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Massimo Vitali

Massimo Vitali
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Vera Lutter Andreas Gursky Andreas Gursky est l’un des plus grands photographes européens contemporains. Né en Allemagne en 1955, d’un père photographe commercial, il effectue tout d’abord des études de photographie à Essen. En 1981, il entre à l’Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf, où il suit les cours de Bernd et Hilla Becher qui s’intéressent tout particulièrement à l’architecture industrielle et urbaine en noir et blanc, dans une approche de la photographie très impersonnelle. Dans les années 1980, le travail de Gursky est très marqué par cette influence, même s’il recourt à la couleur. La représentation d’édifices urbains vides ou des métiers qu’ils impliquent (gardiens d’immeubles) en témoigne. De là provient cet œil si particulier pour les rapports tissés par un individu avec une structure (architecturale notamment). © Andreas Gursky © Andreas Gursky C’est que le travail d’Andreas Gursky donne le vertige. © Andreas Gursky, 99 Cent II Diptych (2001). © Andreas Gursky, Rhein II (1999).

Jeff Wall : « Near Documentary ». Proche de l’image documentaire  1 L’authentification de l’image décrit un processus artistique dans lequel une mise en scène est ren (...) 1Si cette publication est dédiée à la part de fiction dans les images documentaires, cet article traite de la proposition inverse : quelle est la part du documentaire dans une photographie dite de fiction ? A travers l’œuvre du photographe canadien Jeff Wall (né en 1947), et notamment avec l’exemple de la photographie « Man with a Rifle » (Homme avec un fusil, 2000), je souhaite démontrer que des stratégies d’authentification1 sont à l’œuvre dans une photographie mise en scène, et ce afin de m’interroger sur l’hybridité inhérente à la notion de photographie documentaire. Il est ici considéré qu’elle est en fait toujours prise entre une dimension fictive et une dimension documentaire. 2Exposées dans des cadres lumineux, les photographies grand format de Jeff Wall présentent des mises en scènes soigneusement composées et construites. 2 Olivier Lugon, Le Style documentaire. Fig. 1.

Antoine Schneck - Gisants Valentine Visconti john Stezaker Arles John Stezaker a participé à plusieurs mouvements artistiques d’envergure au cours des quarante dernières années, depuis l’art conceptuel et le mouvement du New Image Art jusqu’à l’intérêt contemporain pour le collage. Suite à une première exposition au sein du British Conceptual Art group lors de la première exposition Hayward Annual en 1972, l’intérêt de Stezaker pour le concept a vite laissé place à une fascination durable pour l’image, notamment par le biais de photographies trouvées et de documents imprimés. Cette fascination se traduit dans son travail par des altérations, des suppressions, des concordances visuelles et des juxtapositions réalisées à partir de sources hétéroclites qui donnent lieu, de manière intuitive, à des images, des relations, des personnages et des significations inédites. « Nous ne pouvons vivre dans la singularité absolue, dans l’irréversibilité dont le moment de la naissance est le signe. Jean Baudrillard, Le Système des objets John Stezaker

Toni Frissel : une photographe pionnière de la mode Toni Frissel est une photographe américaine née en 1907 connue essentiellement pour ses photos pendant la seconde Guerre Mondiale, ses portraits, et ses photos de mode pour de grands magazines. Même si vous ne connaissez pas son nom vous avez probablement déjà vu au moins une ou deux de ses photos. Elle commence sa carrière comme secrétaire chez Vogue avant de se faire virer à cause de ses fautes d’orthographes trop nombreuses, mais un éditeur du magazine l’encourage à se mettre à la photographie et décroche un contrat dans le magazine quelques années plus tard après un apprentissage avec Cecil Beaton. Comme elle n’aimait pas tellement le studio, ses photos de mode sont très souvent prises en extérieur ce qui est assez rare pour l’époque, n’hésitant pas à innover dans ce domaine avec des techniques et des scènes assez spectaculaires. Les modèles sont souvent présentés sur ses images comme des femmes actives ou sportives.

LeslinMadagascar Richard Baillargeon - Transit Commedia L’œuvre donne à voir un ensemble de panoramiques en images multiples où le photographe intervient comme une sorte d’acteur dans un récit imprécis. Dans le texte qui accompagne l’œuvre et qui se présentait comme une série d’extraits d’un journal personnel, il est question d’un film en cours d’élaboration animé par un fort sentiment de perte au travers d’un voyage qui ressemble à de l’errance.Au moment de la première exposition de l’oeuvre et en guise de présentation, j’écrivais ce qui suit : « Et si au bout du compte le photographe n’était qu’un acteur en quête de décors pour mettre en scène non pas le monde mais lui-même. Et si toute l’entreprise de production d’images photographiques n’était finalement qu’un vaste cinéma dont la finalité tiendrait moins au fait de montrer “l’état des choses” que d’indiquer les trous et les interstices par où fuient la vie et le temps. “Tout est affaire de décor”, a écrit Aragon.

Henri Huet La passion d’un métier, celui de photographe de presse, a conduit Henri Huet à sillonner les routes du Vietnam en guerre pendant près de vingt ans. L’amour du pays où il est né se reflète dans ses photos, douloureux témoignages d’un conflit dont tous les hommes sont les victimes. Ses clichés, empreints de courage et d’humanité, ont eu le pouvoir de changer le regard de l’Amérique sur cette guerre. Cette exposition qui ouvre ses portes à la Maison Européenne de la Photographie, quarante ans jour pour jour après la disparition d’Henri Huet, lui rend hommage, ainsi qu’à ses plus proches compagnons photographes : Eddie Adams, Kyioshi Sawada, Dana Stone,Larry Burrows, Nick Ut, Horst Faas, Christian Simonpietri, Dick Swanson et David Burnett. “Vraiment, j’aime mon métier et n’en changerais pour rien au monde. 10 février 1971. Depuis 1965, les journalistes d’AP partagent le quotidien du photographe français. Ses photos paraissent dans les journaux du monde entier. “Je crois au destin.

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