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Prix et médailles de l'Académie des sciences morales et politiques
L'Académie des Sciences morales et politiques distribue chaque année plus de cinquante prix, bourses et médailles. Ces prix récompensent des ouvrages imprimés ou des thèses dactylographiées, dans des domaines variés, en lien avec la diversité des compétences représentées à l'Académie : philosophie, histoire, sciences politiques, droit, économie, sociologie... L'Académie attache une particulière importance à cette part de son action. Elle remplit ainsi l'une des missions que lui a confiée la Nation en 1795, celle de "suivre (...) les travaux scientifiques et littéraires qui auront pour objet l'utilité générale et la gloire de la République" (loi fondatrice de l'Institut de France, 3 brumaire an IV). Le palmarès de l'année est proclamé lors de la séance publique annuelle de l'Académie, qui se déroule sous la Coupole, tous les ans, au mois de novembre.
L'Empire britannique - Une leçon en terrorisme d'État
Traduction : SOTTPour la plupart des gens dans les pays occidentaux d'aujourd'hui, le terrorisme est devenu synonyme d'actes de violence spectaculaires à grande échelle par de petits groupes contre une population civile et, notamment au cours des 15 dernières années, principalement au nom d'une religion en particulier - l'islam. Historiquement parlant (et je veux dire jusqu'au jour présent) il n'y a pas de justification à cette perception et elle ne peut venir que d'une offensive de propagande publique prolongée de la part de ceux qui ont intérêt à la créer et à la perpétuer. Les archives historiques montrent très clairement que les États, ou ceux qui agissent au nom de l'État, sont responsables de la grande majorité des actes terroristes à grande échelle contre les civils. Si nous faisons une pause pour y réfléchir un moment, cela semble naturel. Aventures impériales britanniques La situation est légèrement différente dans le cas de la fondation d'un empire. « ....
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Kâmasûtra : les aphorismes du désir
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une illustration contemporaine d'une des positions sexuelles détaillées dans l'ouvrage Le Kâmasûtra (du sanskrit कामसूत्र Kāmasūtra, composé de काम Kâma, « le désir[1] », et de सूत्र sûtra, « l’aphorisme », soit littéralement « les aphorismes du désir ») est un recueil indien traitant des diverses activités de ce que recouvre l'expression « vie privée » aujourd'hui, écrit entre les VIe et VIIe siècles, attribué à Vâtsyâyana. Traduit pour la première fois en anglais en 1876 par Richard Francis Burton, le livre ne devint légal au Royaume-Uni qu'en 1963. L'ouvrage[modifier | modifier le code] Thèmes développés[modifier | modifier le code] Le Kâmasûtra apporte des informations sur la vie privée dans l'Inde ancienne. Comme tous les textes de l'Inde ancienne, l'ouvrage peut être également lu comme une allégorie de l'union (yoga) au Divin. À l'origine, le Kâmasûtra était essentiellement destiné aux hommes et aux courtisanes.
La confrérie du Serpent, c'est quoi...? - Le blog de Merlin...
Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que " EA " Enki , Prince extra-terrestre de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda la " Confrérie du Serpent ". Zecharia Sitchin, auteur de " Am Anfang war der Fortschritt " ( Au début était le progrès ) et de " Der zwölfte Planet " ( La douzième planète ), maîtrise, entre autres, l'araméen, la langue de Jésus et de ses disciples et compte parmi les 200 savants du monde capables de lire l'écriture des anciens SUMERIENS. Il constata que dans la Bible écrite en hébreu, chaque mot a une signification tout à fait exacte et que nos Bibles en différentes langues ne sont que des interprétations de l'original, puis se mit à s'intéresser à l'archéologie, aux langues et à l'histoire de l'Orient ancien. Z. Il les traduisit et en conclut une genèse sur l'HOMO SAPIENS qui est en contradiction complète avec les conceptions des grandes religions du monde.
La dissuasion française en danger
S’il est au moins une chose, dit-on, sur laquelle le général de Gaulle et François Mitterrand ont fini par s’accorder, c’était la dissuasion nucléaire. Il ne s’agit pas uniquement ici de convoquer les statues républicaines pour justifier de la crédibilité d’un propos. Ces deux chefs d’Etat aux convictions divergentes, ont traversé «l’ère du nucléaire», entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et celle de la guerre froide, convaincus que la dissuasion nucléaire française était et devait demeurer une arme politique et non pas militaire. Ces dernières semaines, la frénésie d’accords bilatéraux ou multilatéraux passés par notre gouvernement est devenue inquiétante. La discrétion qui entoure la préparation de ces événements est compréhensible. Mais que le fruit des négociations soit à ce point opaque est inacceptable. Ce qui est en jeu, c’est bien l’avenir stratégique de la France. Reste la dernière des variables : la dissuasion nucléaire. Renaud HELFER-AUBRAC Officier de réserve
La dissuasion nucléaire française Le Blog Défense et forces armée du site MSN & M6 actualités
Il y a quelques semaines, l'ancien premier ministre, Michel Rocard suggérait de supprimer la force de dissuasion nucléaire française, pour faire des économies. Une proposition qui a suscité de nombreuses réactions dans la classe politique. Noël Mamère, député d'Europe Ecologie-Les Verts, y voit l'occasion de faire des économies et d'accélérer la sortie du nucléaire civil. Le secrétaire national du parti communiste, Pierre Laurent, estime que cette idée mérite réflexion. Quant à l'UMP, Alain Juppé, ancien ministre des Affaire étrangères et ancien ministre de la Défense, ce serait une erreur stratégique de "baisser la garde de la Défense française aujourd'hui". Le Président François Hollande a finalement rejeté cette proposition. La France dispose d'environ 300 têtes nucléaires. Le point sur les enjeux avec Philippe Wodka-Gallien, auteur du récent ouvrage "Le Dictionnaire de la dissuasion" et membre de l'Institut Français d'Analyse Stratégique. "Mais revenons au budget.