspiré de Legendre (2005). Lors d’une situation pédagogique, un sujet fait l’acquisition d’un objet d’apprentissage sous la responsabilité d’un agent qui utilise certaines formules pédagogiques et tient compte de différents aspects du milieu. Tel qu’illustré, il s’établit entre ces quatre composantes, différents types de relations pédagogiques (relation d’apprentissage, relation d’enseignement, relation didactique). Inspirées de ce modèle, dans le cadre de la recherche-action sur la différenciation pédagogique en Montérégie, nous avons défini la différenciation pédagogique comme : En d’autres termes, différencier signifie savoir analyser et ajuster sa pratique de même que l’environnement d’apprentissage de façon à tenir compte des préalables et caractéristiques d’un ou de plusieurs élèves au regard d’un objet d’apprentissage particulier. ASTOLFI, J.

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